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PICTOCHRONIQUES #272
« Un être qui s'habitue à tout, voilà, je pense, la meilleure définition qu'on puisse donner de l'homme »

Pour bien profiter de la fin de ce printemps horloger 2025, voici le 272e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain russe Fiodor Dostoïevski (1821-1881) pour la citation de ses « Souvenirs de la maison des morts » (1860) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, au « spectacle » de son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…


Nous avons entamé le second trimestre …
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