HORLOTAINMENT #51
« Garde cette chance / Que nous t'envions en silence / Cette force de penser que le plus beau reste à venir »
Quarante-deuxième séquence « Horlotainment » de l’année : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’immense chanteur Jean-Jacques Goldman pour la citation de sa chanson « Puisque tu pars » (1987) qui compose le titre de cette quarante-deuxième chronique de 2023. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité des salons horlogers, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…