• PICTOCHRONIQUES #99
    « La tendresse a des secondes qui battent plus lentement que les autres »

    99e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au toujours percutant Romain Gary (1914-1980) pour la citation de son « Gros-Câlin » (signé Émile Ajar, 1974) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • LE BLOC-NOTES DU SNIPER
    Le grand récit genevois de la Wonder Week mériterait qu’on en analyse les enseignements

    Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de Chinois, de milliards, de ventes en baisse, des refuzniks du centre-ville, de « nationalisme sociétal » et des meilleurs montres de la Wonder Week – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

  • REPÉRAGES #87-2024 (accès libre)
    Sept montres qui ont bien l’intention de partir à la conquête printanière de vos poignets

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 87e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Chopard, Gagà Milano, Hvilina, Louis Moinet, Montblanc, Omega et Panerai…

  • LE BLOC-NOTES DU SNIPER
    Les lampions de la fête sont éteints, mais les clignotants d’alerte se rallument

    Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de la route des pôles, de la cause des crises, de chaises musicales, de l’absence de proies, de contagion mathématique, de deux renaissances et de ce qui nous attend ce jeudi – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

  • REPÉRAGES #86-2024 (accès libre)
    Sept montres qui illustrent les tendances chromatiques et printanières de la créativité horlogère

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 86e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Atowak, Backes & Strauss, B.R.M. Chronographes, Chronoswiss, Cuervo y Sobrinos, De Bethune et GaGà Milano…

  • PICTOCHRONIQUES #98
    « Il n'est d'éternellement neuf que l'éternellement vieux »

    98e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand écrivain suisse Charles-Ferdinand Ramuz (1878-1947) pour la citation de son « Journal » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • ROCK’N’HORL 2024
    « Ne le répétez surtout pas, mais un commando de petits hommes verts a débarqué à Genève pendant la Wonder Week »

    C’était peut-être le secret le mieux gardé de cette Wonder Week genevoise : « ils » ont débarqué de leur ovni sans prévenir ! Les policiers du canton étaient sur les dents quand on leur a signalé cette apparition en pleine Wonder Week…

  • LE BLOC-NOTES DU SNIPER
    Il s’est passé quelque chose d’extraordinaire, la semaine dernière, à Genève

    Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un compteur bloqué, d’une trahison des réseaux sociaux, d’énergies générationnelles, d’une transaction qui se finalise et d’un psychodrame présidentiel – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

  • REPÉRAGES #85-2024 (accès libre)
    Sept montres qui vont vous initier aux secrets des tendances horlogères de l’année

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 85e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : ArtyA, Backes & Strauss, Bell & Ross, Bvlgari, Gucci, Louis Moinet et Zenith…

  • SÉANCE DE RATTRAPAGE semaine 15-2024 (accès libre)
    L’actualité horlogère d’une assez décevante semaine de Wonder Week 2024

    Le premier trimestre 2024 s’est terminé sur un mode très mineur pour ce qui est de la santé économique de l’industrie des montres. Le millésime 2024 qui se dessine chamboulera sans doute tout le paysage horloger ! C’est l’année de tous les dangers, avec des guerres (Ukraine, Proche-Orient, Pacifique, etc.) et une crise économique internationale qui pertubent toute la planète – particulièrement les grands marchés horlogers. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

  • REPÉRAGES #84-2024 (accès libre)
    Sept montres qui arrivent à sortir de l’ordinaire tout en respectant fidèlement les codes de l’horlogerie

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 84e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Atowak, Bell & Ross, Carl F. Bucherer, Louis Moinet, SevenFriday, Trilobe et Zenith…

  • SANS FILTRE #89 (accès libre)
    « Ah, qu'on les aime, ces salons horlogers ! »

    S’ils n’existaient pas, il faudrait les inventer, ces salons horlogers : c’est d’ailleurs ce qu’on (re)fait à intervalles réguliers, ici ou là dans cette Suisse si génialement hospitalière qu’elle pratique avec entrain la surfacturation hôtelière et la surenchère autosatisfaite. Les millésimes passent, les générations s’effacent, mais les rituels compassés de ces salons de printemps ne trépassent pas. Loin de là…

  • REPÉRAGES #83-2024 (accès libre)
    Sept montres qui reviennent le front haut des salons horlogers du printemps 2024

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 83e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : ArtyA, Backes & Strauss, Charriol, Franck Muller, Louis Moinet, Parmigiani Fleurier et Roger Dubuis…

  • ROCK’N’HORL 2024
    L’objet horloger le plus singulier de ce printemps horloger a de quoi enflammer le débat

    On peut dresser un parallèle intéressant entre les montres-bracelets et les briquets, deux fétiches du quotidien qui étaient hier liés à l’expression d’un certaine modernité, mais qui se trouvent aujourd’hui banalisés et « défonctionnalisés » par la post-modernité. Il était urgent de les fusionner dans la même quête d’un luxe positionnel…

  • PICTOCHRONIQUES #97
    « L’avantage de la mauvaise mémoire, c’est qu’on jouit plusieurs fois des mêmes choses pour la première fois »

    97e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’immense philosophe Frédéric Nietzsche (1844-1900) pour la citation de son « Humain, trop humain » (1878) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

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