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LUNDI : C'est parti pour une nouvelle série de montres en souscription

C'est étonnant, cette finale de l'Euro 2012 sans un seul partenaire horloger suisse pour les finalistes... C'est amusant, cette découverte du financement collaboratif par les jeunes marques de montres... C'est épatant, cette installation de Yoda dans un bureau présidentiel de la vallée de Joux...   ❏ LES BONNES INFORMATIONS DU WEEK-END ••• Pour la traditionnelle séance de rattrapage du lundi, on pourra se reporter au résumé des informations de la semaine proposé …


C'est étonnant, cette finale de l'Euro 2012 sans un seul partenaire horloger suisse pour les finalistes...

C'est amusant, cette découverte du financement collaboratif par les jeunes marques de montres...

C'est épatant, cette installation de Yoda dans un bureau présidentiel de la vallée de Joux...

 

❏ LES BONNES INFORMATIONS DU WEEK-END

••• Pour la traditionnelle séance de rattrapage du lundi, on pourra se reporter au résumé des informations de la semaine proposé par "Le Sniper du vendredi", mais on trouvera d'autres actualités dans les nouvelles horlogères d'un week-end par ailleurs très sportif, comme, par exemple... ••• Les "préparateurs" qui personnalisent les icônes Rolex sont-ils aussi illégitimes qu'on le prétend ? Le raisonnement vaut pour d'autres marques. Où ces "noircisseurs" de boîtiers, spécialistes de la ré-illumination des cadrans, font-ils qu'exploiter les faiblesses créatives d'une marque qui n'ose plus assumer ses propres légendes, ni les sublimer pour répondre aux demandes pressantes de ses collectionneurs (Business Montres du 30 juin) ? ••• Péquignet qui se tire une balle dans le pied (déstockage contre-stratégique sur vente-privée : Business Montres de samedi et de dimanche)... ••• Encore jamais vue : une répétition minutes "angélique" et vêtue de blanc pour Hublot (Business Montres on Sunday)... ••• La géopolitique des heures planétaires vue par A. Lange & Söhne (édition dominicale de Business Montres)... ••• Et aussi, pour un week-end d'informations en liberté : comment Richemont a déposé ses marques [pas toutes : pourquoi ?] en nom de domaine (samedi),  les scandales qui nous révèlent que la Chine n'est sans doute pas celle que l'on croit (dimanche), l'annonce d'une nouvelle montre Valbray haute en couleurs (samedi), le double coup de poker de Richard Mille, qui trinque avec une larme en diamant-platine (dimanche), les pièces uniques de Grotell (samedi : ci-contre), l'assomption de la féminité chez Zenith (dimanche) ou la patine détoxiquée de RJ-Romain Jerome (samedi)... ••• Pour finir, de nombreux liens pour des lectures utiles à 360° (Periscope Attitude), sur des sujets horlogers aussi bien que dans des domaines périphériques et connexes à l'industrie des montres : une page qui propose tous les jours de huit à dix informations utiles à connaître pour comprendre et anticiper l'actualité...  

❏ LES BONNES RÉSOLUTIONS DU PREMIER JOUR DU MOIS

••• Risquer un coup d'oeil sur l'agenda international des montres (exclusivité Business Montres) : cliquez sur le "Sapristi !" de Tintin dans la colonne de gauche pour avoir accès à tous les événements de l'été et des mois suivants. A chacun de nourrir cet agenda en nous proposant des rendez-vous intéressants (marques ou événements) qui n'y seraient pas consignés... ••• Profiter de l'été pour s'aérer les neurones en procédant à une veille sociétale tous azimuts : veille concurrentielle, veille marketing, veille médiatique, veille géopolitique. Un conseil d'ami : la page Periscope Attitude de votre Quotidien des Montres, c'est tous les mois 250 à 300 "lectures utiles" à 360°, pour vous aiguiller sur ce qui aurait pu vous échapper et pour vous proposer d'autres points de vue, non focalisés sur l'industrie des montres.  

❏ LES 17 RAISONS DE CRAINDRE LE PIRE POUR LA RENTRÉE 2012

••• On parle ici de la rentrée économique en général, et non de la rentrée horlogère en particulier, mais il est évident que les aléas de la conjoncture mondiale auront un impact direct sur la santé de l'économie des montres. Le constat en 17 points critiques dressé par le blog The Economic Collapse a beau être catastrophiste, on ne peut l'écarter d'un revers de main : les faits sont têtus, et les réalités économiques encore plus. On n'est pas obligé de croire à la prochaine Première-Récession-mondiale [sur le modèle de la Première Guerre mondiale], mais les facteurs listés sont pour le moins alarmants, comme la situation désastreuse des banques américains (les établissements européens ne sont pas en meilleur état), l'exposition mondiale à tous les produits dérivés les plus toxiques, le ralentissement évident de la dynamique internationale, les échéances politiques en Chine et aux Etats-Unis, les cyberattaques qui se multiplient et tout le reste. Là, au moins, on a la check list des clignotants au rouge.  Au fait, saviez-vous que, historiquement, septembre est le mois où éclatent les faillites bancaires systémiques (info mise en ligne sur la page Facebook de Grégory Pons) ?  

❏ UN TRÉSOR DE GUERRE DE 1,17 MILLIARD POUR INVESTIR DANS LA MONTRE

••• Les Galeries Lafayette (Paris) viennent d'empocher 1,17 milliard d'euros en revendant la part que le groupe détenait dans Monoprix. Philippe Houzé, qui emmène le groupe familial, le cache pas son intention d'accroître ses parts de marché dans le prêt-à-porter, la parfumerie, les montres, la bijouterie et l'e-commerce. Il affirmait récemment dans la presse qu'il veut faire des Galeries, "un multispécialiste de l'équipement de la personne, de la mode, de la décoration, multicanal et international" (Le Figaro). Traduction : le groupe veut devenir leader dans les métiers de l'"équipement de la personne", c'est-à-dire dans le prêt-à-porter (entrée et milieu de gamme) ou dans la bijouterie. Grâce à la percée du réseau Louis Pion effectuée par Nicolas Houzé (le fils de Philippe) dans l'horlogerie, le groupe est devenu leader français de la distribution dans ce domaine, mais il lui reste encore à confirmer cet engagement dans plusieurs secteurs du marché horloger, à la fois en termes de distribution et en termes de construction de marque – pourquoi pas en rachetant un acteur de référence dans ce domaine...  

LES ENVAHISSEURS BLEUS EN VITRINE CHEZ COLETTE (PARIS)

••• Pour les amoureux de la Space Invader [premier grand hommage horloger à la culture populaire des "jeux d'arcade"], pour ceux qui craqueraient aussi pour le bleu Klein et pour ceux qui se passionneraient pour les séries limitées réservées à Colette (Paris), la montre de l'été est arrivée. Les envahisseurs pixellisés de la première killer application ont revêtu la couleur bleue emblématique du magasin, pour une édition limitée à seulement huit pièces et en vente exclusivement dans la célèbre boutique tendance. Ce bleu ne se retrouve sur aucune des séries courantes des montres Space Invaders (envahisseurs rouge, vert, violet et jaune). Il faudra poser 14 900 euros sur la table pour l'avoir : en attendant, profitez de la play-list Colette grâce au lien ci-dessus. Cette montre était une révélation Business Montres du 8 juillet 2011 (annonce préalable d§s le 9 mars, info n° 7) : on avait bien aimé – on aime toujours – l'entrée dans les légendes horlogères contemporaines de ce premier divertissement iconique de l’histoire.

••• On sait que des milliers d’heures de télévision et des centaines d’expositions culturelles ont été consacrés à cette légende générationnelle, aujourd'hui logée dans le boîtier emblématique de la collection Moon Invader, réalisé dans un acier fusionné avec des fragments d’Apollo 11. Les quatre rotules fonctionnelles aux coins du boîtier sont travaillées comme les pieds du LEM des missions lunaires américaines. Très sophistiquées dans leur construction et montées sur des axes ancrés dans le boîtier, les rotules supportent les barrettes du bracelet en caoutchouc. Elles permettent à la montre de s’adapter à toutes les tailles de poignet. Autre marqueur de l’épopée spatiale dans laquelle évolue la collection Space Invaders, le disque en argent Moon SilverRJ, un alliage d’argent à très faible taux d’oxydation dans lequel des roches lunaires ont été fusionnées. Il reproduit la surface lunaire et est apposé sur le fond stellaire de la montre...  

❏ LE GMT MÉCANIQUE (MANUEL) LE MOINS CHER DE L'HISTOIRE HORLOGÈRE

••• Il vient d'être inventé par LOLwatch : en y regardant de plus près (vidéo ci-dessous), on s'aperçoit que les smileys interchangeables de la montre sont utilisables comme des villes de référence, qu'on peut afficher manuellement. Comme chaque disque ne coûte que 5 CHF, c'est probablement le GMT "mécanique manuel" de toute l'histoire des montres suisses. Comme on dit chez LOLwatch : 8) ! Plus sérieusement, LOLwatch, la nouvelle marque lancée par Nicolas Ruchonnet devrait faire ces jours-ci son apparition sur Kickstarter, le site le plus connu de financement collaboratif (crowdfunding), avec l'idée d'y lever assez de fonds pour lancer en grande série ces montres basées sur le principe des émoticônes affichées par la lunette tournante. Un concept ludique, participatif et décalé, quis'inscrit dans la nouvelle vague des marques lancées en souscription, dans la tradition de ce que faisait Breguet et de ce que vient de réussir VincenTerra. Pour des précisions supplémentaires, ne pas manquer les images des différents modèles sur la page LOLwatch de Facebook, qui signalera sans doute l'ouverture de la souscription sur Kickstarter...  

❏ UN SECOND PROJET DE MONTRE EN SOUSCRIPTION

••• Cette fois, ce sera sur PleaseFund.us, site comparable à Kickstarter : la marque Terrenaut, qui existe déjà, veut y trouver les moyens d'assurer son développement. Son appel à l'épargne privée de proximité sera en ligne d'ici à la fin de la semaine, mais on peut déjà découvrir les montres Terranaut sur leur site et sur Twitter, ainsi que sur une vidéo proposée aux futurs souscripteurs (ci-dessous). Concept et positionnement de cette nouvelle marque britannique (groupe Time is precious) : le créneau des grosses pièces (50 mm minimum), exploitées dans la distribution traditionnelle pour créer une collection qui soit à la fois accessible et mode (luxury fashion), avec des montres de tous les jours agréables à porter et gentiment éthiques.  

❏ QUELQUES INFORMATIONS HORLOGÈRES NOTÉES EN VRAC, EN BREF ET EN TOUTE LIBERTÉ

  ••• CHAISES MUSICALES : échange de fauteuils à la direction des boutiques au coeur de la Genève horlogère. On savait que Hervé Estienne (ex-Chronopassion Paris), qui dirigeait la boutique Jaeger-LeCoultre de Genève, a pris la direction de la MAD Gallery de MB&F (c'était une révélation Business Montres du 2 mai). On saura maintenant que Isabelle Boutantin (ex-Patek Philippe : ci-contre), qui dirigeait avant lui la boutique MAD Gallery pour MB&F, part remplacer Hervé Estienne à la direction de la boutique Jaeger-LeCoultre de la rue du Rhône, toujours à Genève. Le monde est petit, Genève encore plus, et la distribution horlogère microcosmique...   ••• ET LE TOUR DE FRANCE ? On va accompagner Festina pour quelques semaines sur les blogs et les médias sociaux de la marque (This is our sport), mais on se demande si c'est du lard espagnol ou du cochon français : quasiment le même blog (This is our sport) est à moitié rédigé en espagnol, l'autre moitié en français et en anglais. Deux blogs pour une même marque et un même événement, mais pas tout-à-fait avec les mêmes informations : Miguel Rodriguez a les moyens de ses ambitions vélocypédistes. Nous, on préfère la version ibérico-française : "Si eres un amante del ciclismo comparte con nosotros el vínculo que nos une a este apasionante deporte"...   ••• JAEGER-LECOULTRE : premières images de ce qui sera la boutique Jaeger-LeCoultre de la place Vendôme (rendu artistique d'architecte). Plutôt clair et lumineux, plutôt classique et traditionnel, plutôt sobre et luxe discret : inauguration en septembre (Olivier Muller)...   ••• ICE-WATCH : un porte-bonheur pour l'équipe d'Espagne, le cadran à drapeau espagnol Ice-Watch placé sur la Une de Business Montres (en haut à gauche) ? A chacun d'en juger à l'issue du 4-0 en finale de l'Euro 2012...   ••• TAG HEUER : une "revue" très complète (encore que modérément technique) sur une montre chronographe qu'on mettra des années à comprendre, et peut-être même à accepter tellement elle est révolutionnaire et rupturiste par rapport aux canons de l'horlogerie mécanique traditionnelle. Calibre 11 (blog indépendant de la marque) étudie en profondeur le chronographe MikrotourbillonS, double tourbillon double fréquence double barillet, capable de chronographier (très fugacement) des temps courts au 1/10 000 e de seconde – record du monde de la spécialité pour un bon moment, au moins pour l'horlogerie mécanique suisse. Excellentes images, gros plans impressionnants et précisions sur le prix (autour de 220 000 CHF) : une vingtaine de MikrotourbillonS (montre présentée à Baselworld cette année) auraient déjà été commandés...   ••• AUDEMARS PIGUET (1) : maintenant que l'ancien bureau de Philippe C. Merk a été refait à neuf [quel chenil "Fifi" avait laissé, pour un Suisse alémanique !], un nouveau personnage a fait son apparition au Brassus ! En lieu et place de l'ancien CEO, ni plus ni moins que Maître Yoda, grandeur nature – ce qui limite un peu la taille ! De là à voir FHB arpenter les couloirs de la manufacture en Darth Vader, il n'y a qu'un pas – que nous ne franchirons pas. On ignore la signification exacte de cette installation dans l'ancien bureau présidentiel : s'agit-il d'un message subliminal pour indiquer la Guerre des étoiles a déjà commencé [mais, alors, qui est l'empereur Palpatine ?] ou est-ce pour préciser, toujours aussi subliminalement, que, dans le monde fangeux de Dagobah, un jeune rebelle plein d'avenir vient d'arriver pour terminer son apprentissage de futur Maître Jedi ?   ••• AUDEMARS PIGUET (2) : en revanche, la grande affaire au Brassus et chez tous les combiers, c'est qu'on ait... zappé le Brassus, référence qui figure pourtant dans la nouvelle signature d'Audemars Piguet.  Zappé où, quand et comment ? La vallée a été totalement privée de l'exposition des 40 ans de la Royal Oak, qui y était née. La fête du personnel prévue pour cette anniversaire, a bien eu lieu, mais à l'Arena (Genève), avec une découverte de l'exposition itinérante, mais rien au Brassus, où il aurait été plus logique que tout commence ou que tout finisse. Encore une boulette de communication à inscrire au passif de la direction précédente...   ••• BREITLING PARIS : même si elle n'est pas officiellement inaugurée, la boutique Breitling de la rue de la Paix s'ouvre aux amateurs. Passion Horlogère en a ramené un reportage photo assez complet, qui permettra aux sceptiques de vérifier que Business Montres (22 juin) n'exagérait pas en parlant d'un "peintre plutôt hard" à propos de Kevin T. Kelly. La sélection proposée par la boutique est cependant très prude... Encore que (image ci-contre : au centre de la boutique) ! ••• Une précision à ce sujet : nos remarques ne sont pas inspirées par une quelconque pudibonderie [on a connu pire, et bien plus chaud, dans certaines séries estivales hyperréalistes de Business Montres, au cours des années précédentes], mais pour souligner à quel point il est nécessaire qu'une marque prenne des risques, dans sa communication – Breitling n'en a pas besoin tant son récit aéronautique est bien calé – comme dans les signes extérieurs de sa communication, dont la décoration d'une boutique fait partie. A chaque marque, ensuite, d'assumer ses contradictions. Ça n'aidera évidemment pas la majorité des femmes à se sentir à l'aise dans cet univers très macho, mais qui peut croire que les fameuses Chiennes de garde ont envie de porter des Breitling ?   ••• MONTBLANC : "Soixante secondes pour tomber amoureux" (The beauty of a second), c'est la sélection-compilation de plus de 4 400 vidéos envoyées par les internautes pour célébrer chacun une seconde de bonheur. Il s'agissait pour la marque de célébrer le 190e anniversaire de l’invention du chronographe par Nicolas Rieussec. Ce projet vidéo était parrainé par le cinéaste Wim Wenders : il a été récompensé par le prix de la meilleure play-list (ci-dessous) aux récents Cannes Lion 2012 (festival du film de publicité). Une opération intéressante à décoder : bon prétexte historique (Rieussec), relégitimation intelligente de la marque sur le terrain chronographique qu'elle s'est choisi (seconde), valeurs positives de l'association seconde-bonheur (vidéo), stratégie communautaire (appel aux internautes), valorisation par un référent extérieur (Wenders)...     ••• VACHERON CONSTANTIN : réapparition d'une pièce unique de la marque, datée de 1913 et bien marquée par les canons floraux et colorés de l'Art nouveau (ci-contre). Le storytelling de Tempus Suisse, qui propose cette montre de femme à 8 600 CHF, nous affirme qu'elle est de "qualité musée", ce qui n'engage que le vendeur et, éventuellement, le musée Vacheron Constantin s'il voulait l'acquérir. La pièce est étonnamment fraîche pour son âge et pour ses 23 mm de diamètre, avec ses cornes "boulées", avec son cadran en porcelaine non marqué (le 12 est en rouge, comme le voulait les canons de l'époque) et avec son sertissage fleuri bicolore. Plutôt mignon, mais pas forcément convaincant à ce prix en dépit de son bon état...   ••• ROLEX (1) : dans la série des Rolex réinventées par les "préparateurs" (Business Montres du 30 juin), une idée audacieuse de Brevet +, "experts en customisation", qui a osé les Daytona alphabétiques ! Comprenez par là – c'est une première dans l'histoire de la "préparation" des Rolex – des cadrans dont les chiffres arabes sont remplacés par des chiffres hindi-arabes (les vrais, pas les nôtres) ou par des chiffres chinois (ci-dessous). Les intégristes vont hurler, mais c'est plutôt rigolo. On n'est pas obligé de croire à l'helvéticité de Brevet +, en dépit de la croix suisse de son logo, ni à l'extraordinaire innovation de son "Amphorous DLC" annoncé sur son site – qui doit plutôt relever de l'Amorphous DLC, pas très différent de celui que connaissent les marques horlogères...

  ••• ROLEX (2) : un très beau documentaire de Rolex sur la plongée profonde qui détient toujours le record du monde (- 10 916 m en 1960, avec Jacques Piccard et Don Walsh à bord du bathyscaphe Trieste, dans la fosse des Mariannes). Réalisé par JWT New York, la nouvelle version longue (22:39 mn) de Deepest Dive (ci-dessous) est un plaisir visuel à déguster calmement. On peut également le télécharger à l'App Store pour son iPad. Ce contenu de marque avait beaucoup impressionné les spectateurs lors des récents Cannes Lions 2012, mais sans décrocher de récompense.  

 
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