PICTOCHRONIQUES #274
« La liberté consiste à faire tout ce que permet la longueur de la chaîne »
Pour bien profiter de la fin de ce printemps horloger 2025, voici le 274e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand journaliste, patron de presse et humoriste français François Cavanna (1923-2014) pour la citation de son « 4, rue Choron » (1978) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
