PICTOCHRONIQUES #253
« Être fauché n’est déjà pas drôle, si en outre il fallait se priver, la vie ne vaudrait pas la peine d’être vécue »
Pour bien entamer ce second trimestre 2025, voici le 253e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand et très contesté écrivain français Gabriel Matzneff (né en 1936) pour la citation de ses « Derniers écrits avant le massacre » (2022) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et à la psychologie des amateurs de belles montres ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
