WATCH COMEDY CLUB #198
« Pour s’exprimer dans une langue claire et vigoureuse, il faut penser sans crainte, et celui qui pense sans crainte ne peut être politiquement orthodoxe »
En dix images détournées et autres photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au fondamental George Orwell (1903-1950) pour la citation de son « Comment meurt la littérature » (1946) qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère, non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…