ATLANTIC-TAC #20 : Il et Elle cherchent des idées originales pour Noël
Ça tombe bien pour Il et Elle : c'est le jour d'Atlantic-tac sur Atlantico, avec une actualité des montres comme vous n'avez jamais rêvé qu'on vous la raconte un jour. En liberté, sans publicité et en toute curiosité... Avec une plongeuse furtive, un robot sado-maso, un amiral français et tout le reste... ••• ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail d'informations horlogères en liberté (1,6 millions de visiteurs mensuels). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, pour parler des …
Ça tombe bien pour Il et Elle : c'est le jour d'Atlantic-tac sur Atlantico, avec une actualité des montres comme vous n'avez jamais rêvé qu'on vous la raconte un jour. En liberté, sans publicité et en toute curiosité...
Avec une plongeuse furtive, un robot sado-maso, un amiral français et tout le reste...
••• ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail d'informations horlogères en liberté (1,6 millions de visiteurs mensuels). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, pour parler des marques, des montres et de ceux qui les font. Cette semaine, au sommaire de ce dix-septième épisode d'Atlantic-tac (résumé ci-dessous) : 
▷▷▷ Il se la joue pilote de chasse à la grande époque : Il, c’est ce chronographe d’aviation Hanhart dont les ancêtres équipaient déjà les pilotes européens pendant la Seconde Guerre mondiale, notamment les Allemands de la Luftwaffe, mais les pilotes alliés rêvaient tous d’une montre aussi fiable et aussi classe. Après la guerre, on verra ces chronographes au poignet d’amateurs comme Steve McQueen (ci-dessus)...▷▷▷ Elle ne s’ennuiera jamais avec votre remplaçant : Elle, c’est votre montre. Lui, c’est celui qui la porte à votre place, pour ne pas qu’elle s’ennuie en tête à tête avec ses complications et ses rouages. S’il existe déjà des dispositifs pour remonter automatiquement les montres, aucun n’avait été aussi loin que le Gyrowinder de Döttling (Allemagne)...
▷▷▷ Il a pété un câble dans les catacombes : Il, c’est le créateur de cette montre remontée des lointains souterrains de notre mémoire européenne, quand les anciennes cultures celtiques rendaient un hommage appuyé aux têtes de leurs ennemis terrassés. C’était le "culte des crânes", bien connu des archéologues et demeuré vivace dans certains ossuaires bas-bretons...
▷▷▷ Elle veut encore un cadeau : Elle, c’est la dame de vos pensées, qui aimerait bien une montre "pour tous les jours", simple mais élégante, qui sait se faire oublier au poignet sans pour autant manquer de présence. Le tout sans être obligé de fuir sa banque sous les huées de son banquier...
▷▷▷ Il veut jeter les amarres en France : Il, c’est lui, l’amateur de montres, le chasseur de pièces horlogères exclusives, qui vient de découvrir la nouvelle série limitée d’Admiral’s Cup que Corum dédie au marché français : on ne trouvera qu’en France [et seulement à 50 exemplaires] cette montre automatique de 42 mm, dont le métal gris foncé est mat comme un canon de fusil et dont le cadrans, lui aussi noir mat, est animé de grands chiffres contrastés...
▷▷▷ Elle se donne des angles aplanis de bombardier furtif : Elle, c’est cette montre de plongée Sea Hawk, restylée et relancée par la manufacture Girard-Perregaux, qui la dévoilera officiellement devant un parterre d’amateurs d’art contemporain, la semaine prochaine, pendant le salon Art Basel Miami (Miami, Etats-Unis). L’exercice de style est réussi...
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