LE SNIPER DU LUNDI
Les mirages de la digitalisation du luxe horloger, la surprenante double casquette de la belle Bella et ces exportations horlogères qu’on se refuse à rendre plus réalistes
On en saura plus ces jours-ci sur deux dossiers de reprise après défaillance : si le cas de Technotime est plus simple à résoudre (on n’y coupera pas d’une casse sociale importante), celui de Péquignet pose différents problèmes. La survie de la marque en elle-même semble exclue, mais le fameux Calibre royal, véritable boulet qui avait entraîné la marque Péquignet par le fond et causé le gaspillage d’une grosse quinzaine de millions d’euros, est à présent trop avancé pour être abandonné dans les poubelles de l’histoire horlogère. Qui veut remettre des millions sur la table ?