LE SNIPER DU LUNDI
Comme quoi il vaut mieux avoir l’audace d’impulser soi-même la « révolution culturelle » de sa marque
Pour n’avoir pas été assez loin et assez vite dans sa volonté de « tout changer pour que rien ne change », Antonio Calce a dû quitter Girard-Perregaux avant d’avoir fini le job. Un exemple à méditer par tous les CEO de toutes les marques qui sont confrontées exactement au même défi – et elles sont nombreuses…
LA PRINCIPALE FAUTE
D’ANTONIO CALCE
CHEZ GIRARD-PERREGAUX… (éditorial)
Antonio Calce a une personnalité « clivante » : on l’aime, ou on ne l’aime pas [certains ont cru pouvoir applaudir son départ de la direction de Girard-Perregaux], mais personne ne peut nier qu’il aura redressé …