LE MARDI DU SNIPER
Et si l’acquisition d’une montre relevait d’une démarche quasi-érotique ?
Elle ne saurait en tout cas relever d’une pratique punitive, ni d’une frustration planifiée : les marques ne sont-elles pas en train de se tirer une balle dans le pied en se délectant des « listes d’attente » ouvertes pour leurs icônes, qui restent fondamentalement des modèles de spéculation et non de passion ? C’est un nouveau jeu dangereux : « Pus déçu que moi, tu meurs » !
ÉDITORIAL
C’est fondamentalement
une question de plaisir,
ce qui condamne toute frustration
Un grand détaillant européen (hors de Suisse), lui-même ancien manager d’une marque horlogère, nous confiait récemment que, depuis qu’il avait rouvert son flagship, deux marques « cartonnaient » : Omega et Tudor. Ce qui n’étonnera …