En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 123e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Bamford, Franck Muller, Louis Érard x Seddiqi, Ox, Peren, Tiffany & Co.…

Pour bien profiter des premières semaines de cet été 2025, voici le 292e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au philosophe anonyme ou au génial inconnu qui a formulé la citation qui compose le titre de cette pictochronique (on aimerait en connaître l’auteur). C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 122e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Franck Muller, Mido, Rado, Squale, Tusenö, Unimatic et Vacheron Constantin…

Mais aussi, côté plongée, une lunette orange très éthique, un cadran noir monolithique, des grains de riz subaquatiques, des faiblesses statistiques et une furtive céramique… Images ci-dessous : la puissance non sans une certaine brutalité d’une légende nautique (Eska)…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 121e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Breitling, MB&F, MeisterSinger, Minase, Ming, Pierre Lannier et Vulcain…

Pour bien profiter des premières semaines de cet été 2025, voici le 291e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à l’immense écrivain allemand et témoin de l’histoire européenne Ernst Jünger (1895-1998) pour la citation de son « Traité du rebelle ou le recours aux forêts » (« Der Waldgang », 1951) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 120e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Andersen Genève, Doxa, Eska, Festina, Luminox, Parmigiani et Ulysse Nardin…

Retrouvé au hasard de la documentation pour cette triple séquence : un article du « Temps » de janvier 2026. Question : « À quoi ressemblera l’horlogerie dans dix ans ? ». Nous y sommes. Et les réponses font peur : une séquence bonus, à lire en complément des chroniques précédentes sur « Les dix bonnes questions à se poser pendant les vacances horlogères »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 119e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Arnold & Son, Baltic, Bell & Ross, Emera, Panerai, Raketa et Swatch…

Cinq signaux faibles, seulement ? Parce que cinq fait un compte rond et que ça correspond aux doigts d’un main. Voici donc, entre deux séances de Sniper, de quoi réfléchir à l’actualité immédiate des montres…

Pour bien profiter des premières semaines de cet été 2025, voici le 290e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci aux rédacteurs de la « Charte de Munich » (Décalration des devoirs et des droits des journalistes, 1971) pour la citation de ce texte qui fonde l’éthique journalistique et qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Tout juste un mois et demi avant les Geneva Watch Days, premier grand rendez-vous de la rentrée horlogère. Autant avoir les idées claires pour bien redémarrer cette fin d’année. Donc autant se poser les bonnes questions, dont voici quelques éléments de réponse, en profitant des vacances horlogères pour bien y réfléchir (troisième et dernier épisode)…

Dernier hommage à un très sympathique animateur de télévision qui vient de nous quitter, à l’âge de 76 ans. Il aimait vraiment les montres : « Je suis très fier de la montre que j’avais fait faire du temps de ma revue « Rive droite », avec une phrase de Proust : “Longtemps je me suis couché de bonne heure” écrite tout autour du cadran »... Le cas Thierry Ardisson, sans perdre une seule seconde : une nouvelle page tirée des archives de « Business Montres », introuvable ailleurs sur la Toile...

Mise en ligne assez fracassante, sur le blog horloger indépendant ScrewDownCrown (SDC), de l’essentiel du « deck » confidentiel élaboré par le cabinet Deloitte pour les acheteurs éventuels du pôle industriel Vaucher-Parmigiani que la fondation Sandoz voulait mettre en vente. Du grand n’importe quoi en termes d’analyse, mais du grand art en matière de pollution informationnelle…

Moins de deux mois avant le premier des grands rendez-vous de la rentrée horlogère à Genève (Geneva Watch Days) : il est vivement conseillé d’avoir les idées pour aborder au mieux cette rentrée. Donc mieux vaut se poser les bonnes questions : voici quelques éléments de réponse à quelques interrogations de saison, en profitant des vacances horlogères pour y répondre (deuxième épisode)…