PICTOCHRONIQUES #251
« Progressivement, l’imaginaire, que la modernité pouvait considérer comme étant de l’ordre du superflu ou de la frivolité, tend à retrouver une place de choix dans la vie sociale »
Pour bien entamer ce second trimestre 2025, voici le 251e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand sociologue français Michel Maffesoli (né en 1944) pour la citation de sa « Contemplation du monde » (1993) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie et à la sociologie de la passion pour les montres ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
Nous entamons le second trimestre 2025