À l’approche d’une crise qui s’annonce comme la plus sévère depuis le début du XXIe siècle, cette rentrée horlogère de ce mois de septembre était on ne peut plus stratégique – dommage pour les marques qui ne l’aurOnt pas compris ! Que pouvons-nous retenir de cette seconde partie de l’année, qui restera comme la première année de la grande crise des années deux mille vingt ?

Que des histoires de grenouilles dans cette saga batracienne, avec le 170e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au génial Michel Audiard (1920-1985) pour la citation (reprise d’un de ses dialogues du « Président », un des meilleurs films « politique » français, sorti par Henri Verneuil en 1961) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’une piste dans le Malpensagate, d’une exécrable ironie, d’une fausse breaking news, du mahatma Gandhi, du danger des idées fixes et d’un travelling arrière – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

À l’approche d’une crise qui s’annonce comme la plus sévère depuis le début du XXIe siècle, cette rentrée horlogère de ce mois de septembre était on ne peut plus stratégique : dommage pour les marques qui ne l’auraient pas compris ! Que pouvons-nous retenir de cette seconde partie de l’année, qui restera comme la première année de la grande crise ?

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 236e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Baume & Mercier, B.R.M. Chronographes, Hamilton, Junghans, Pequignet, Solar Aqua et Zenith…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 235e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Baume & Mercier, Czapek & Cie., Diesel, Girard-Perregaux, Intim, Orient Star et Pequignet…

169e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci aux dialoguistes (Gérard Oury et Marcel Jullian) de l’inoubliable « Folie des grandeurs » (1971, du même Gérard Oury) pour la citation d’une des plus célèbres répliques du film (Yves Montand veut réveiller Louis d Funès) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un anniversaire, de bracelets globalisés, du Malpensagate, de Vaucher Manufacture, de diamants chinois, de soldes imprévues, d’un requin taquin et de notre Baromontres – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Neuvième Baromontres de l’année 2024, avec quinze coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie de ce neuvième mois de l’année. Le premier semestre 2024 s’est avéré difficile et exigeant, mais aussi terriblement périlleux : le second s’ouvre dans une impressionnante ambiance de crise ! Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2024, qui ne nous réservera sans doute pas le meilleur de ces dernières années…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 234e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : B.R.M. Chronographes, Diesel, Ferdinand Berthoud, Intim, Kelton, Pequignet et Sinn…

Avec la fin de l’été, on ne rigole plus : les indicateurs de l’industrie des montres sont passés au rouge et l’automne s’annonce en titubant pour cause d’état de santé économique plus que chancelant et de plus en plus précaire. Le millésime 2024 aura chamboulé tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques internationales et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 233e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Alpina, Casio, Diesel, Ferdinand Berthoud, Hamilton, Kelton et Richard Mille…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 232e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Alpina, Bell & Ross, Eska, Jacques Bianchi Marseille, Jaeger-LeCoultre, Longines et Panerai…

Les ravis de la crèche nous promettaient une reprise pour la rentrée 2024 : ils vont devoir changer d’opticien. Tout expert du luxe se fait maintenant un devoir de promettre un retour au calme en 2025 : on les appellera… experd-la-face ! Au lieu d’analyser la crise, on la nie : on préfère rêver d’un mirifique retour rapide à la croissance. Depuis des années, « Business Montres » s’acharne à briser le tabou…

168e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à la grande philosophe et publiciste germano-américaine Hannah Arendt (1906-1975) pour la citation de sa « Crise de la culture » (1972) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…