REPÉRAGES #154-2025 (accès libre)
Sept remarques très personnelles sur sept montres lancées ces jours-ci
En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 154e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Le Forban, Jaquet Droz, Herbelin, Lip, Mido, Montblanc et Mr Jones…

Cette chronique vise à vous signaler quelques nouveautés parmi toutes celles qui affluent dans les vitrines horlogères : c’est, à ce jour, la plus complète des recensions que proposent les médias spécialisés, avec un peu plus de 2 100 pièces présentées chaque année. Soit, en moyenne, à peu près cinq nouveautés proposées par jour du calendrier : c’est exceptionnel – et même unique dans le paysage horloger ! Ces nouvelles montres sont commentées une par une : nous ajoutons à ces présentations des évaluations personnelles critiques, forcément subjectives et généralement pas complaisantes, mais toujours sincères, en bref, en vrac et toujours en toute liberté. Dans le formidable tsunami des nouveautés horlogères, cette sélection est déjà, en soi, une élimination du pire ou de l’insignifiant : il ne faut donc pas s’étonner que le meilleur y soit commenté plutôt positivement. Tout le monde l’aura compris : les absents ont toujours tort !
MR JONES Monster Melter 3000
Démarquez-vous de la foule avec cette montre à monstre qui interpelle. Conçu par l'artiste et concepteur de personnages Onorio D'Epiro (ci-dessus), Monster Melter 3000 montre un homme spatial enfermé dans un combat mortel avec un extraterrestre terrifiant mangeur d'hommes. Armé de son puissant pistolet à rayons, va-t-ilvaincre le monstre ? Cette montre ludique est un hommage aux films descience-fiction et à la bataille épique entre l'extraterrestre et l'homme spatial. Le design est imprimé dans des pigments néon vifs qui reflètent l'origine d'un autre monde du monstre. Comment lire l'heure ? La position du pistolet à rayons de l'homme spatial indique les minutes. Le tentacule coupé du monstre vous montre l'heure. Chaque couleur que vous voyez dans le design a été mélangée à la main, avant d'être aérographe et imprimée couche par couche et assemblée par notre équipe d'atelier dédiée ici à Londres. Onorio (explique son inspiration de conception pour Monster Melter 3000 : « J'ai toujours aimé les films de science-fiction tels que Alien, Blade Runner et 2001. Je voulais donc vraiment concevoir une montre qui rende hommage à ce genre au cinéma. La bataille finale dans Aliens m'a toujours marqué comme un moment vraiment cool et je l'ai utilisé comme source d'inspiration, mais avec ma propre touche ludique. Je veux dire, qui n'aime pas un monstre tentaculaire baveux avec 30 yeux ! Mon objectif principal est de concevoir une montre amusante qui vous fasse sourire chaque fois que vous regardez votre poignet. »
UN COMMENTAIRE ? Comme toujours, on ne s’ennuie pas avec une création de Mr Jones, qui nous lance cette fois dans une bataille interhalactique contre les monstres de l’espace. Il faut compter dans les 235 euros pour que les tentacultes du méchant monstre soient promenés dans tous les azimuts du temps qui passe (boîtier en acier de 37 mm, étanche à 50 m, mouvement électronique).
MIDO Multifort TV Big Date titane
Forgée dans le titane, la Multifort TV Big Date de Mido s’impose comme une nouvelle expression de sa collection emblématique. Ce métal à l’esthétique technologique, reconnu pour sa légèreté — sans compromis sur la résistance — et sa teinte subtilement éclatante, lui confère une allure contemporaine et élégante. Résultat : une montre d’un confort remarquable au poignet. Mido mise sur le titane, matériau high-tech et résistant, sportif par excellence, pour son emblématique montre de forme TV. Inspirée des téléviseurs légendaires des années 1970, cette silhouette a fait un retour remarqué dès 2023 dans la collection Multifort. Le titane, un métal d’une solidité exceptionnelle et de faible densité (donc très léger) fait bénéficier de ses enviables propriétés la Multifort TV Big Date, de la boîte au bracelet. Son allure ? Monochrome et moderne : variations subtiles de surfaces – polies ou satinées – sont au rendez-vous. Avec, bien entendu, cette irrésistible touche vintage de la forme TV. Les index creusés, garnis de Super-LumiNova blanc, ajoutent du relief au cadran dégradé de gris satiné soleil, marqué d’un décor horizontal. La grande date, signature de Mido, contraste en blanc sur fond noir. La Multifort TV Big Date Titanium embarque le Calibre 80, un mouvement automatique précis et fiable, doté d’un spiral en Nivachron et d’une réserve de marche jusqu’à 80 heures. À la fois sportive et raffinée, cette montre de caractère, taillée pour durer, incarne l’histoire et l’esprit dynamique de Mido.
Sur le plan esthétique, la montre joue avec subtilité sur les variations de gris et de textures. Souligné par la lunette polie, satinée sur le dessus, met en valeur un cadran dégradé gris satiné soleil est traversé de lignes horizontales en relief, renforçant les variations de surfaces. Les index, creusés et garnis de Super-LumiNova blanc, tout comme les aiguilles nickelées noir, facettées et diamantées, assurent une lisibilité optimale de jour comme de nuit. À midi, la grande date s’impose, parfaitement lisible en blanc sur fond noir, surmontée par un repère sablé sur la lunette. Satiné sur les grandes surfaces, le boîtier de 40 mm x 39,2 mm capte la lumière tout en discrétion. Le bracelet, réalisé en titane et aux maillons centraux polis, tient lui aussi cette promesse de durabilité et de confort tout en légèreté. Son maintien sur le poignet est irréprochable grâce à une boucle déployante actionnée par boutons-poussoirs. La Multifort TV Big Date Titanium s’adresse aux amateurs de montres capables de tout affronter – tout comme le Calibre 80. Visible par le fond transparent, ce cœur mécanique de haut vol bat avec une régularité éprouvée, grâce à son spiral en Nivachron. Cet alliage de pointe a été conçu pour résister aux champs magnétiques et aux variations de température. La fiabilité du mouvement bénéficie de plus d’une enviable réserve de marche allant jusqu’à 80 heures. La masse oscillante révèle un décor de Côtes de Genève, ainsi que le logo Mido gravé – clin d’œil à l’expertise horlogère de la marque, fondée en 1918. Étanche jusqu’à une pression de 10 bars (100 m / 330 ft), ce garde-temps est aussi fiable qu’élégant. Dans cette version tout titane, la Multifort TV Big Date associe robustesse, confort et esthétique sportive. Une montre de caractère, pensée pour traverser le temps avec légèreté.
UN COMMENTAIRE ? Un boîtier en titane satiné-poli de 40 mm x 39,2 mm, étanche à 100 m et animé par un mouvement automatique qui propose plus de 80 heures de réserve de marche, un cadran dégradé gris dont la texture horizontale sait jouer avec les reflets de lumière, une lunette brossée bien élargie pour apporter du statu à la montre, un prix intelligent qui sait rester accessible (comptez un peu moins de 1 500 euros, avec le bracelet ultra-léger en titane), un style furieusement tendance dans son absence d’ostentation : il n’en faut pas plus pour que cette Multifort qui fait toujours beaucoup d’effet au poignet soit une des montres les plus intéressantes de cette rentrée…
LIP « Général de Gaulle » 35 mm automatique (671880)
Lip réinvente sa légende : trois nouveaux modèles pour la « Général de Gaulle » 35 mm. Symbole de distinction et de rigueur, la « Général de Gaulle » fut choisie par de grandes figures de l’histoire, de Charles de Gaulle à Dwight Eisenhower, jusqu’à Bill Clinton. Offerte à plusieurs chefs d’État, elle est entrée dans la légende comme la célèbre « montre des Présidents ». Les deux nouvelles versions 35 mm se distinguent par leur mouvement automatique à remontage mécanique, logé dans un boîtier en acier inoxydable 316L décliné en finition dorée ou argentée, et accompagné d’un élégant bracelet façon croco noir ou marron. Le cadran blanc soleillé est animé d’aiguilles dorées et blanches, d’indexbâtons noirs, offrant une lecture claire et un style élégant. Ces modèles séduiront les amateurs de belle mécanique et de tradition horlogère. La nouvelle version quartz full acier 35 mm complète la collection pour lesutilisateurs recherchant praticité et précision au quotidien. Elle se distingue par un boîtier et un bracelet en acier inoxydable 316L poli et brossé, avec des aiguilles noires et dorées sur un cadran blanc soleillé, alliant lisibilité optimale et style intemporel. Sobres, raffinées et indémodables, les montres Général de Gaulle perpétuent l’excellence horlogère française et l’héritage d’un style unique.
UN COMMENTAIRE ? La « Général de Gaulle » est une des icônes de l’horlogerie tricolore, mais s’il est à peu près certain que le général de Gaulle ne l’a pas portée [il ne portait pas de montre !] et si on manque d’images pour attester que d’autres chefs d’État ont porté cette montre qui a fait partie pendant un temps des cadeaux de la République. Le prix est resté… démocratique (il fut compter dans les 249 euros pour ce boîtier en acier de 35 mm étanche à 50 m et animé par un mouvement automatique Miyota qui garantit une réserve de marche de 42 heures)…
JAQUET DROZ Petite heure Minutes platine « Camels »
À partir de la vision de l’un de ses collectionneurs, amateur des plus beaux dromadaires, Jaquet Droz lui a créé une pièce unique, au sein d’une boîte en platine réalisée sur mesure pour lui. Gravure et peinture rivalisent de précision sur une base minérale d’onyx et d’aventurine.
UN COMMENTAIRE ? il faudra féliciter le rédacteur de service pour la redoutable concision de sa présentation – officielle et définitive, si, si ! – de cette pièce unique de 41 mm, exécutée dans un goût orientalisant qui ne doit pas laisser penser que la maison Jaquet Droz vient d’entamer une longue traversée du désert. On appréciera comme il se doit le minimalisme allégorique du bac à sable dans lequel cette montre a été plantée sur l’image ci-dessous : pauvres camélidés !
HERBELIN Cap Camarat Square Lady
Déclinée en deux versions, Cap Camarat Square Quartz conjugueélégance et modernité. Avec son boîtier carré de 30 mm et son cadran en nacre naturelle, elle capte la lumière avec délicatesse. Les diamants véritables, sertis à 3h, 6h, 9h et 12h, apportent une touche de raffinement et de prestige. La version FKM blanche révèle un boîtier entièrement traité en PVD or jaune 1N, affirmant une allure dynamique et élégante. La version acier bicolore associe un boîtier en acier 316L à une lunette en PVD or jaune, offrant un raffinement subtil et un équilibreparfait. Sublimé par ses index rivetés et sertis de diamants, le cadran nacré aux reflets uniques se distingue par son élégance et son raffinement. Protégée par une glace saphir inrayable et étanche à 100 mètres, cette montre accompagne toutes les activités de la femme contemporaine, du quotidien aux moments d’exception. Alliance parfaite de modernité et de sophistication, Cap Camarat Square Quartz se distingue par son style épuré et ses finitions délicates. Une montre de caractère qui illustre l’art horloger Herbelin, entre modernité et héritage, et incarne la vision contemporaine du sport-chic féminin.
UN COMMENTAIRE ? On peut l’aimer en bracelet métallique ou sur bracelet caoutchouc : dans les deux cas, l’identité de la montre reste affirmée et sa vocation urbaine confirmée, dans le goût « sport chic », avec le style particulier et statutaire que peut apporter ce boîtier de forme en acier de 30 mm x 30 mm x 6,9 mm d’épaisseur, étanche à 100 m [c’est à ça qu’on reconnaît les vraies sportives] et doté d’un mouvement électronique suisse Ronda qui affiche 54 mois d’autonomie (une montre proposée dans les 800 euros).
MONTBLANC Star Legacy Exo Tourbillon Château de Versailles « Le secret du bal des Ifs »
Recréez le grand bal masqué organisé en 1745 par Louis XV dans la célèbre galerie des Glaces de Versailles avec la Montblanc Star Legacy Suspended Exo Tourbillon Château de Versailles : « Le Secret du Bal des Ifs ». Cette montre exceptionnelle combine la haute horlogerie traditionnelle, la marqueterie, la gravure à la main et l'émail champlevé avec la modélisation numérique 3D et la gravure au laser. Le cadranprincipal reproduit le célèbre « Bal des Ifs », avec une base en or blanc Au 750/1000 (18 carats) recouverte d'émail noir et de paillons d'or, évoquant les reflets des lustres éclairés à la bougie dans les fenêtres de la galerie des Glaces. Les arches sont en pierre de Cacholong et en marbre de Sarrancolin, provenant de la même carrière des Hautes-Pyrénées que celle utilisée à Versailles. Le parquet est fidèlement reproduit en chêne massif. Les lustres et les invités en costume sontgravés sur une plaque de saphir superposée au cadran principal. Inspiré des montres de l'époque de Louis XIV, le cadran situé à 12 heures rappelle les traditions de la Haute Horlogerie avec son émail champlevé et son anneau gravé en or jaune Au 750/1000 (18 carats), tandis que les aiguilles squelettées en or jaune Au 750/1000 (18 carats) sont surmontées de la tête d'Apollon.
Le boîtier en or jaune Au 750/1000 (18 carats) est orné d'une couronne de laurier gravée à la main sur la lunette et d'une scène représentant Minerve et Mercure sur la carrure, reproduisant unepeinture du Salon de la Paix, une salle située à côté de la galerie des Glaces. Ce garde-temps est animé par le calibre de Manufacture MB M16.68 avec la complication brevetée Suspended Exo Tourbillon, qui a nécessité trois ans de développement. Le bracelet interchangeable encuir de veau gris imprimé alligator et le fermoir triple déployant en or jaune Au 750/1000 (18 carats) complètent ce garde-temps exceptionnel. Limitée à 8 exemplaires, la Montblanc Star Legacy Exo TourbillonChâteau de Versailles : « Le Secret du Bal des Ifs » est présentée dans un coffret en noyer contenant une boîte à musique jouant un air tiré d'une comédie-ballet de Jean-Philippe Rameau. Un spectacle enchanteur sur un parquet miniature entouré d'arcades en marbre,évoquant le bal masqué de Versailles dans la Galerie des Glaces.
UN COMMENTAIRE ? Une montre aussi inattendue dans les collections horlogères de Montblanc que terriblement démonstrative, puisque la marque semble avoir voulu compiler en les juxtaposant à peu près tous les « métiers d’art » à sa disposition immédiate, en les mixant avec des citations esthétiques évocatrices du Grand siècle. L’ensemble est assez déconcertant, ne serait-ce que par son prix (comptez dans les 229 000 euros), mais aussi par l’apparition très décalée du logo contemporain de Montblanc et du logo Minerva des années 1920 sur une architecture de tourbillon mécanique dont la masse, sans continuité décorative avec la composition versaillaise, écrase le cadran en péjorant l’expression artistique de l’ensemble. Bizarre, tout comme est assez bizarre l’idée de baptiser « Le secret du bal des Ifs » une montre qui ne présente pas le moindre de ces ifs anthropomorphes qui avaient défrayé la chronique mondaine de Versailles en 1745 : ce n’est pourtant pas la place qui manquait, tant sur la carrure que sur les ponts et la platine du mouvement ! De même, on aurait aimé que le coffret de bois qui sert d’écrin soit en if, et non en noyer [bois « paysan » par excellence], ou, pour le moins, taillé dans le bois d’un des arbres « royaux » du Domaine, façonné dans un chêne planté du temps du Roi-Soleil ou alors stylé dans l’esprit des cartels « Boulle » si en vogue à l’époque : là, avec ces poignées « Galeries Barbès » plutôt que « Galerie des glaces », c’est un peu cheap ! Dommage…
LE FORBAN SÉCURITÉ MER « Marseillaise »
Après avoir navigué depuis 2019 dans les eaux de l’Atlantique, la marque Le Forban Sécurité Mer traverse le détroit de Gibraltar et jette l’ancre dans la cité phocéenne avec son nouveau modèle : la « Marseillaise ». Plongeuse hommage au modèle « Monnin » de la marque (lancé en 1979), la Marseillaise conserve le caractère de son ainé… en mieux ! Avec une épaisseur réduite de 13 mm à moins de 12 mm, un diamètre ramené de 42 mm à 40,8 mm et une longueur de cornes à cornes de 46 mm, la Marseillaise est plus élégante et plus facile à porter que le modèle vintage, tout en conservant son identité.C’est une véritable plongeuse à (re)découvrir. Avec son étanchéité améliorée de 250 m (au lieu de 200 m), La Marseillaise est une véritable montre de plongée. Elle en reprend tous les codes traditionnels : lunette de plongée unidirectionnelle 120 clics, cadran « diver » ultra-lisible, aiguilles « flèches » et trotteuse Lollipop.
Le légendaire bracelet militaire « Bund » a été revisité en caoutchouc pour devenir un véritable bracelet de plongeuse. Le bracelet « Bund » en cuir est né durant la grande guerre (1914-1918) afin d’éviter le contact entre les boîtiers de montre et la peau. En effet, le métal utilisé pour la fabrication des montres pouvait être allergisant. Il a été vulgarisé durant la guerre du Vietnam par les soldats américains qui l’utilisaient fréquemment. Devenu depuis un accessoire de mode, il n’avait jamais été développé en caoutchouc pour une utilisation sous-marine. Il peut aussi se porter comme un bracelet classique en retirant le pad central. Grâce à son entrecornes de 20 mm et son diamètre supérieur à 40 mm, le Dive Bund peut habiller n’importe quelle montre et sera disponible à l’achat en tant qu’accessoire.
UN COMMENTAIRE ? Si la jeune marque indépendante Le Forban, qui a repris les traditions de cette maison très active dans les années 1960-1970, est une des plus sympathiques de la nouvelle horlogerie française, c’est aussi parce que ses montres ont une sincérité et une authenticité qui ne trompent pas, comme en témoigne cette Marseillaise proposée entre 940 euros et 990 euros (selon les bracelets et les cadrans) pour un boîtier en acier revu et corrigé à 40,8 mm x 11,9mm d’épaisseur, étanche à 250 m et motorisé par un mouvement automatique suisse (Sellita). Le style y est, dans le respect du patrimoine Le Forban, la qualité horlogère est également au rendez-vous et le défi aux « plongeuses » méditerranéennes semble implicite : le bracelet « bund » en caoutchoux est une excellente idée qu’on s’étonne de voir développée ici pour la première fois dans l’histoire des bracelets horlogers…
COORDINATION ÉDITORIALE : JACQUES PONS