PICTOCHRONIQUES #223
« Celui qui désespère des événements est un lâche, mais celui qui espère en la condition humaine est un fou »
Pour mieux accompagner la rentrée de janvier 2025, 223e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain et philosophe français Albert Camus (1913-1960) pour la citation de ses « Carnets » (1964) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
Nous abordons 2025 sans vraie joie …