• PICTOCHRONIQUES #214
    « On ne se débarrasse pas d’une habitude en la flanquant par la fenêtre : il faut lui faire descendre l’escalier marche par marche »

    Pour mieux préparer la rentrée de janvier 2025, 214e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain et humoriste américain Mark Twain (1835-1910) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #05-2025 (accès libre)
    Sept montres pleines de lumière qui ont la nostalgie de la télévision, des serpents et des robes à pois (en prime : nos sept commentaires)

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le cinquième épisode de notre panorama des montres de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Arnold & Son, Fossil, Mido, Piaget, Richard Mille, Sea-Gull et Trump…

  • PICTOCHRONIQUES #213
    « Le spectacle ne chante pas les hommes et leurs armes, mais les marchandises et leurs passions »

    Pour mieux préparer la rentrée de janvier 2025, 213e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand théoricien, cinéaste et écrivain révolutionnaire français Guy Debord (1931-1994) pour la citation de sa « Société du spectacle » (1967) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • 2025, ANNÉE DRAMATIQUE
    Aux États-Unis, Nick Hayek joue à pile ou face, mais c’est toute l’horlogerie suisse qui perd

    Le nouveau millésime 2025 s'engage décidément très mal : aux États-Unis, le Swatch Group se trouve embarqué dans une très sale histoire, où il va entraîner malgré lui toutes ses marques et même toute l’horlogerie suisse. L’affaire Harry Winston ne fait que commencer : on parle déjà d'un « Winstongate »…

  • BUSINESS MONTRES x ATLANTICO
    Quand le saphir se met à la couleur et quand le sabre se met en garde : c’est l’actualité des montres au temps de Nivôse

    Mais aussi, pour cette première chronique Atlantic-Tac de l’année, une Italienne des plus nonchalantes, une ultra-précision des mieux carbonées, une discrétion zodiacale des plus vineuses et une icône vintage des plus heureusement ressuscitées… Images ci-dessous : bordeaux ou bourgogne, à la santé de l’Année du Serpent (Raymond Weil)…

  • PICTOCHRONIQUES #212
    « Ne cherche pas à décrocher la lune pour l'offrir à une femme, va plutôt chez Cartier »

    Pour mieux préparer la rentrée de janvier 2025, 212e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain populaire français Frédéric Dard (1921-2000) pour la citation de ses « Mots en épingle de San-Antonio » (1980) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #04-2025 (accès libre)
    Sept montres qui s’intéressent aux serpents aussi bien qu’à la Saint-Valentin ou à Elvis Presley (en prime : nos sept commentaires)

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le quatrième épisode de notre panorama des montres de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Charriol, Hamilton, Hublot, Nivada Grenchen, Perrelet, Trump et Union Glashütte…

  • REPÉRAGES #03-2025 (accès libre)
    Sept montres qui ont de l’énergie à revendre pour doper notre vision du temps en 2025 (en prime : nos sept commentaires)

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le troisième épisode de notre panorama des montres de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Ball Watch, Depancel, Longines, Oris, PS Horology, Titan et Unimatic x Sease…

  • PICTOCHRONIQUES #211
    « Le coeur sur la main quand il faut, et la main sur la figure quand c'est nécessaire ! »

    Pour bien préparer cette rentrée de janvier 2025, 211e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand journaliste, dramaturge et dialoguiste français Henri Jeanson (1900-1970) pour la citation d’un dialogue de « Pas de caviar pour Tante Olga » (film de Jean Becker, sorti en1965) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #02-2025 (accès libre)
    Sept montres qui ont décidé d’aller toujours plus loin pour donner un autre goût au temps qui passe (en prime : nos sept commentaires)

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le deuxième épisode de notre panorama des montres de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Abyx, Airain, Benrus, Longines, Olivier Jonquet x Estellon, PS Horology et TAG Heuer…

  • REPÉRAGES #01-2025 (accès libre)
    Sept montres pleines d’audaces et de lumières pour éclairer les premiers jours de l’année (en prime : nos sept commentaires)

    En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le premier épisode de notre panorama des montres de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Armin Strom, Breguet, Ebel, Elka Watch, IWC, Richard Mille et Venezianico…

  • BAROMONTRES 2024 #12 (décembre)
    Les faits, les hommes et les marques qui ont influencé la météo horlogère de ce mois de décembre 2024

    Douzième et dernier Baromontres de l’année 2024, avec seize coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie de ce douzième mois de l’année. Le premier semestre 2024 s’est avéré difficile et exigeant, mais aussi terriblement périlleux. Le second se termine dans une impressionnante ambiance de crise ! Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2024, qui ne nous aura sans doute pas réservé le meilleur de ces dernières années…

  • PICTOCHRONIQUES #210
    « Ma façon de plaisanter, c’est de dire la vérité : c’est la plaisanterie la plus drôle du monde »

    Pour boucler cette semaine de Nouvel An et préparer la rentrée, 210e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, activiste et polémiste irlandais George Bernard Shaw (1856-1950) pour sa citation de « L’Autre île de John Bull » (1904) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • PICTOCHRONIQUES #209
    « Quand on a des opinions courantes, on les laisse courir »

    Première séquence de l’année : pour cette semaine de Nouvel An, 209e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, journaliste et dandy français Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1889) pour la citation de ses « Pensées détachées » (1889) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • PICTOCHRONIQUES #208
    « On ne voit bien le mal de ce monde qu'à condition de l'exagérer »

    Pour entamer cette semaine de Nouvel An, 208e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain et polémiste français Léon Bloy (1846-1917) pour la citation de son « Journal » (1904) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

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