LUNDI (accès libre) : Le Sniper a compris les deux erreurs d'analyse majeures de l'horlogerie suisse face aux smartwatches...
À force de bourrer les tiroirs de tous les réseaux chinois, on a provoqué une occlusion intestinale qui bloque en Asie quatre à cinq mois de production de montres suisses invendues : il va bien falloir purger les tuyaux ! Ce sera d'autant plus difficile que la situation économique internationale ne s'y prête pas... ▶▶▶ Cette semaine, le Sniper du lundi a...
À force de bourrer les tiroirs de tous les réseaux chinois, on a provoqué une occlusion intestinale qui bloque en Asie quatre à cinq mois de production de montres suisses invendues : il va bien falloir purger les tuyaux ! Ce sera d'autant plus difficile que la situation économique internationale ne s'y prête pas...
▶▶▶ Cette semaine, le Sniper du lundi a...ESSAYÉ DE COMPRENDRE ce qui n'allait pas dans l'analyse des horlogers face aux montres connectées... ◉◉◉◉ UNE FOIS PASSÉ LE CLASSIQUE RÉFLEXE CONSERVATEUR – le syndrome on ne peut plus répandu du « Ça ne marchera jamais » [souvenons-nous de l'extraordinaire publicité Renault sur ce thème : ci-dessous], qui a poussé les horlogers suisses à procrastiner pendant deux ans avant de comprendre que les smartwatches allaient bouleverser tout l'écosystème des objets de poignet, quelques marques ont décidé de réagir – bien timidement pour la plupart, et bien pauvrement – face à l'invasion des montres connectées. Elles auront au moins sauvé l'honneur – ce qui n'empêche pas l'industrie des plus belles montres du monde d'avoir perdu, sans même l'avoir livrée, la première bataille du poignet du XXIe siècle : dans les douze mois qui viennent, alors que la Suisse horlogère ne produira guère plus de 25-26 millions de montres (contre 28,6 millions de pièces en 2014, ce volume étant logiquement affecté par les achats de smartwatches), il devrait se vendre dans les 40 à 50 millions de montres connectées (celles d'Apple et des concurrents), non suisses, qui éjecteront forcément du poignet les montres suisses qui s'y trouvent déjà. Ces 40 millions de montres seront achetées, portées et utilisées par autant de consommateurs éduqués, globalisés (occidentalisés) et technologisés. Comme ces consommateurs (mâles ou femelles) n'ont qu'un poignet gauche et que 98 % des montres suisses sont prévues pour être portées au poignet gauche, sachant que les smartwatches seront très vite indispensables au quotidien, l'arbitrage sera vite vu : ce sera la montre connectée et fonctionnelle plutôt que l'objet de parade suisse. La première erreur d'analyse était d'avoir pris cette offensive des montres connectées pour une confrontation entre produits – et non pour une opération de conquête territoriale du poignet ! La carpo-révolution était topologique, pas sociologique : Business Montres l'expliquait déjà il y a deux ans... ◉◉◉◉ SECONDE ERREUR D'ANALYSE DES ÉTATS-MAJORS HORLOGERS SUISSES : ne pas avoir compris le reformatage matriciel qu'allaient imposer les smartwatches dans nos vies quotidiennes. Business Montres l'explique longuement depuis plus de deux ans. Apple vit prioritairement de la vente de ses applications : il était donc évident qu'il s'agissait, pour la Pomme, de créer un environnement applicatif que sa richesse devrait immanquablement rendre incontournable [c'est le fameux écosystème Apple multi-outils et multi-canaux]. La survie d'Android (Samsung et les autres) passe par la création d'un écosystème concurrent, lui aussi tissé d'applications de vie quotidienne (privée ou professionnelle) ciblés pour devenir indispensables à la survie de chacun dans un système d'objets connectés. Avec un accélérateur supplémentaire pour cette impériosité d'équipement : la connexion (compatibilité logicielle) désormais possible entre les deux environnements, ce qui permettra aux smartwatches de demain de n'être plus prisonnières d'un seul univers. Par exemple, une TAG Wear développée avec Android Wear a toutes les chances de pouvoir être utilisée avec un iPhone, voire, plus tard, de pouvoir utiliser des applications purement iOS. La question posée n'est plus, aujourd'hui : avec ou sans smartwatch . C'est très nettement : quoi en plus d'une smartwatch ? C'est pourquoi il faut préparer le coup d'après, la revanche, la saison 2, le Retour du Jedi, en guettant le moment où l'addiction aux montres connectées dégénèrera en saturation, puis en adoption de la déconnexion. Ce sera dans deux à trois ans [peut-être l'Apple Watch est-elle, en dépit de son succès commercial actuel, un nouveau iPod, bide sans descendance dont Apple déteste qu'on lui reparle], quand l'actuelle demande aura mûri et quand l'actuelle offre horlogère aura dépassé son carcan logiciel purement statutaire et ostentatoire – bref quand des nouvelles marques auront reparamétré de nouvelles envies de montres, avec de nouveaux concepts à des nouveaux prix. La carpo-révolution était matricielle, pas fonctionnelle : Business Montres ne cesse de l'expliquer – vox clamantis in deserto – depuis trente mois. En haut de la page, sous le chapeau, une simple allégorie : Mars désarmé par Venus, de David, musées royaux des Beaux-arts de Belgique – à chacun d'essayer de comprendre comment Mars, fort de toutes ses armes et de tous ses muscles, vainqueur annoncé, s'est trouvé sans ressources face à une Vénus battue sur le papier, mais détentrice d'autres armes pour jouer avec d'autres règles du jeu... 
▶▶▶ Cette semaine, le Sniper du lundi a...EXPLIQUÉ AUX ABONNÉS la nouvelle chronique « Rétro-Teaser »...◉◉◉◉ PAS RÉTRO-VISEUR, MAIS PRESQUE, puisque l'idée est de récapituler les informations décodées au cours de la semaine précédente pour les mettre en perspective avec les informations prévisibles des semaines suivantes, histoire d'en éclairer le sens et de les expliquer dans un contexte intelligible. La chronique est volontairement courte (moins de cinq minutes) et elle répond à la demande des abonnés qui souhaitaient bien commencer la semaine avec Business Montres, grâce à une chronique en accès libre à écouter en voiture (tablette, téléphone) ou à regarder en train (ordinateur, tablette, téléphone)... ▶▶▶ Cette semaine, le Sniper du lundi a...APPLAUDI LA SUBTILITÉ
de la manoeuvre des grands détaillants horlogers de Hong Kong... ◉◉◉◉ ON COMMENCE À MIEUX COMPRENDRE l'initiative des grands réseaux de distribution horlogère de Hong Kong (environ 90 % des montres vendues sur place), qui semblent décidés à partir en guerre contre les marques suisses, accusées de jouer un peu légèrement avec les prix [les baisses de prix publics ont été décidées sans concertation avec ces réseaux, qui ont vu leur inventaire dévalué d'un coup, parfois de 20 %, sans être prévenus], d'encourager le marché parallèle et de favoriser des places horlogères concurrentes. Rappelons que Hong Kong est la première place commerciale du monde pour les exportations de montres Swiss Made. En fait, la lettre dévoilée en toute indiscrétion par Business Montres (24 avril) est un message officiel des responsables de la branche au gouverneur de Hong Kong, à la fois pour lui taper poliment sur les doigts [c'est le gouvernement de Hong Kong qui a bloqué les facilités de visas pour les Chinois de l'intérieur, donc pour les « fourmis » qui alimentaient la prospérité hongkongaise par leurs achats parallèles pour le marché chinois] et pour lui annoncer non moins poliment qu'ils avaient devoir licencier et multiplier les plans sociaux, mais aussi pour donner un avertissement oblique aux marques suisses en émettant des griefs sans les formuler directement. Ainsi, tout est dit sans que personne ne perde la face ! ◉◉◉◉ C'EST QU'IL Y A LE FEU À LA MAISON : les perspectives sont déplorables pour la fin de l'année, les stocks au plus haut niveau [il faudrait ajouter aux 6 à 10 mois évoqués dans le message des détaillants au moins l'équivalent, sinon près du double, de l'autre côté de la frontière chinoise !] et les perspectives de relance nébuleuses [tant pour cause de renforcement de la campagne anti-corruption – voir notre article sur le pilori où Xi Jinping cloue les corrompus : Business Montres du 23 avril – que d'instabilité monétaire autour de l'euro, du dollar et du yuan]. C'est aussi que les marques suisses se sont mises aux abonnés absents : non seulement elles procèdent elles-mêmes à d'énormes opérations de déstockage auprès de parallélistes réputés, mais elles ne freinent pas les ardeurs des grands détaillants européens qui n'ont jamais aussi bien vendu de montres à des « fourmis » chinoises [50 % de différence de prix avec la Chine, une fois la TVA récupérée, c'est tentant !]. Personne, ni du côté suisse, ni du côté chinois, ne sait plus gérer avec intelligence, l'explosion brutale de l'énorme bulle horlogère asiatique : c'est toujours dans ces circonstances, face à une convergence mésestimée des catastrophes, qu'on fait le plus de bêtises... ◉◉◉◉ VOIR ÉGALEMENT NOS INFORMATIONS CI-DESSOUS à propos des déstockages sauvages de Rolex, de Panerai et de Cartier (montres neuves) sur les sites d'achats groupés à Hong Kong – que faire d'autre quand il existe, dans les tuyaux, l'équivalent de quatre à cinq mois de production de montres invendues... 
▶▶▶ Cette semaine, le Sniper du lundi a...REPÉRÉ QUELQUES INFOSnotées à la volée, en vrac, en bref et en toute liberté... 
◉◉◉◉ LA NOUVELLE CAMPAGNE PUBLICITAIRE DE VACHERON CONSTANTIN (ci-dessus) : très classique dans son argumentaire centré sur la transmission du savoir-faire [thème d'excellence depuis longtemps sanctuarisé par la marque], cette approche publicitaire est très intelligemment soulignée par la mise en scène graphique et dans le choix du vocabulaire. « Crafting Eternity Since 1755 » : que c'est bien trouvé, cette « manufacture d'éternité depuis 1755 » ! Explication : « 260 ans d’histoire ininterrompue reflètent notre la transmission de notre savoir-faire horloger ». Et quelle bonne idée ce reflet de l'histoire – scène historique bien connue, mais compréhensible par ceux qui la découvriraient ici – sur le flanc poli d'une montre contemporaine, seulement identifiée par la couronne à la croix de Malte. Les tons chauds du cuir grainé et de l'or rose complètent cette mise en image émotionnelle, la typographie jouant elle aussi dans les encres comme patinées et teintées d'intimité et de confort luxueux. Rien à redire sur cette campagne, qui fonctionne bien en double comme en simple page (ci-contre), qui devrait bien vieillir et peut devenir le futur pivot de la communication de la marque... ◉◉◉◉ LA NOUVELLE CAMPAGNE PUBLICITAIRE DE SHINOLA (ci-dessous) laisse en revanche plus perplexe : rappelons que Shinola est une des plus sympathiques jeunes marques indépendantes de la nouvelle horlogerie américaine et que cette maison a choisi de s'installer et de se développer à Detroit, au coeur des friches industrielles abandonnées par les grandes marques d'automobiles. Pas de montres dans cette campagne qui entend positiver (#saynicethings) autour de Detroit, métropole naufragée qui a bien besoin de se remonter le moral en remontant le moral de ses habitants. Ni montre, ni vélo, ni aucun objet habituellement fabriqué par Shinola, qui se fend là d'une campagne purement citoyenne autour du slogan #saynicethings qui court sur les réseaux sociaux. Parallèlement, Shinola a financé diverses opérations d'embellissement de la ville (voir la vidéo d'explication). Avec les mêmes éléments de langage et la même campagne, on aurait sans doute pu trouver plus créatif et plus horlogèrement implicant comme concept... 
◉◉◉◉ « TOUT VA TRÈS BIEN, MADAME LA MARQUISE » : pour tous ceux qui pensent encore que la situation va s'améliorer en Chine et pour ceux qui n'auraient pas encore assimilé les arguments de la lettre confidentielle des plus grands réseaux de distribution horlogère à Hong Kong (révélation Business Montres du 24 avril : nous vous promettons la publication intégrale de la lettre dans les jours qui viennent), un indice très parlant de la débâcle qui risque de tout emporter à Hong Kong et de la nervosité des détaillants, qui commence à se délester pour retrouver un peu d'oxygène. Vous voulez une Rolex Milgauss ou Sea-Dweller à prix écrasé ? Vous en trouverez quelques-uns, neuves de stock, boîtes et papiers, sur groupon.hk (ci-dessous) – Groupon étant, comme chacun le sait, un site commercial de ventes en ligne d'articles groupés : on en déduira donc qu'ils s'agit de lots, et non d'articles isolés. Le discompte correspond à peu près à 20 % du prix public local, ce qui est encore modéré. Vous préférez une Panerai ? Toujours chez groupon.hk (ci-dessous), vous en trouverez quelques-unes cédées avec des réductions situées entre 35 % et 40 % de leur prix public. Avis aux amateurs ! Envie d'une Cartier Ballon Bleu ? Toujours chez Groupon, on trouve quelques bonnes affaires, neuves de stock mais à des prix sacrifiés. Le phénomène reste pour l'instant limité, mais il devrait s'amplifier rapidement. En Europe, le discompte de pièces neuves – pudiquement présentées comme « portées un jour » ou, comme disent les Anglo-Saxons « portées en boutiques » (shop worn ou shop used) – est plus discret, mais Bestmarques propose désormais très régulièrement des Cartier ou des Chaumet [pas encore des Rolex] de déstockage à des prix qui atteignent parfois les 50 % du prix neuf. Sur cette tendance, voir également notre interview de maurice Goldberger à propos du restockage collaboratif (Business Montres du 16 avril)...
◉◉◉◉ TECHNÉ (MAISON INDÉPENDANTE FRANÇAISE) APPELLE LES FLICS ! En français médiatique, on parle de l'« Anti-gang » pour ce qui n'est que Brigade de recherche et d'intervention (BRI) dans l'organigramme administratif de la République. C'est un peu la troupe d'élite de la police, celle qui se charge des grands criminels, des réseaux mafieux et des grosses affaires. Il leur fallait – c'est le péché mignon de ces unités spéciales (image en haut de la page, en cartouche) – une montre bien à eux : Techné a emporté le marché pour une série de 29 pièces dont le cadran sera frappé de l'insigne de la BRI [du moins de l'un d'entre eux, il en existe tant], qu'on retrouvera également sur le fond gravé. Sinon, du classique : boîtier acier, cadran destyle militaire, bracelet caoutchouc, mouvement Miyota et guichet de date élargi – pour que les super-flics français en opération ne se trompent pas de jour... 
◉◉◉◉ L'HORLOGERIE SUISSE CONFRONTÉE AU DÉFI DES SMARTWATCHES : une émission de « Goûts de luxe Paris » sur BFM TV (ci-dessous, le premier épisode ; cliquez ICI pour le second épisode), avec Pascal Michel (Mondaine France), Philippe Gouzes (Nixon Europe) et Grégory Pons (Business Montres). Résumé de ce qui s'est dit pendant l'émission et des enjeux de cette bataille : Business Montres du 27 avril... ◉◉◉◉ À PROPOS DE L'APPLE WATCH, QUELQUES CHIFFRES RÉVÉLATEURS POUR ÉVALUER SON SUCCÈS COMMERCIAL : en 2007, lors du lancement de son premier iPhone, Apple avait vendu 270 000 téléphones le premier mois de commercialisation. En 2010, pour le lancement de l'iPad, Apple avait placé 300 000 tablettes après un mois de commercialisation. Pour l'Apple Watch, nous en sommes à environ 1 000 000 de pré-commandes pour les quinze premiers jours du lancement, pour une estimation entre 2 millions et 3 millions de pièces pour le premier mois. Soit une estimation de ventes annuelles située, selon les instituts, entre 15 millions et 20 millions de montres, qui s'ajouteront au même nombre sensiblement équivalent des montres vendues par les concurrents d'Apple (Android Wear). Rappelons aussi que Samsung n'a guère vendu de 1,2 milion de Galaxy Gear dans toute l'année 2014. Sans se prononcer sur le succès ou l'insuccès de l'Apple Watch [à chacun d'estimer ces chiffres à leur juste valeur], ces millions de montres obligent cependant à admettre qu'il y a un vrai marché potentiel et une vraie demande pour les montres connectées : aux horlogers suisses de décider s'ils veulent se confronter aux géants de l'électronique sur ce terrain oou s'ils préfèrent attendre. Pour enrichir le débat, une infographie de Capital.fr (ci-dessous)... 
▶▶▶ Cette semaine, le Sniper du lundi a...COMPILÉ QUELQUES EXCLUSIVITÉSqu'il ne fallait pas manquer la semaine dernière dans Business Montres...
◉◉◉◉ UN RÉSUMÉ DE QUELQUES-UNES DES INFORMATIONS publiées ici en exclusivité, en priorité et en toute indépendance qu'il ne fallait pas manquer la semaine dernière : une actualité horlogère commentée en mode 100 % liberté grâce à 0 % publicité et 0 % de propositions commerciales obliques. 
◉ Pourquoi une grande marque comme Apple se prend-elle toujours des râteaux en Suisse ? Bonne question que se pose Business Montres (24 avril) le jour du lancement commercial officiel de l'Apple Watch. Qui d'autre pourrait se permettre de la poser ? ◉ Les plus grands détaillants de Hong Kong qui déterrent la hache de guerre contre les marques horlogères suisses : une note d'information interne, signée par les plus importants réseaux locaux et dévoilée en exclusivité par Business Montres (24 avril) pour expliquer ce que la crise – le mot est lâché – où s'enfonce le premier spot horloger du monde et pourquoi les détaillants sont au bord de la révolte, du déstockage sauvage ou du nervous breakdown. Ce ne sont évidemment pas les médias perroquets qui pourraient publier un tel document confidentiel...
◉ La Chine qui en appelle à la dénonciation de ces corrompus qui étaient les meilleurs clients de l'horlogerie suisse et qui publie une première liste de personnes recherchées (répérage exclusif Business Montres du 23 avril, pour ceux qui penseraient encore que les affaires ne vont pas tarde à reprendre en Chine)... 
◉ L'inutilité de l'accord de libre-échange signé entre la France et la Suisse : en 2013, Business Montres était le seul média à douter que cet accord – applaudi par tout le monde – puisse aider en quoi que ce soit l'horlogerie suisse, mais, aujourd'hui, les experts l'admettent ouvertement (24 avril)... ◉ Le reformatage nécessaire du logiciel horloger : pourquoi l'Apple Watch et les montres connectée concurrentes vont nous obliger à repenser nos routines mentales pour redéfinir ce que doit être une vraie montre de tradition horlogère dans un univers d'objets connectés (éditorial du 20 avril)... ◉ L'horloge mécanique de John Harrison précise à moins d'une seconde en 100 jours : c'était une vieille légende de l'horlogerie et tout le monde s'est moqué de l'horloger et de ceux qui tentaient l'aventure. Martin Burgess a réussi à descendre sous la seconde de précision en trois mois, grâce à des plans vieux de 250 ans (une histoire racontée en avant-première par Business Montres, le 20 avril). Laquelle de nos montres contemporains tient la distance ? 
◉ In Memoriam Bob Maloubier : une première annonce dès le mardi 21 avril et un hommage plus consistant le 22 avril (avec un article dans Atlantico le même jour)... ◉ Nos chroniques habituelles et exclusives : L'heure du temps et l'actualité horlogère sur le réseau France Bleu Besançon (21 avril), l'actualité des montres comme vous avez toujours rêvé qu'on vous la raconte avec Atlantic-tac (24 février), l'actualité des vitrines et des marques, en version originale, avec À découvrir (25 avril)... ◉ Et toutes les informations qui font le sel des conversations – mais que les autres médias horlogers ne vous racontent pas, sinon avec beaucoup de retard : les 100 plus belles montres de collection qui se cachent dans les coffres-forts de Davide Parmegiani, à Lugano (21 avril), la parodie de Cyprien face à l'Apple Watch (23 avril), le watch dealer américain Bob Maron qui se retourne en justice contre ses anciens associés d'Antiquorum (20 avril), la montre suisse d'une dame de la cour impériale chinoise au XVIIIe siècle (20 avril), les questions qu'on peut se poser sur les statistiques horlogères (23 avril), le risque calculé pris par Aurel Bacs avec sa vente de 60 Rolex-Date (21 avril), le nouveau tourbillon vertical de Peter Speake-Marin (23 avril), la nouvelle montre Yachting de Franck Muller, qui se diversifie dans le chantier naval (21 avril), le Chinois comme mouton qui aime les pommes et les carpes (23 avril)... D'AUTRES SÉQUENCES RÉCENTESDE L'ACTUALITÉ DES MONTRES ET DES MARQUES...