PICTOCHRONIQUES #26
« Il me coûte de l’admettre, mais une brute qui marche va plus loin que deux intellectuels assis »
Vingt-sixième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au toujours aussi génial Michel Audiard (1920-1985) pour la citation d’un de ses dialogues de « Un taxi pour Tobrouk » (1961) qui compose le titre de cette pictochronique : dans ce dialogue, Maurice Biraud s’adresse à Charles Aznavour. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…