MÉDIACHRONIQUES
Il serait peut-être temps de mettre les pieds dans le plat (et les pendules à l’heure) à propos des réseaux sociaux
Un cap a été franchi à Baselworld 2017, qui nous a permis d’assister à une prolifération sauvage de blogueurs dont la puissance – parlons plutôt du « tapage » – s’est révélée inversement proportionnelle à l’influence sur les marchés. Trop, c’est trop ! Dans la blogosphère horlogère, les masques tombent et les médias sociaux apparaissent pour ce qu’ils sont : des espaces de prédation où des marques se font piéger par des margoulins d’une hallucinante rapacité égocentrique, bien plus capables de ruiner l’image des montres que de les mettre en valeur. Et si l’âge d’or des réseaux sociaux était derrière nous – au moins pour l’horlogerie ?