REPÉRAGES #04-2022 (accès libre)
Sept montres qui nous promettent la Lune, des éclipses et un retour vers le futur
Nouvelle séquence pour démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Voici une présentation des premières montres du premier semestre 2022, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, H. Moser & Cie., Herbelin, Longines, Maurice Lacroix, Nomos Glashütte et Zenith…
ZENITH Defy Revival A 3642
Après les reproductions très appréciées et recherchées de modèles historiques El Primero des années 1960-1970, la manufacture Zenith se penche sur une autre pièce phare de 1969 : la Defy Revival A3642, réinterprétation moderne du tout premier modèle Defy. Si l'année 1969 restera à jamais un jalon pour Zenith et pour l'horlogerie en général avec l’introduction du calibre El Primero, une autre surprise de la Manufacture entre également en scène cette année-là : la collection Defy. Prenant fermement position contre la déferlante de montres à quartz qui menaçait de décimer l'horlogerie suisse traditionnelle, Zenith a prouvé alors que les mouvements mécaniques étaient destinés à perdurer en créant un garde-temps au design singulièrement audacieux et d’une robustesse avec laquelle les montres électroniques produites en masse de l'époque ne pouvaient tout simplement pas rivaliser. L’incarnation de cet esprit audacieux était la Defy A3642, ouvrant à la Manufacture de nouvelles pistes de conception et de performance à explorer. L'A3642 a été judicieusement surnommée « le coffre-fort ». Son boîtier octogonal audacieux, associé à une lunette à 14 côtés, permet de faire preuve d'audace et de robustesse grâce à des lignes et des facettes bien définies et à différentes finitions, éléments repris dans la collection moderne Defy de Zenith. Dotés d’un bracelet « échelle » en acier conçu et réalisé par la célèbre société Gay Frères, la Defy originale était certainement en avance sur les montres sportives à bracelet en acier au design très géométrique. Avec une étanchéité de 30ATM (300 mètres) assurée par une couronne vissée, la Defy A3642 et sa réincarnation moderne Revival sont assurément des montres tout-terrain adaptées à toutes les situations.
Reproduite avec une précision étonnante à partir des plans de production originaux de 1969, la Defy Revival A3642 reprend tous les détails et les caractéristiques esthétiques singulières qui ont rendu l'original si exceptionnel à l’époque, et qui ont établi les codes qui continuent d'inspirer les références Defy modernes. Son cadran d’un gris chaleureux avec un effet dégradé saisissant qui s'assombrit vers les bords était parmi les premiers de son genre lors de son introduction en 1969. Les index carrés appliqués inhabituels présentent des rainures horizontales qui donnent une impression de mouvement perpétuel. Les larges aiguilles glaive sont généreusement garnies de Super-LumiNova dans un ton similaire à celui du tritium de l'original, associé à une aiguille des secondes de type spatule qui est une caractéristique importante de nombreuses montres Zenith de la même époque. En réalité, les seules petites différences apparentes entre la Revival et sa aïeule sont le verre saphir, le fond du boîtier et le type de pigments luminescents. L'autre différence principale se situe à l'intérieur. Au lieu du fond massif de l'original, orné d'une étoile à quatre branches, qui est devenu l'un des logos de la marque et un élément de design récurrent pour les années à venir, la Defy Revival A3642 est dotée d'un fond saphir affichant le mouvement automatique Elite 670 manufacture, fonctionnant à une fréquence de 4 Hz (28'800 alt/h) et offrant une réserve de marche de 50 heures lorsqu'il est entièrement remonté. Avec la Defy Revival A3642, Zenith ne se contente pas de faire revivre l'une de ses références les plus audacieuses et les plus remarquables des années 1960, mais souligne également la genèse unique de la collection la plus audacieuse et la plus innovante de la Manufacture avec un retour aux sources. Cette édition spéciale Revival sera éditée en une série limitée à 250 exemplaires, disponibles dans les boutiques Zenith physiques et en ligne autour du globe. Il conviendra de rester attentif, car Zenith dévoilera bientôt un successeur moderne de la Defy originale, doté d'une architecture plus élégante et plus moderne, ainsi que d'un tout nouveau niveau de performance.
HERBELIN Antarès
Lancée en avant-première dans un coffret collector parée d’une lunette sertie de diamants, Antarès dévoilait un nouveau design. Intégralement redessinée à partir du modèle d’origine créé en 2007, cette montre est aujourd’hui introduite dans la collection en version acier, parée d’un cadran noire. Jouant la carte du raffinement par son architecture épurée, elle est toujours munie d’un système breveté de bracelet interchangeable pour conjuguer élégance et distinction au gré des envies. Sculpté en facettes dans un acier poli, le boîtier de forme rectangulaire (27 x 19 mm) présente une lunette biseautée rehaussant l’épure du cadran, protégé par un verre saphir également facetté. Miroitant de reflets chatoyants, son fond noir magnifie les aiguilles forme Dague en acier rhodié. Parfaitement visibles par contraste, elles informent de l’heure en toute sobriété. Faisant la part belle au luxe des détails, Antarès s’habille de bracelets interchangeables en un clic pour twister de style à l’infini. Tour à tour, classique, chic, tendance ou pop, ce garde-temps d’exception est personnalisable à souhait. A chacune de trouver le bracelet de son choix parmi un large éventail de coloris (pas moins de 30) et de matières, en simple ou double tour, proposés par la marque horlogère. Intemporelle par son boîtier, toujours dans l’air du temps par ses bracelets, Antarès défie l’éphémère en se réinventant au fil des ans. Made in France pour avoir été dessinée, conçue, assemblée, réglée et contrôlée dans les ateliers de Michel Herbelin situés dans le massif du Jura en Franche-Comté, elle hérite d’un savoir-faire horloger traditionnel français de 75 ans. Associant des matières nobles à un mouvement quartz de facture suisse à la fiabilité éprouvée, cette pièce horlogère est un bijou de montre qui se transmet de mère en fille par sa délicatesse toute féminine.
ARTYA Amazonia Chameleon
Pour ce garde-temps hors du commun, vous aurez le sentiment d'avoir à votre poignet un fragment de jungle. Le boîtier aux couleurs changeantes, réalisé selon un procédé innovant et avant-gardiste développé par ArtyA, se pare d’un cadran transparent orné d’une véritable feuille de la jungle amazonienne, de quelques éclats d’ailes de papillons mordorés et de fragments de feuilles d’or. En arrière plan, vous découvrirez le mouvement manuel ArtyA squeletté « shams » doré. Un bracelet porosus vert apporte la touche finale. Comme vous avez pu l'admirer avec notre première ArtyA Purity Tourbillon Chameleon, ArtyA développe actuellement des boîtiers en Nano-saphir capables de changer de couleur en fonction de la lumière. A la lumière naturelle, le boîtier « Caméléon » a une couleur jaune, mais lorsqu'il est exposé à une lumière artificielle (6500K ou plus), il change de couleur. Mais lorsqu'il est exposé à la lumière artificielle (6500K ou plus), le boîtier change instantanément et complètement de couleur, en un vert translucide et mystérieux. Cette œuvre unique des créateurs d’ArtyA Yvan Arpa et Dominique Arpa-Cirpka, pour le cadran, réjouira les afficionados de garde du temps exceptionnel.
MAURICE LACROIX x Marina Correia
Elle est un phénomène dans le monde du longboard, une étoile à part. Fluide, rapide, libre, élégante et sauvage tout à la fois, elle danse sur son longboard. L’incroyable longboardeuse capverdienne, Marina Correia, sacrée championne du monde de longboard dancing freestyle en 2020, choisit Maurice Lacroix et rejoint avec un enthousiasme communicatif le groupe de talents du ML Crew ! Marina Correia est née au Cap-Vert et arrive en France à l’âge de 14 ans. A 17 ans, c’est à Nice, le long de la promenade des Anglais, qu’elle commence à faire du longboard dancing freestyle. « Le longboard c’est une discipline entre le surf et le skateboard, le côté dancing (les pas de danse) vient plutôt du surf et au fil des années ça a pris une tournure plus artistique et créative. » En 2020, la rider de 23 ans est sacrée championne du monde de longboard dancing. Marina est unique, tout comme son style. « Ce n’est pas moi qui le dis mais les autres. J’ai un style sauvage très particulier. On attend d’une fille qu’elle soit plutôt douce et délicate dans ses gestes alors que chez moi, mon style est élégant, fluide mais aussi très sauvage. Je vais très vite tout en enchaînant les figures. La vitesse, c’est l’adrénaline, la liberté, l’utilisation de son corps. Je cherche à le pousser toujours plus loin, à me dépasser. La manière dont je m’exprime sur ma longboard, c’est vraiment mon identité. » Pour Marina, faire partie du ML Crew est un rêve auquel elle n’aurait jamais pensé ! « Dès nos premiers contacts je me suis sentie complètement à l’aise. Je suis sûre que nous allons faire de belles choses ensemble. » Et elle rajoute « Je trouve très beau le mantra de Maurice Lacroix, "la vie n’est pas une destination, c’est un voyage. " On a tous un parcours de vie différent et la vie est un véritable voyage. Le succès c’est la même chose. » Très philosophique sa notion du temps qui passe fait réfléchir « On n‘a jamais le temps, mais en même temps, on a le temps d’accomplir de belles choses. Le rapport entre le temps et moi, c’est que je ne gâche pas mon temps. J’essaie de profiter de chaque moment, de faire ce qu’il me plait et d’embellir chaque instant. Les choses négatives ne rentrent pas dans mon planning. J’essaie toujours de garder le positif, de voir le positif et d’aller de l’avant. On a 24 heures dans une journée et il faut profiter de chaque seconde. » Stéphane Waser, le directeur général de Maurice Lacroix, a déclaré : « Marina est authentique et passionnée. Sa discipline, sa maturité et son parcours sont impressionnants et elle partage pleinement nos valeurs. Nous sommes ravis de l’accueillir au sein du ML Crew. » Sa passion, Marina souhaite aussi la transmettre aux jeunes du Cap-Vert, son pays d’origine. « En tant que citoyenne de ce pays, j’aimerais voir ce que je peux apporter aux jeunes là-bas à travers ma discipline, comment le longboard peut aider à leur épanouissement, comme il m’a aidé moi aussi à m’épanouir et vivre pleinement ma vie. »
LONGINES The Master Collection phases de lune
Élégance, caractère et pureté sont les piliers de The Longines Master Collection, qui s’adresse aux inconditionnels de l’exception en proposant une large gamme de mouvements exclusivement mécaniques : heures, minutes, secondes et date, chronographe, réserve de marche, rétrograde ou encore calendrier annuel. C’est surtout l’affichage des phases de la Lune, introduit il y a deux ans sur les modèles messieurs, qui constitue le tour de force des nouveautés 2021. Faire tenir une telle complication dans un boîtier de 34 mm constitue un défi de taille, mais il répond aux exigences d’un public féminin avide de technicité et naturellement enclin à l’élégance. Avec son choix de bracelets et de cadrans, The Longines Master Collection répond ainsi pleinement à tous ses désirs... La boîte se décline désormais en ø 34 mm et elle est proposée avec, à choix, un éventail coloré de bracelets (rouge, bleu, taupe) ou un bracelet acier dont la chute lui procure une finesse et un confort renouvelés. L’élégance en toute simplicité, pourrait-on croire... mais c’est sans compter la complication que recèle cette pièce – affichage des phases de la Lune et quantième à aiguille à 6 heures – dont l’intégration a nécessité un travail minutieux sur l’harmonie des proportions de la boîte. Observable à travers une glace saphir, le calibre exclusif automatique L899.5 est équipé d’un spiral en silicium, à la fois léger, amagnétique, résistant, inoxydable et insensible à la dilatation thermique. Preuve de sa fiabilité, il offre une garantie de 5 ans aux garde-temps qu’il anime. Sur la face visible, le cadran nacre rivalise de subtilité avec les index en diamants. Il est également proposé en bleu soleillé, et les puristes apprécieront le désormais classique et incontournable argenté «grain d’orge», emblématique de The Longines Master Collection. Ces nouveaux modèles aspirent à orner le poignet d’une femme à l’énergie volontaire, au caractère affirmé. Pouvoir lui offrir la Lune est un véritable privilège. Il faut pour cela un cœur pétri de haute technicité, battant au rythme de l’élégance et de la féminité, dans la plus pure tradition horlogère. Une alchimie singulière se produit lorsque l’élégance purement féminine entre en phase avec l’univers de la complication horlogère. L’énergie qui s’en dégage, faite de cycles et de récurrences, est une source d’inspiration sans cesse renouvelée pour les designers et les horlogers de la marque au sablier ailé, qui ont voulu enrichir The Longines Master Collection d’une pièce aussi féminine que technique.
H. MOSER & CIE. Endeavour Small Seconds Total Eclipse
De l’éclipse, elle emprunte le nom, la rareté et le côté mystérieux, quasi mystique. Munie d’un cadran en Vantablack d’un noir absolu, intense, que vient illuminer un réhaut interne aussi brillant que la couronne solaire qui entoure l’astre d’un halo lors d’une éclipse solaire totale, la Endeavour Small Seconds Total Eclispe est le fruit de la collaboration entre The Armoury, la marque de vêtements très pointue pour hommes, et H. Moser & Cie. Éditée en deux séries limitées de 28 exemplaires, cette pièce fascinante associe l’élégance et le minimalisme à la technologie moderne du Vantablack, le tout avec une esthétique inspirée des montres de poche. Le modèle Endeavour Small Seconds Total Eclipse sera disponible dans les boutiques The Armoury à New York et à Hong Kong, ainsi que sur les plateformes de e-commerce de The Armoury et de H. Moser & Cie. La clé d'une collaboration réussie est de s'appuyer sur les talents et les compétences uniques de chacun des partenaires pour créer quelque chose qu'aucun d'entre eux ne pourrait produire seul. The Armoury a été créée à Hong Kong en 2010 par Mark Cho et Alan See. Elle est née de leur passion commune pour le style classique avec la volonté de sensibiliser les clients modernes à la confection classique en les éduquant grâce à l’histoire d’artisans d’exception et de leurs produits. Recherchant constamment l’élégance, spécialiste du sur-mesure, The Armoury est une marque de référence pour les connaisseurs. Le rapprochement avec H. Moser & Cie., marque de prestige exclusive qui distille l’élégance à un public d’initiés, était une évidence. À l’origine de ce partenariat, il y a une rencontre, celle de Mark avec Edouard Meylan, en 2019, à New York. Partageant la même passion pour les vêtements et pour les montres, des liens se tissent et l’idée d’une collaboration se fait jour. Les dirigeants de The Armoury ont été attirés par l’histoire de H. Moser & Cie., incroyablement riche, vieille de près de 200 ans, par son savoir-faire en matière d'horlogerie ainsi que par sa volonté de prendre des risques à travers de nouvelles idées, comme l'utilisation du Vantablack et une communication assumée mâtinée de provocation. De l’autre côté, les goûts ancrés dans le design classique de The Armoury, la valorisation de l'artisanat d'art et un désir de créer des objets spéciaux, subtils et à la frontière entre classique et moderne, ont séduit l’équipe de H. Moser & Cie.
Mark Cho, co-fondateur de The Armoury, raconte : « Quand Edouard et moi avons commencé à évoquer l'idée de fabriquer une montre ensemble, ma principale exigence était qu'elle soit petite. J'aime les montres qui sont discrètes mais qui révèlent une complexité plus profonde si on leur prête plus d'attention. Pour moi, le cadran fumé et le cadran Vantablack de H. Moser & Cie. sont des icônes et je voulais travailler avec l'un d'eux comme point de départ pour le design. Rapidement, le Vantablack s’est imposé et j’ai eu l’idée d’ajouter des éléments sur le cadran, ce qui n’avait encore jamais été fait. Mon partenaire de conception, Elliot Hammer, a alors suggéré que nous imaginions le design sur le thème d'une éclipse solaire totale. C'est ainsi qu'est née la Endeavour Small Seconds Total Eclipse ». Sur le plan conceptuel, la Endeavour Small Seconds Total Eclipse est la parfaite représentation d’une éclipse solaire totale, quand le soleil est totalement dissimulé derrière la lune. Absorbant 99,965% de la lumière comme un véritable trou noir, le cadran en Vantablack évoque la silhouette de la lune, alors que la lunette en acier ainsi que le réhaut intérieur poli, en acier ou en or rouge, représentent le halo de la couronne solaire, soit la partie gazeuse la plus externe de l’atmosphère du soleil, visible à l’œil nu uniquement lors d’une éclipse solaire totale. Si jusqu’ici, les modèles munis d’un cadran en Vantablack se distinguaient par leur pureté minimaliste absolue, la Endeavour Small Seconds Total Eclipse arbore de nombreux détails subtils, en toute discrétion. À commencer par les index, repères en forme de points d’une grande finesse, qui viennent rythmer le cadran. Une première pour H. Moser & Cie., qui met en œuvre un savoir-faire acquis au contact du Vantablack, une surface que l’on peut endommager juste en l’effleurant. Composé de nanostructures de carbone, le Vantablack® ne supporte aucun contact. La manufacture de Schaffhouse a donc développé une technique spécifique pour pouvoir satisfaire la demande de Mark et de The Armoury.
Classique, la Endeavour Small Seconds Total Eclipse l’est jusqu’au bout de ses aiguilles, venant compléter à merveille les index. Leur extrémité se terminant par un cercle, les aiguilles des heures et des minutes s’inscrivent dans le style Breguet, particulièrement cher à Mark, alors que l’aiguille de la petite seconde est ornée d’un point du même type que les index. « Absolument tout dans ce modèle s’apparente à une quête de l’élégance ultime, associant classicisme et modernité », souligne Edouard Meylan, CEO de H. Moser & Cie. « Son diamètre, de 38 mm, est parfaitement équilibré. Nous avons opté pour le plus petit et le plus fin de nos mouvements, le calibre HMC 327 à remontage manuel, muni d’une petite seconde excentrée à 6 heures, qui rappelle l’esthétique des montres de poche ». Ponctuant cette création, un bracelet noir en cuir de veau a été imaginé et produit par The Armoury. Combinant deux textures différentes de cuir dans un aspect du plus bel effet, il vient rehausser la beauté de la Endeavour Small Seconds Total Eclipse. Deux ans après leurs premiers contacts, Edouard Meylan et Mark Cho sont fiers de présenter le fruit de leur collaboration. Dans le respect des valeurs de chacun et avec une optique de partage et d’enrichissement réciproque, ce partenariat a des allures de success story. La Endeavour Small Seconds Total Eclipse, éditée en deux séries de 28 exemplaires, sera disponible dans les boutiques The Armoury à New York et à Hong Kong, ainsi que sur les plateformes de vente en ligne des deux maisons. Elle sera vendue accompagnée d’un mouchoir de poche développé par The Armoury pour H. Moser & Cie. Parce que le raffinement et l’élégance se cachent jusque dans les plus infimes détails. H. Moser & Cie. : de la haute horlogerie décalée pour les initiés.
NOMOS GLASHÜTTE Journée internationale de l’éducation
Le 24 janvier est la journée internationale de l’éducation, instituée par les Nations unies (ONU). Une journée importante, ce que la pandémie est venue encore confirmer et un thème que la manufacture horlogère honore avec sa propre série. Le CEO de NOMOS, Uwe Ahrendt déclare : « La série de montres Club Campus, conçue pour récompenser les nouveaux bacheliers, ou tout autre nouveau diplômé, possède un cadran bilingue doté de chiffres arabes et romains. Ce sont des montres qui vous accompagnent toute une vie, même après l’école et les études ». Selon le directeur général de NOMOS, la montre mécanique analogique devrait « continuer à faire partie du quotidien des générations à venir, car elle constitue un élément de culture ». Les garde-temps fabriqués à la main par la manufacture de Glashütte sont très robustes, malgré la beauté et la finesse du mouvement. Ils sont disponibles en différentes tailles et couleurs. Actuellement, Club Campus est disponible avec un cadran classique blanc argenté, en bleu profond ou dans la teinte « Future Orange » optimiste (ci-dessous). Les montres sont disponibles au choix avec un mouvement à remontage manuel ou automatique. Le fond en acier de chaque montre peut être gravé d’une inscription choisie par les parents, grands-parents ou tout autre personne souhaitant offrir un cadeau. Des lacunes dans l’éducation ? Nous en avons tous. Nous pouvons en combler certaines : nous vous fournissons toutes les informations que vous souhaitez connaître sur les 175 ans de tradition horlogère de Glashütte, sur notre marque ou sur nos montres. Sinon, venez tout simplement nous rendre visite. Dans le respect des mesures sanitaires, nous vous montrerons volontiers comment naissent les meilleurs instants. Empreints de tradition et pourtant ultramodernes.