BREITLING SOUS PAVILLON LUXEMBOURGEOIS
Questions pour un ex-champion de la voltige aérienne, qui risque de casser du bois à l’atterrissage
On peut se féliciter du rachat de Breitling par un fonds financier sans expérience horlogère, comme le répète l’ex-actionnaire de la marque, Teddy Schneider. Cela évitera au moins à la marque de tomber entre des mains chinoises. On peut aussi se demander si, pour une (grosse) poignée de dollars, on n’a pas mis en danger la marque, laquelle aurait été plus en sécurité avec un partenaire horloger qui préférait payer moins cher. À part maximiser leurs profits à court terme, que savent faire ces turbo-capitalistes ? Et comment optimisent-ils leurs profits, ces investisseurs qui sont tout sauf des bisounours ? Inutile de vous faire un dessin pour les réponses…