ATLANTIC-TAC #49 (accès libre) : Le vertige géométrique du Op Art, l’obturateur qui joue les révélateurs et le piège parisien pour globe shoppers chinois
Le 05 / 07 / 2013 à 08:24 Par Le sniper de Business Montres - 1323 mots
Et aussi le style néo-industriel de la haute couture mécanique, la délicatesse d’un coussin ou l’horloge des chemins de fer suisses sur un quai de la gare de l’Est... C'est l'actualité des montres comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte sans jamais oser le demander...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail d'informations horlogères en liberté (2,7 millions de visiteurs mensuels). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en …
Et aussi le style néo-industriel de la haute couture mécanique, la délicatesse d’un coussin ou l’horloge des chemins de fer suisses sur un quai de la gare de l’Est... C'est l'actualité des montres comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte sans jamais oser le demander...
◉◉◉◉ ATLANTIC-TAC, c'est la chronique horlogère du vendredi sur Atlantico, le portail d'informations horlogères en liberté (2,7 millions de visiteurs mensuels). Une chronique en toute curiosité éditoriale, en collaboration avec Business Montres, pour parler des marques, des montres et de ceux qui les font. Cette semaine, au sommaire de ce trente-cinquième épisode d'Atlantic-tac (résumé ci-dessous) : ►►► ROBERTO CAVALLI : Un tourbillon haute couture… Les montres des couturiers sont rarement des réussites, tellement il est difficile de marier le talent d’un créateur et le savoir-faire d’un horloger. Pour Roberto Cavalli, la manufacture Franck Muller n’a pas cherché à faire du chiffon à l’italienne, mais à réinventer un style original, pour le coup tenté par l’esthétique néo-industrielle, sans renoncer à l’esprit mécanique (il s’agit d’un tourbillon Franck Muller) et encore moins à l’esthétique glamour-chic d’une griffe toujours du bon côté de la frontière... ►►► ICE-WATCH : Le retour en souplesse du Op Art… Entre pixels et damiers vintage, l’inspiration Op Art des défilés de l’année était évidente : les années 1960, géométriques et contrastées, sont de retour. Jamais en retard d’une tendance, Ice-Watch nous propose une série Sixties qui marie les motifs, en les colorisant et en les intégrant dans un silicone très doux au toucher. Boîtier ultra-plat aussi souple que le bracelet et couleurs... ►►► NAUTICA : Des chiffres et des heures… L’heure par aiguilles est un code visuel usuel depuis sept ou huit siècles en Europe : c’est devenu l’abstraction mathématique la plus partagée au sein de l’humanité (détermination instinctive d’un nombre à partir d’un angle géométrique). En revanche, les chiffres sont nettement plus pratiques pour exprimer une date, l’heure d’une alarme, un temps chronographié ou un compte à rebours. La Nautica BFD combine donc, en mode multi-fonctionnel, l’affichage analogique (aiguille) et l’affichage digital (chiffre), en y ajoutant un affichage rétro-éclairé du cadran. Une... ►►► VALBRAY : L’obturateur et le révélateur… Pour l’été, la jeune marque indépendante Valbray décline son concept de « montre à obturateur » en style nautique. On actionne cet obturateur en tournant la lunette crantée qui surplombe le cadran. La montre se dévoile alors, transformant un simple modèle à deux aiguilles en montre sportive, avec une grande date et une seconde par disque rotatif. Le code... ►►► ZENITH : La délicatesse en héritage… La forme « coussin » a l’avantage de n’être ni ronde (risque de banalisation), ni carrée (soupçon d’agressivité) : sa fluidité rassure, surtout dans une taille modeste (33 mm), qui affiche sans trop l’affirmer la présence au poignet de cette montre Heritage Star, plutôt mince en dépit de son mouvement automatique et très soignée jusque dans les finitions ►►► BRÈVES DE REMONTOIR : C’est toujours bon à savoir… ••• SMARTWATCH : la conquête des poignets sera la grande bataille de la rentrée, avec l’irruption des « montres intelligentes » dans la panoplie de nos prothèses électroniques contemporaines. Tout le monde attend d’Apple une iWatch révolutionnaire, mais les concurrents (Sony, Samsung et les autres) sont déjà très actifs. Et les montres traditionnelles dans tout ça ? Les Suisses affichent le plus immense dédain pour ces « montres gadgets » – il est vrai très éloignées du luxe horloger Swiss Made. Il n’en est pas moins évident que des dizaines de millions de nouvelles montres, signées par des grands noms, vont déstabiliser le marché sur lequel elles vont faire irruption, ce qui aura nécessairement un impact sur l’entrée de gamme suisse (Swatch, Tissot) – et donc sur toute la pyramide des marques actuelles. Au poignet, il n’y aura pas de la place pour tout le monde… ••• SAMARITAINE : l’ex-grand magasin s’apprête à renaître en super-mégastore de luxe, où le groupe LVMH, propriétaire des lieux, a prévu d’ouvrir 20 000 mètres carrés de boutiques de montres – ce sera le plus grand caravansérail... CETTE SEMAINE,POUR UNE NOUVELLE SÉQUENCEATLANTIC-TAC EN TEXTE INTÉGRAL,IL FAUT CLIQUER SUR LE CHAPEAU DE L'ÉLÉGANTE (la dame ci-dessous)... D'AUTRES SÉQUENCES ATLANTIC-TAC...