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PÉRIL JAUNE
La campagne anti-Swatch lancée en Chine n’a sans doute rien d’accidentel

« Qui se sert du Chinois périra par le Chinois » : on peut détourner la célèbre sentence évangélique (Matthieu 26:52) pour l’appliquer à la marque Swatch, très exposée sur l’espace grand-chinois où elle réalise encore la moitié de son activité, et donc très fragile face aux moindres remous socio-communautaires. Aussi peu argumentée qu’elle soit, l’accusation de « racisme » est une arme de sidération massive. Les activistes des réseaux sociaux n’auraient-ils pas été manipulés, et par qui ?


Les champions de l’intransigeance numérique chinoise, soudain …
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