PICTOCHRONIQUES #357
« Le journalisme consiste à imprimer ce que quelqu'un d'autre ne veut pas voir imprimé. Tout le reste n'est que relations publiques »
Pour bien profiter des dernières heures de 2025 et avant de basculer dans 2026, voici le 357e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain et journaliste britannique George Orwell (1903-1950) pour la citation (peut-être apocryphe) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
