PICTOCHRONIQUES #286
« Que mange la machine à argent ? Ça mange la jeunesse, la spontanéité, la vie, la beauté, et surtout ça mange la créativité. Ça mange de la qualité et ça chie de la quantité »
Pour bien profiter des premiers jours de cet été 2025, voici le 286e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci à l’immense écrivain et grand pop artiste américain William S. Burroughs 1914-1997) pour la citation de sa « Machine molle » (1961) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
