WATCH COMEDY CLUB #129
« Je ne fais pourtant de tort à personne en suivant les chemins qui ne mènent pas à Rome »
Des images détournées et des photos piratées dans ces pictofictions, réalisée dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Georges Brassens pour l’emprunt des paroles de sa chanson « La mauvaise réputation », qui composent le titre de cette chronique. C’est fou ce que ça peut concerner l’horlogerie, non ?