LE SNIPER DU LUNDI
Quand la Chine attrape la grippe, c’est toute l’horlogerie suisse qui file aux urgences
Après-demain, nous aurons une première idée (partielle) de l’impact du coronavirus sur les exportations horlogères suisses : un premier « mercredi noir », sachant qu’il faudra attendre le vrai « jeudi noir » du mois prochain (19 mars) et les statistiques de février pour commencer à comprendre l’ampleur des dégâts provoqués par la torpille épidémique chinoise sous la ligne de flottaison de l’industrie suisse. Notre première estimation sur les pertes commerciales en a défrisé plus d’un, mais nous la maintenons et nous ne demandons qu’à en débattre…