LE SNIPER DU VENDREDI
Quand ils mènent leur absurde guérilla de retardement, les syndicats de l’horlogerie s’aveuglent sur la vague de licenciements massifs qui se prépare
N’ayant rien compris à la crise qui enflait, mais qu’ils refusaient de voir, les syndicats de l’horlogerie s’attachent à une défense absurde des emplois quand il faudrait veiller à la défense du tissu industriel. Leur syndicalisme de connivence est tout aussi obsolète que le logiciel d’incompétence des états-majors horlogers menacés par la crise existentielle que nous traversons. Vivement demain, quand ce vieux monde aura basculé dans l’oubli…