En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 103e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Bianchet, Delbana, Fastrack, Girard-Perregaux, Ralph Lauren, Versace et Vulcain…

Pour bien profiter de ce solstice et du premier jour de cet été 2025, voici le 280e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand poète français René Char (1907-1988) pour la citation qu’on lui prête et qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une virile expression de malachite veinée, un petit secret qu’on se murmure entre femmes, une « plongeuse » pour les pilotes, une montre-outil démilitarisée et des exportations à la dérive… Images ci-dessous : une pâleur platinée qui illumine l’acier (Venezianico)…

Toutes les marques vivent actuellement une intense « swatchification » de leur production : les vitrines horlogères s’animent de cadrans, de bracelets et même de boîtiers déclinés dans toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Une magnifique symphonie chromatique, qui est un indice de régression plus que de progression ou de transgression horlogère.

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 102e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Armin Strom, H. Moser & Cie., Junghans, Louis Érard x Konstantin Chaykin, Omega, Roger Dubuis et Seiko…

Pour bien profiter de la fin de ce printemps horloger 2025, voici le 279e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à un mystérieux inconnu anonyme pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 101e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Bangalore Watch Company, Bomberg, Century, Omega, Longines, Raketa et Versace…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 100e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Bell & Ross, Frederique Constant, Hautlence, Jaeger-LeCoultre, March LA.B, Maurice de Mauriac et Nivada Grenchen…

Pour bien profiter de la fin de ce printemps horloger 2025, voici le 277e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand réalisateur italien Luchino Visconti di Modrone (1906-1976) pour la citation de son film « Le guépard » (1963, d’après le roman de Giuseppe Tomasi di Lampedusa : c’est un propos du prince don Fabric e de Salina, joué par Burt Lancaster, l’adaptation française étant de René Barjavel) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 99e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : ArtyA, Ba111od, Breitling, Gagà Laboratorio, Hermès, Louis Moinet et Versace…

Le temps des directions « familiales » est sans doute révolu dans l’univers des grands conglomérats du luxe : chez Kering, François-Henri Pinault, qui aura fait perdre beaucoup d’argent à son groupe familial, se retire de l’opérationnel au profit d’un manager extérieur. C’est la fin d’une séance très française, celle d’un capitalisme féodal articulé autour d’un actionnariat familial. Les grands connétables sont de retour.

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 98e épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : ArtyA, Blancpain, Breitling, Citizen, Cuervo y Sobrinos, Fossil et Mido…

Pour bien profiter de la fin de ce printemps horloger 2025, voici le 276e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand philosophe idéaliste allemand Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770-1831) pour la célèbre citation de ses « Principes de la philosophie du droit » (1821) qui compose le titre de cette pictochronique : Hegel nous fait prendre conscience, par cette formpule géniale, qu’on ne peut comprendre un événement que lorsqu’il est passé, quand est venu son crépuscule et qu’il est en train de disparaître. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une chevauchée onirique en relief, une sensualité italo-azurée, une virile « montre-outil » solaire, des trous dans la raquette certifiée et une transparence galbée en titane mat… Images ci-dessous : de nouvelles couleurs pour une « plongeuse » de tradition (Breitling)…

Pour bien profiter de la fin de ce printemps horloger 2025, voici le 275e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand cinéaste, scénariste et dialoguiste français Claude Lelouch (né en 1937) pour la citation de son « L’aventure, c’est l’aventure » (1972, dans la bouche de Simon, joué par Charles Denner) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…