LE SNIPER DU LUNDI
Ce fantastique besoin de « libérer la parole » qui taraude la communauté horlogère
Et les salons horlogers du printemps ? Tout le monde s’en fiche, apparemment, mais c’est dommage : c’était un espace naturel et convivial de discussions dont la disparition favorise l’éclosion de nouveaux réseaux sociaux « où ça cause ». On peut considérer que ce n’est pas un progrès et que l’horlogerie mérite mieux…