HORLOTAINMENT #01
« La langue en peu de mots en explique beaucoup, les yeux plus éloquents font tout voir tout d’un coup »
En une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme, il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au géant Pierre Corneille (1606-1684) pour la citation – en alexandrins ! – de sa « Suite du menteur » (acte IV, scène II, 1645) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…