PICTOCHRONIQUES #304
« Un bienfait n'est jamais perdu : c’est peut-être pour ça qu'on n'en trouve jamais ! »
Pour bien profiter de la fin de cet été 2025, voici le 304e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand chansonnier français Pierre-Jean Vaillard (1918-1988) pour la citation de son « Hérisson vert » (1970) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité trumpienne de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
