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MERCREDI : Les indés sont... pendus, mais la nouvelle bataille de la créativité accessible les attend...

Autres temps, autres moeurs : au lieu d'un disque de platine qu'on accroche au mur, les nouvelles popstars planétaires préfèrent accrocher à leur poignet une Franck Muller en platine, sertie dans le « Gangnam Style » deux fois milliardaire sur les réseaux sociaux.  ▶▶▶ EN RÉSUMÉ...❏❏❏❏ ANALYSES, IN–10–CRÉTIONS, INFORMATIONS, RUMEURS & MURMURES : le tout noté à la volée, en vrac, en bref et en toute curiosité. Au programme...❏❏❏❏


Autres temps, autres moeurs : au lieu d'un disque de platine qu'on accroche au mur, les nouvelles popstars planétaires préfèrent accrocher à leur poignet une Franck Muller en platine, sertie dans le « Gangnam Style » deux fois milliardaire sur les réseaux sociaux.

 
▶ EN RÉSUMÉ...
❏❏❏❏ ANALYSES, IN–10–CRÉTIONS, INFORMATIONS, RUMEURS & MURMURES : le tout noté à la volée, en vrac, en bref et en toute curiosité. Au programme...❏❏❏❏ ÉDITORIAL : les indépendants sont-ils désormais des indé... pendus ? C'est l'heure de la bataille décisive autour de l'accessibilité créative... ❏❏❏❏ SUR MESURE : les commandes spéciales des milliardaires amateurs de belles montres exceptionnelles... ❏❏❏❏ COMMUNICATION : c'est bizarre, mais la visite de la « manufacture » nord-coréenne supposée fabriquer sur place le smartphone de Kim Jong-Un me fait penser à quelque chose (image ci-dessus : commentaires dans les in-10-crétions du jour)... ❏❏❏❏ HARRY WINSTON : la reprise en main par le Swatch Group et le transfert des activités de haute horlogerie chez Blancpain... ❏❏❏❏ CHAISES MUSICALES : une pointure horlogère chez Laurent Ferrier et un professionnel du luxe chez Anonimo... ❏❏❏❏ BAMFORD (1) : était-ce bien malin de gâcher ainsi une Deepsea Rolex avec des avions à la place des aiguilles ? ❏❏❏❏ BAMFORD (2) : Popeye s'offre une hilarante Yacht-Master en or... ❏❏❏❏ BONNE HUMEUR : dans les boutiques d'horlogerie, auriez-vous l'esprit de l'escabeau ? ❏❏❏❏ VOYAGE : un curieux classement sur de curieux critères des montres à fuseaux horaires... ❏❏❏❏ SMARTWATCH : cette Echo est tellement parfaite qu'elle ressemble même à une montre... ❏❏❏❏  CULTURE : alerte aux diamants de synthèse, toujours plus nombreux à se retrouver dans des lots de diamants naturels... ❏❏❏❏ FRANCK MULLER : l'homme aux 2,2 milliards de spectateurs a enfin la montre qui lui convient...
 
 ÉDITORIAL
Les indés sont pendus...
◉◉◉ Aucun média horloger n’a été plus critique que Business Montres pour pointer du doigt le rôle éradicateur et parfois prédateur joué dans le paysage horloger par les grands groupes et par les méga-marques globalisées. Aucun média horloger n’a soutenu plus et mieux que Business Montres la nouvelle génération horlogère, les créateurs indépendants et tous les rebelles de la montre – y compris quand il s’agissait de jeunes marques ou d’équipes qui ne le méritaient pas forcément, mais il est toujours difficile, à chaud, de séparer le bon grain de l’ivraie. Le tout avec en tête une certaine idée de l’horlogerie. Le tout au nom des valeurs séculaires de l’art de faire des belles montres, dans le respect de la culture européenne des beaux-arts du temps. Le tout avec la conviction profonde que seuls les poissons morts nagent avec le courant et qu’il faut dire les choses comme elles sont, sans génuflexion devant les puissances de l’argent ou les vaches sacrées de la tradition…
 
◉◉ Une décennie après le bourgeonnement créatif des années 2000, le paysage a terriblement changé, du côté des marques comme du côté des marchés, des détaillants et des consommateurs. On peut estimer qu’il s’est créé, autour du biotope suisse, pas de loin de 250 nouvelles marques indépendantes en deux lustres – soit presque plus qu’il n’en existait à la fin des années 1990. Un instant bousculées dans leur environnement, les « grandes marques » ont réagi en remportant deux campagnes de première importance : l’accès au marché et l’accès aux médias. Les indépendants ont perdu la bataille de la distribution : les détaillants sont désormais trop soumis à la pression des grands opérateurs pour qu’ils puissent accorder aux indépendants la place dont ils auraient besoin pour leur développement commercial ; les médias horlogers sont désormais trop dépendants de la perfusion publicitaire pour qu’ils puissent consacrer aux créateurs non-alignés l’espace rédactionnel nécessaire à leur émergence.
 
◉◉◉ Les indépendants sont à présent indé… pendus ! Cantonnés dans leur niche quand ils ont pu s’y épanouir, ils savent qu’ils n’en sortiront plus. Ils sont pendus stratégiquement, pendus commercialement [peu de perspectives de croissance organique, avec des perspectives dangereuses en termes de trésorerie], pendus médiatiquement, pendus industriellement et logistiquement [le champ des fournisseurs insensibles aux exigences des grands donneurs d’ordre se restreint] et souvent pendus financièrement [avec des actionnaires de plus en plus frileux, impatients ou inconstants]. D’ici à la fin de l’année, il faut s’attendre à une décimation spectaculaire : si une petite cinquantaine des nouvelles marques de la génération 2000 ont déjà succombé ou se trouvent en état de mort clinique, une bonne vingtaine d’autres devraient trébucher dans les sanglots de l’automne 2013 [ce qui sera, au sens étymologique, une vraie décimation à la romaine]
 
◉◉◉ Est-ce à dire que les pendus sont perdus ? Bien sûr que non ! L’ancien écosystème les condamne provisoirement [pour beaucoup, la survie sera problématique], mais cet écosystème poursuit sa mutation avec la même logique obstinée de sélection darwinienne. C’est là que les indépendants, qui ont perdu la bataille de la distribution et de la communication [séquences qui n’étaient in fine que tactiques], peuvent se refaire sur la reine des batailles, la plus stratégique, la seule qui conditionne l’avenir et la fin de la guerre : la bataille de la créativité et de l’accessibilité.
 
◉◉◉ Entre 2001 et 2013, après avoir ouvert la porte à de nouvelles aventures, qui ont fait rêver tous les jeunes entrepreneurs horlogers, Richard Mille l’a finalement refermée derrière lui. Il sera, au moins pour les années à venir, le premier et le dernier de la génération des années 2000 à avoir pu développer sa marque pour la revendre avec profit à un groupe de luxe. Une issue désormais fermée pour ceux des créateurs indépendants qui y songeaient. Cette règle de fonctionnement non écrite – qui avait pu profiter à des projets comme Blancpain, Roger Dubuis ou même Hublot – est désormais caduque. Comment survivre dans un monde aussi mouvant ? Face aux dinosaures géants du Crétacé, les petits Purgatorius – ancêtres de tous les mammifères, donc premiers bourgeons de notre lignée humaine – n’avaient objectivement aucune chance. Pourtant, ces primates primitifs ont supplanté les archosaures, que ne subsistent plus qu’à l’état de poulets [pour faire court] ou d’alligators élevés pour faire des sacs à main [pour faire tout aussi court]. Ce qui prouve que la vie se fraye toujours un chemin dans l’imprévu...
 
◉◉◉ Les méga-marques mondialisées doivent plaire à trop de publics trop différents pour pouvoir prendre des risques créatifs. On peut considérer que la culture du mainstream et de la culture interne de la bureaucratie émoussera très vite leurs capacités en érodant leur pouvoir d’attraction. Au contraire, la créativité est la seule arme des indépendants, qui vont devoir multiplier les offres pour réveiller l’appétit des amateurs. À une condition, dont le paramétrage est étroitement corrélé à la créativité : l’accessibilité. Les marques non alignées ont toutes les chances de gagner cette bataille de l’accessibilité, qui se joue sur un segment de marché délaissé par des macro-maisons de luxe obsédés par leur rentabilité à court terme et par les pressions de leurs actionnaires. S’il existe, sur ce segment de marché « accessible », des marques pilotées par les groupes de luxe, elles sont paralysées par les pesanteurs de leurs structures planétaires et apparemment incapables de prendre la moindre initiative en termes d’innovation ou de rupture [Tissot vit maintenant depuis plus de dix ans sur sa technologie tactile et Swatch n'a pas su résister à l'offensive de Ice-Watch sur le segment du plastique en couleurs]. C’est donc autour du binôme créativité-accessibilité que va se jouer la victoire sur le terrain…
 
◉◉ Jusqu’ici, depuis les années 2000, les indépendants ont pu vivre au-dessus de leurs moyens [tout comme l’horlogerie suisse, en général] : ce n’est pas le brio du marketing horloger, ni les mérites particuliers des marques suisses, qui ont élargi les parts du gâteau, c'est la croissance spectaculaire de l’économie mondiale qui en accroissait la substance. L’industrie des montres a suivi et accompagné – sinon subi – cette « bulle » de la richesse internationale. Les créateurs indépendants ont pu vendre à peu près n’importe quoi à n’importe quel prix, sur un marché qui avait trop faim de signes extérieurs de richesse pour regarder à la dépense. Hélas, la crise bancaire de 2008 et la crise économique mondiale de 2012 ont sifflé la fin de la récréation. Le retournement idéologique du marché chinois vis-à-vis des montres de luxe est ici symptomatique des nouveaux rapports de force. En s’identifiant trop étroitement et trop ouvertement à une hyper-classe globalisée comme aux « nouveaux riches » des insolentes fortunes spéculatives, les marques de luxe courent le danger d’être assimilées à ces « élites » de plus en plus honnies dans les terres traditionnelles de la culture horlogère.
 
◉◉◉ Alors que le prix des montres a plus que doublé en dix ans [sans justification substantielle en termes de produits] et alors que les marques ont privilégié à outrance la filière asiatique, tant dans l’approvisionnement en nouveautés que dans les opérations de relations publiques, l’Europe s'est trouvée dépossédée de sa légitimité en tant que centrale d'énergie (création de valeur et création du goût). Du fait de cette désertion des marques, dépositionnées de fait de leur ancien pré-carré, l'Europe (dans une moindre part, les Etats-Unis) est redevenue une terre de mission pour les créateurs indépendants – pourvu qu’ils soient capables de formuler des offres économiquement compatibles avec des amateurs étrillés par la crise, mais toujours amoureux des montres et toujours en quête des émotions qu’elles procurent. Des amateurs qui ne se contenteront pas longtemps du « retour au classique » et des infinies rééditions patrimoniales ou para-légendaires. Des amateurs qui ont plutôt mal pris cet « abandon » de marques dont ils avaient fait la gloire et qui auront la rancune tenace...
 
◉◉◉ Pour les marques indépendantes et inventives, l’objectif est de retrouver un inexpugnable territoire de légitimité sur les anciennes terres de culture horlogère, en imaginant, autour des 5 000 euros/francs suisses, des montres qui soient aussi créatives, amusantes, innovantes et rupturistes que leurs propositions de haute horlogerie [facturées hier dix, vingt ou cinquante fois plus cher]. C’est tout le référentiel prix qu’il faut revoir, d’urgence, en coupant l’herbe sous le pied des grandes marques, dorénavant incapables de réagir sur ce terrain. La jeune génération américaine l’a déjà bien compris avec les initiatives récentes de Devon, de Shinola ou de 2(X)IST. Qu’on regarde de plus près, en Suisse, une initiative comme celle de Seven Friday : que « cent fleurs s’épanouissent », comme disait Mao Zedong, sur ce terreau fertile ! On veut bien parier que ce sera la vraie (nouvelle) révolution horlogère des années 2010, celle de la post-modernité issue des bulles du fric trop facile enfin dégonflées.
 
◉◉◉ Evidemment, le retour du bâton va exiger de chacun qu’il y mette du sien. Des jeunes marques qu’elles modèrent leurs délires mégalomaniaques. Des fournisseurs qu’ils en finissent avec leurs exigences pharaoniques. Des détaillants qu’ils se persuadent (enfin !) de la volonté des grandes marques de les éliminer du circuit et qu'ils en tirent les conséquences. Des amateurs qu’ils en terminent avec les génuflexions obligatoires devant le storytelling des vaches sacrées. Des médias qu'ils retrouvent le goût de l'information en ne le confondant plus avec la communication. Etc.
 
◉◉◉ Ce n'est qu'un début : le combat continue. Vivent les indé-battants !
G.P.
 
 FRANCK MULLER
La montre du Coréen aux 2,2 milliards de connexions...
◉◉◉ Un chanteur fera-t-il jamais mieux que le fameux Psy, cette global star coréenne qui s'est offert, en moins d'un an, 2,2 milliards de spectateurs pour ses deux vidéos (1,730 milliard pour « Gangnam Style » et seulement514 millions de vues en quatre mois pour « Gentleman ») ? Il fallait à ce phénoménal Psy (싸이 en coréen, Park Jai-sang à l'état-civil) – première superstar mondiale sacrée uniquement par les réseaux sociaux – une montre à la hauteur de ses ambitions et de son succès planétaire. Ce qui tombait bien pour la manufacture Franck Muller, dont il est un fervent admirateur depuis quelques années. L'homme qui frétille du popotin dans les écuries (vidéo de rappel pour ceux qui auraient oublié la rengaine et ses mimiques) a donc passé commande d'une pièce unique, d'un goût parfait (ci-dessous), qui lui a été livré sur place par Franck Muller en personne. Le tout sous le regard ému de Pollyanna Chu, notre « dame de platine » préférée (c'est la tête pensante du réseau Sincere en Grande Chine et la stratège du retour de Franck Muller sur la scène asiatique), de son fils Kingston Chu (ci-contre, avec Franck Muller et Psy) et de leur équipe. Le fond gravé reprend la signature du chanteur le plus populaire des années 2010 et sa silhouette sautillante, avec les poignets croisés symboliques de son style, silhouette qu'on retrouve sur le cadran de cette Cintrée Curvex 8880 en or gris , abondamment sertie de 6,97 carats de diamants (blancs pour le pavage, noirs pour le lettrage) par le « Master of Complications », qui a tenu à souligner à cette occasion à quel point la maison Franck Muller encourageait la musique, les arts et les lettres...
 
 
 
 
 
 LES IN–10–CRÉTIONS DU JOUR
Notées à la volée, en vrac, en bref et en toute liberté... 
 
◉◉ CHAISES MUSICALES (1) : arrivée prochaine d'un nouveau directeur général chez Anonimo, marque récemment rapatriée en Suisse (Business Montres du 12 avril). Cedrick Boutonet (ex-Dunhill, ex-Cartier, ex-Vertu) abandonne la direction commerciale de Zilli, où il ne sera resté qu'un an, pour la relance d'Anonimo sur une base Swiss Made plus conforme avec les ambitions des nouveaux investisseurs...
 
◉◉ CHAISES MUSICALES (2) : un nouveau renfort de poids pour l'équipe horlogère de Laurent Ferrier, celle du constructeur Eric-Jean Weber, qui était coordinateur technique chez Harry Winston (où il ne sera resté qu'un an) après être passé chez DeWitt, Chopard et Patek Philippe. Explications ci-dessous pour cette exfiltration d'un des plus talentueux constructeurs de mouvements de la place genevoise...
 
◉◉ HARRY WINSTON : la stratégie du Swatch Group concernant le destin purement horloger de la marque se profile plus nettement, avec le transfert sous tutorat Blancpain des forces vives de la création et de la construction des mouvements et de complications [voir ci-dessus le départ d'Eric-Jean Weber]. Désoeuvrée depuis quelques mois, l'équipe genevoise a commencé sa migration vers d'autres maisons. Il se confirme ainsi que le repositionnement de la marque Harry Winston sera prioritairement haute joaillière, le maintien d'une activité horlogère devenant résiduelle et limitée à l'entretien des collections en cours. L'institution de ce  « tutorat » par les ateliers Blancpain limite toute création autonome. Aucune confirmation du maintien de l'esprit Opus, ni de la poursuite des « Histoire de Tourbillon »...
 
 
◉◉ BAMFORD : était-il absolument indispensable de « saloper » à ce point une Deepsea Rolex, en lui ajoutant des avions [sur une montre de plongée !] en guise d'aiguilles et en redessinant une planisphère sur le cadran ? C'est la série limitée Marc Quinn - Low Altitude réalisée par Bamford (ci-dessus). Pas de quoi se vanter... On lui préfèrera une proposition beaucoup plus amusante dans le décalage, comme la Popeye Army vs Navy réalisée par Bamford dans une Yacht-Master en or, à la demande de la marque de mode Dr Romanelli (ci-dessous). Ce n'est pas le premier détournement de Rolex par cette griffe, qui avait déjà « popeyisé » une Yacht-Master, moins convaincante en noir, mais c'est le plus hilarant depuis les Rolex Bubbleback Mickey des années 1940. Tant qu'à refaire sans autorisation des cadrans Rolex, Bamford aurait dû poser la couronne sur la tête de Popeye...
 
 
◉◉ MONTRES DE VOYAGE : disons que ce sont des montres de voyageurs. Un étrange classement de Best of Luxury, avec d'étranges critères de classification, institue un étrange podium, qui voit l'Esplendidos Dual Time de Cuervo y Sobrinos [tant mieux pour eux !] devancer Ulysse Nardin (El Toro), Girard-Perregaux (ww.tc Lady), DeWitt (Hora Mundi Silicium) et Patek Philippe (World Time)...
 
◉◉ COMMUNICATION : c'est bizarre, mais la visite de la « manufacture » nord-coréenne supposée fabriquer sur place le smartphone de Kim Jong-Un (image en haut de la page) fait penser à quelque chose. Mais à quoi ? Est-ce l'aspect totalement construit de cette scène dans un faux décor high-tech éclairé au néon ? Est-ce l'ambiance de ce village Potemkine et d'une fabrique où il semblerait qu'on ne fasse, au mieux, qu'assembler un téléphone produit en Chine ? Est-ce le côté démonstrateur commercial du dictateur joufflu ? Est-ce la déférence studieuse et l'attention forcée des « journalistes » en uniforme, avec leur stylo au garde-à-vous ? Cherchez l'erreur, mais ça rappelle les visites de manufactures horlogères en Suisse...
 
◉◉ COMMANDES SPÉCIALES : « Les montres préférées des clients les plus fortunés » (à lire dans Bilan). Les commandes spéciales des richissimes amateurs ont toujours fait tourner les ateliers des grandes manufactures et, quelques décennies plus tard, assuré la notoriété des commissaires-priseurs dans les salles d'enchères. La tradition se perpétue, avec des « commandes tantôt pharaoniques, tantôt insolites »...
 
◉◉ SMARTWATCH : la « montre intelligente » idéale ne serait-elle pas celle du designer Brian Khouw ? Il ne manque rien à cette Echo Smartwatch pour plaire, pas même la forme ronde d'une montre traditionnelle...
 
◉◉ DIAMANTS DE CULTURE : nouvelle alerte au diamants synthétiques, dont un lot non identifié comme tel vient d'être retrouvé par la laboratoire AG&J (Analytical Gemology & Jewelry, New York) à travers une livraison de diamants naturels achetés à Mumbai. Il s'agissait de 18 diamants (17 taille brillant et une taille marquise), d'un poids total de 6 carats, d'une taille allant de 0.14 à 0.635mm, avec des couleurs allant du F au G, de qualité VVS à SI. Le fait que ces diamants de culture aient pu échapper aux premières analyses spectroscopiques prouve que les frontières sont désormais poreuses entre les « vrais » et les « faux », les laboratoires de synthèse ayant fait des progrès considérables dans la création de ces pierres, désormais capables d'être produites à bas prix.
 
◉◉ BONNE HUMEUR : profitez de vos vacances pour inspecter le boutiques horlogères et souvenez-vous que la pièce qui vous intéresse est placée en haut du mur. Ensuite, appréciez le spectacle : c'est innocent et bon enfant. Il n'est pas interdit de rigoler...
 
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