DE GRISOGONO
Le personnel dégagé pour cause de faillite est très en colère : à quand des « Lip » de la haute joaillerie ?
Chacun a pu remarquer que les vitrines des boutiques De Grisogono avaient été vidées de leurs bijoux et de leurs montres, alors même que l’entreprise n’est pas juridiquement en faillite. Officiellement, on a rapatrié tous les stocks au siège social pour faciliter la tâche du futur administrateur de la faillite et de l’Office des poursuites. Hypothèse intéressante : et si les « DG » révoltés devenaient les « Lip » de la Suisse joaillière en crise ?