PICTOCHRONIQUES #17
« Ceux qui déblatèrent dans mon dos, mon cul les contemple »
Dix-septième épisode de nos « pictochroniques », qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au très grand compositeur et pianiste français Éric Satie (1866-1925) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…