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BONNETS D’ÂNE #2
Dix grossières fautes de design horloger – qu’on s’étonne de rencontrer chez des marques de ce niveau (seconde partie)…

C’est la discordance des temps : une faute – péché mortel ou péché véniel – qu’un peu d’attention ou de résolution horlogère aurait pu corriger. Le problème est que les marques de montres, généralement si tatillonnes dans leur approche mécanique ou si minutieuses dans leur planification industrielle, ont tendance à penser qu’elles peuvent facilement se passer des seuls vrais professionnels de l’esthétique horlogère : les designers de montres ! Un peu comme si les éditeurs de littérature estimaient pouvoir s’exonérer de faire appel à des écrivains. SOS vrais designers horlogers : il y en a de moins en moins, même si les « graphistes » et les imagiers numériques tout sortis d’école se ramassent à la pelle – ne pas confondre, c’est une question d’œil, de talent, mais aussi d’expérience et de culture. Pour cette seconde séquence, voici quelques fautes courantes récemment constatées (par ordre alphabétique de marques, et non de gravité de la faute)…


PREMIÈRE PARTIE : « La faute volumétrique, la faute d’élégance, la faute cacophonique, la faute analogique (Cabestan, Cartier, Chanel, Graff) » (Business Montres du 15 mai 2016)…
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