PICTOCHRONIQUES #284
« M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde / Où l'on n'est pas toujours du côté du plus fort »
Pour bien profiter des premiers jours de cet été 2025, voici le 284e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand auteur-compositeur Jean Ferrat (1930-2010) pour la citation de sa chanson « Potemkine » (1965, musique de Jean Ferrat, paroles de Georges Coulonges) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
