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MERCREDI : La haute joaillerie au coeur d'un duel entre les groupes de luxe

Un nouveau match se dessine au sommet : Cartier contre Bvlgari, avec deux quinquas très affûtés pour défendre les couleurs de leur marque (et leur groupe) sur le même champ clos d'un luxe global fortement inflluencé par la joaillerie... Harry Winston aura du mal à arbitrer : il ne va plus rester beaucoup d'espace pour les challengers...   ▶ LES QUESTIONS DE CE ZAPPING DU MERCREDILes réponses après le …


Un nouveau match se dessine au sommet : Cartier contre Bvlgari, avec deux quinquas très affûtés pour défendre les couleurs de leur marque (et leur groupe) sur le même champ clos d'un luxe global fortement inflluencé par la joaillerie...

Harry Winston aura du mal à arbitrer : il ne va plus rester beaucoup d'espace pour les challengers...

 
 
▶ LES QUESTIONS DE CE ZAPPING DU MERCREDI
Les réponses après le chrono ci-dessous...
❏❏❏❏ LICENCE : comment expliquer le succès international des montres Hugo Boss ?
❏❏❏❏ CHIC : les femmes équipées par Frédérique Constant seraient les Parisiennes de la Suisse ?
❏❏❏❏ POLYPHONIE : où trouver les meilleures brèves de comptoir des bistrots d'en face ?
❏❏❏❏ BVLGARI : que va pouvoir changer Jean-Claude Babin en s'installant sur son nouveau trône italien ?
❏❏❏❏ INDISCRÉTIONS : notées à la volée, en vrac, en bref et en toute curiosité (les potins du jour, les conseils les plus stupides du jour, la montre la plus sotte de la semaine, mais aussi le double échappement naturel de Laurent Ferrier, la nouvelle page Grégory Pons Online, le coup des jeans horlogers, des aiguilles timides qu'un simple regard arrête, etc.)...
 
◀▶ HUGO BOSS
Même Hugo Boss prend au sérieux les montres Hugo Boss...
◉◉◉ Un temps naufragées par de curieux licenciés [encore une immense réussite de notre ami l'Himalaya de la pensée horlogère], les montres Hugo Boss ont été relancées ensuite par le groupe Movado, qui a pu multiplier le chiffre d'affaires par 20 en huit ans (estimation Business Montres : à peu près une petite centaine de millions de dollars), pour la distribuer aujourd'hui dans 5 000 points de vente sur tous les continents. La production doit avoisiner le demi-million de montres, à un prix public moyen d'environ 300-400 dollars [les collections pré-Movado flirtaient avec les 800 dollars], pour une offre à 95 % quartz. Pour défendre les couleurs de la mode Hugo Boss, marque elle aussi en pleine croissance parce que très appréciée sur les marchés émergents, les montres Hugo Boss n'ont pas vocation à se battre à l'avant-garde de la tendance horlogère : elle se contente donc de miser sur un certain classicisme, en déclinant au fil des saisons (deux fois par an) les codes majeurs et les évolutions générales du marché de la mode. Cette saisonnalité prudente n'empêche pas les collections de "tourner" rapidement, en ne conservant que les éléments les plus affirmées des tendances du moment. L'idée reste d'accompagner les ligne fashion de la marque, non de les devancer ou de les influencer. L'idée n'est pas non plus de rechercher une illusoire profitabilité en montant en gamme : 50à dollars est un grand maximum. À ces prix, il n'est évidemment pas question de Swiss Made, même si la licence est pilotée de la Suisse (Bienne), avec une équipe de créatifs et un bureau de design aux Etats-Unis [cette répartition des tâches est celle qui prévaut, chez Movado, pour des licences comme Lacoste]. Après tout, côté hype et life style, Hong Kong vaut bien les watch valleys ! Les montres semblent désormais (@il était temps !) mieux prise au sérieux par l'état-major de la marque : on le vérifie à la présence de nombreux modèles des collections horlogères dans les défilés, ainsi que dans les shootings de mode.
◉◉◉ Huit ans, c'est l'âge d'une certaine maturité pour une licence profitable, qui est loin d'avoir atteint tout son potentiel : l'idée est donc de requalifier en permanence le réseau des boutiques horlogères [les montres sont vendues dans les boutiques Hugo Boss – environ 20 % de la production – aussi bien que chez les détaillants multi-marques – 80 %] pour requalifier en permanence le coeur de la clientèle. Cette priorité donnée à la distribution – un domaine où le groupe Movado excelle – explique l'importance de Baselworld pour les montres Hugo Boss, qui peuvent poser là l'esprit de leurs montres pour toute l'année (2013 : tendance driver et influence automobile), auprès de détaillants qu'il s'agit de fidéliser, en termes de produits, mais surtout de services (marketing haut de gamme, merchandising, accompagnement promotionnel, publicités liées à l'univers de la mode, SAV). La difficulté est aujourd'hui de bien gérer la croissance, explosive dans certaines zones comme les Etats-Unis (qui décollent enfin !), le nord de l'Europe ou le Proche-Orient. L'Asie tarde un peu à se réveiller, mais la conquête de la Chine ne fait que commencer, avec une priorité donnée aux bons emplacements. Pour les années à venir, le mot d'ordre reste la prudence, avec la lucidité requise sur des marchés qui peuvent se retourner, en prenant le temps de ne pas vouloir aller trop vite pour se faire plaisir. On l'aura compris : les montres Hugo Boss entendent rester très korrectes...
 
 
 
 
◀▶ JEAN-CHRISTOPHE BABIN
Le Swatch Group perd un autre de ses meilleurs clients...
◉◉◉ L'arrivée de Jean-Christophe Babin chez Bvlgari (Business Montres du 12 février) ne va pas substantiellement changer le rapport de forces entre le Swatch Group et le groupe LVMH pour ce qui concerne la fourniture des mouvements et des assortiments. Ce changement de direction va seulement accélérer un peu plus l'autonomie logistique des marques LVMH par rapport au Swatch Group. Si les tentatives précédentes de Bvlgari dans le domaine des mouvements "manufacture in-house" s'étaient soldés par des aveux d'échec, on peut imaginer qu'il n'en sera pas de même sous la conduite d'un Jean-Christophe Babin, qui a réussi la verticalisation – pour l'instant partielle, mais à terme globale – de TAG Heuer. C'est donc un autre fort contingent de mouvements mécaniques et électroniques qui échappe au Swatch Group, qui a perdu là deux de ses meilleurs clients [on peut se demandre si Seiko n'a pas, de son côté, gagné un gros client pour ses spiraux !]. En prise directe sur les réalités horlogères du fait de sa douzaine d'années chez TAG Heuer, Jean-Christophe Babin va achever la mise en place, à Neuchâtel, d'une vraie manufacture Bvlgari qui, conjuguée à celles de TAG Heuer, de Zenith et de Hublot, donnera au groupe l'indépendance dont il rêvait pour ses approvisionnements en mouvements. La mise en place d'une unité de production d'échappements devient inéluctable, en coopération ou non avec un des acteurs de ce marché alternatif à l'offre Nivarox. De même, Jean-Christophe Babin trouvera chez Bvlgari quelques-uns de ces "jouets" de haute horlogerie qui le fascinaient tant quand il était chez TAG Heur, où leur mise en scène ne s'imposait pas : l'absorption des manufactures Gérald Genta et Daniel Roth met à Bvlgari de maîtriser sonneries, répétitions minutes et tourbillons.Il serait étonnant que le nouveau patron résiste au plaisir de piocher dans cette caisse à outils, surtout s'il veut aller titiller Cartier sur le terrain de la haute horlogerie...
 
 
◉◉◉ L'autre point-clé des interventions de Jean-Christophe Babin chez Bvlgari sera le réseau commercial. Autant TAG Heuer a été obligé de mettre les bouchées doubles pour se doter d'un maillage wholesale digne des ambitions de la marque dans le luxe international, autant le réseau Bvlgari (280 boutiques, dont 180 gérées par la marque) ne demande qu'à être nettoyé et optimisé, en accroissant son caractère multi-spécialiste et en y développant des offres encore plus haut de gamme, comme la haute joaillerie (peu animée dans les boutiques). Les expériences complémentaires acquises chez TAG Heuer (optique et téléphonie) ne seront sans doute pas oubliées chez Bvlgari, de même que la refondation sportive de la communication [où la marque italienne est largement sous-représentée, alors qu'elle n'y manquerait pas de légitimité]. Jean-Christophe Babin, qui rêvait chez TAG Heuer de parvenir à tutoyer Omega, change de cour de récréation : il est maintenant chez les grands. Dans sa ligne de mire, il a désormais Cartier, qui affiche depuis quelques années un parcours d'excellence difficile à rattraper – ce qui ne veut pas dire impossible ! D'autant que l'ancrage multi-spécialiste de Bvlgari reste plus consistant (parfum, maroquinerie, hôtellerie, italian touch) et sans doute mieux identifié que celui de Cartier, qui en est toujours à l'apprentissage de certains métiers stratégiques sur ce marché de l'art de vivre planétaire. Deux marques majeures du luxe global (Cartier et Bvlgari) viennent de changer de CEO : les quinquas attaquent et ils ne se feront pas de cadeaux...
 
Luxe, calme et volupté Bvlgari à Bali...
 
 
 
◀▶ FREDERIQUE CONSTANT SLIMLINE
Extrême chic sans chiqué (à prix choc)...
◉◉◉ Un bon rapport qualité-prix, c'est assez banal chez Frederique Constant, une marque qui a bâti toute son équation sur la désirabilité accessible de montres capables d'avoir du coeur – puisqu'elles en donnent plus qu'elles ne devraient à leur niveau de prix. La nouvelle collection Slimline Joaillerie s'inscrit dans ce sillon, mais y ajoutant une dimension de chic et de distinction qui font de ces montres les petites Parisiennes de l'offre genevoise. Boîtier en or rose (plaqué) de 37 mm, lunette sertie, et cadran ultra-sobre avec des index en diamants, une date pour les étourdies et un bracelet en satin, avec des aiguilles sans mièvrerie qui rassureront les femmes assez coquettes pour paraître se passer de lunettes : qui l'eût cru possible pour 1 790 euros ? Beaucoup de femmes en rêvaient. Aletta Stas leur propose de passer à l'acte... 
 
 
 
 
◀▶ CONTENUS
Connaissez-vous le quotidien Business Montres Village ?
◉◉◉ C'est une page quotidienne d'agrégation de contenus, qui reprend chaque jour les publications en ligne d'une grosse vingtaine de site dont les contenus de qualité méritent le détour. Ce sont un peu les brèves de comptoir des bistrots d'en face (articles, posts, vidéos, photos), publiées avec les liens qui donnent accès aux contenus (quasiment tous en accès libre et très majoritairement anglo-saxons et horlogers). Cette page est réalisée sans vocation marchande, pour le plaisir du partage communautaire. Pour être sûr de ne pas en manquer un épisode et recevoir un message d'alerte à chaque parution, on peut s'y abonner en un clic (c'est gratuit) et même laisser des commentaires. Cliquez sur l'image ci-dessous pour y accéder... 
 
 
 
 
◀▶ LES INDISCRÉTIONS DU JOUR
Notées à la volée, en vrac, en bref et en toute liberté...
 
 
◉◉◉ POTIN (1) : qu'est-ce qui est bleu, en toile de coton, avec une trame assez épaisse et réputé venir de Gênes ou de Nîmes ? Tout le monde a trouvé grâce à l'image ci-dessus : c'est le jeans, matériau iconique du XXe siècle. Curieusement, personne n'avait encore pensé à en faire des montres, bracelets et cadrans compris. Personne sauf... Vous en saurez davantage ce week-end !
 
◉◉◉ POTIN (2) : mais qu'est-ce que c'est que cette boule noire structurée en nid d'abeille (en haut de la page) ? Simplement une évocation de l'ovni horloger qui doit se poser dans moins de dix jours pas très loin du lac de Genève. Un potin à relier à la tour arc-boutée publiée le 12 février et à la montre digne du Seigneur Vador évoquée le 11 février...
 
◉◉◉ NEUCHÂTEL : parfois, c'est le regard des autres qui nous oblige à regarder ce que nous avons sous le nez. Ainsi, cette visite d'un blogueur américain, blogueur et modérateur pour PuristsPro, au musée d'Art et d'Histoire de Neuchâtel, dont on connaît (mal) les richesses horlogères (ci-contre). Une invitation au voyage, un peu naïve mais passionnée, et en tout cas très admirative...
 
◉◉◉ GRÉGORY PONS ONLINE : c'est, une fois par semaine (le lundi matin), la compilation d'à peu près tout ce qui a pu paraître ou être écrit, un peu partout sur le web horloger, par ou à propos de Grégory Pons. Il s'agit d'un agrégateur de contenus, comparable à Business Montres Village, qui est polyphonique et non focalisé. Les liens renvoient sur les contenus, tantôt en accès libren tantôt payants. On peut s'y abonner gratuitement pour ne rien manquer de l'ensemble de la production, dans tous les domaines et pour recevoir, à chaque parution, un e-mail d'alerte (Grégory Pons Online)
 
◉◉◉ GREENPEACE : l'organisation écologiste s'en prend désormais aux marque de luxe, qu'elle provoque en duel (The Fashion Duel), ce qui est un façon polie de leur déclarer la guerre. Enjeu de la bataille médiatique qui s'annonce : l'éthique environnementale des marques de luxe [pour l'instant, seule la mode est concernée] dans leurs stratégies de production. Un procès à charge, évidemment, instruit dans une vidéo très efficace quoique (ou, justement, parce que) sans nuances : 15 maisons de haute couture sont dans le collimateur, certaines comme Chanel ou Prada ne s'en tirant pas bien du tout. Excellente vidéo complémentaire, très efficace, avec la ravissante Valeria Golino, qui s'est déshabillée pour nous expliquer que le cuir, le papier d'emballage et la production textile des marques de luxe nous menacent tous. "Chaque jour, au Brésil et en Indonésie, les dernières forêts primaires qui persistent sont rasées à blanc. L'habitat des derniers tigres de Sumatra est sacrifié au nom de la production de pâte à papier. La forêt amazonienne est détruite pour laisser place à l'élevage de bétail pour le cuir. Pendant ce temps, en Chine ou au Mexique, des rivières et des lacs sont pollués et leurs poissons sont empoisonnés par les rejets des produits chimiques dangereux utilisés par l'industrie textile". Et vous, amis horlogers, vous sentez-vous à l'abri : vos productions détruisent-elles la forêt ? Utilisent-elles des produits chimiques dangereux dans leur fabrication ? Gaspillent-elles les ressources de la planète ?
 
◉◉◉ LAURENT FERRIER : le double échappement "naturel" sans huile du calibre à micro-rotor de Laurent Ferrier est détaillé sur la dernière newsletter de la marque, mais on peut en percer les mystères mécaniques – très inspirés par les avancées techniques d'Abraham Louis Breguet, qui n'avait pas l'outillage pour le produire avec assez de précision – sur cette vidéo de Business Montres Vision :
 
 
◉◉◉ ROLEX : conseils décisifs du site Crown & Caliber (pourtant réputé sérieux) pour améliorer la précision d'une Rolex automatique. Il suffit de la remonter ! À retenir pour le prochain dîner de cons entre blogueurs...
 
◉◉◉ INVICTA : du grand n'importe quoi ! Mais comment peut-on raconter autant de bêtises en aussi peu de temps ? Pour une anti-leçon d'horlogerie, vous pouvez toujours vous intéresser à cette vidéo d'Invicta, qui désinforme en posant au pédagogue pour les nuls...
 
◉◉◉ SUN SET CLOCK : une vraie horloge solaire, qui ne dépend pas de l'ensoleillement, mais dont le soleil donne vraiment l'heure, les minutes (avec précision), la position du soleil dans le ciel (avec la possibilité de changer la ligne d'horizon en fonction du mois), la durée du jour et de la nuit selon les saisons, bref tout ce qu'il faut pour vivre au vrai rythme du cosmos (Rock'N'Horl # 100), avec deux vidéos d'explication...
 
◉◉◉ BAMFORD : une petite horreur pour la Saint-Valentin ? Faites confiance à Bamford Watch Department (Londres) pour cochonner un Rolex Datejust, rebaptisée avec beaucoup d'originalité "I love you" et facturée dans les 15 000 francs suisses (ci-contre). On trouve sur site des détournements saint-valentinesques encore pires dans le genre musée des horreurs. De quoi transformer cette fête des amoureux en... saint Va-t-en loin !
 
◉◉◉ FLIK FLAK : amusante vidéo à télécharger sur un smartphone pour faire d'une pièce deux coups (calmer les enfants à l'arrière de la voiture et les initier aux mystères du temps qui passe). Flik Flak entreprend de nous raconter l'histoire de la mesure des heures (02:44 mm de calme gagnées dans la file d'attente au péage), en prolongeant cette séquence de pédagogie amusante par un volet beaucoup plus sensible : l'apprentissage de l'heure (03:03 mn), avec le même professeur un peu déjanté et ses amis Flik et Flak. Amusant et surtout utile pour sensibiliser les nouvelles générations à l'habitude de porter une montre et de lire l'heure sur un cadran, avec des aiguilles, plutôt que sur l'écran d'une prothèse nomade...
 
◉◉◉ FRAUDE CHEVALINE : en flirtant de trop près avec la ligne jaune dans l'histoire d'un Swiss Made beaucoup plus bureaucratique que géographique, la Suisse horlogère n'est pas à l'abri d'un scandale sur les fraudes à la qualité de la marchandise comparable à celui des lasagnes à la viande de cheval. Ce qui a choqué l'opinion, c'est moins le fait de manger du cheval [après tout, cela n'a jamais été un tabou en Europe continentale] que de découvrir que les plats cuisinés du quotidien, ceux dont on ne soupçonnait pas l'inocuité, avaient été, eux aussi, victimes de la fièvre spéculative et d'une globalisation économique sans frontières qui décourage tout traçage. Le jour où les clients du monde entier découvriront que beaucoup trop de leurs montres suisses n'ont sans doute pas grand-chose de suisse, la déception et la colère seront comparables à celle des amateurs abusés par les lasagnes (source : Genevois rien venir)...
 
◉◉◉ PRIMETIME : troisième livraison (Saison 1, Episode 3) de la série des rendez-vous d'information horlogère proposé par Marc-André Deschoux (The Watches TV), avec, au programme, Antonio Calce et Vincent Calabrese (Corum), Jean-Marc Jacot (Parmigiani), Dominique Fléchon (La conquête du temps) et Fabien Lamarche, pour Julien Coudray (source : Primetime)...
 
◉◉◉ TIMIDITÉ : les aiguilles timides, qu'un simple regard arrête, mais qui profitent de la pénombre pour se lâcher et se mettre à danser ! Si ce n'est pas le concept horloger le plus fou de ce début d'année, ça y ressemble quand même : c'est en tout cas bien trouvé (séquence Rock'N'Horl # 109 et vidéo d'explication sur Business Montres Vision : un délire de designer comme cette horloge Wallace s'explique mieux par l'image que par les mots)...
 
◉◉◉ NOSTALGIE : ah, qu'elles étaient amusantes, ces années 2000, quand les marques de nouvelle génération se permettaient à peu près n'importe quel concept, comme cette WX-1 chez DeWitt (à retrouver dans une vidéo de l'époque : c'était une réalisation complètement folle de BNB) ou cette montre Heures du monde, qui est sans doute une des plus complexes  jamais mises en scène par l'horlogerie suisse, qui était proposée par Villemont (vidéo de l'époque, dans laquelle on retrouve Olivier Muller, l'actuel patron de la manufacture Laurent Ferrier)...
 
◉◉◉ CHOPARD : une superbe série limitée pour la boutique de Genève. Il n'y aura malheureusement que 25 pièces de cette édition spéciale d'une L.U.C XPS à cadran bleu (très élégant boîtier platine de 39,5 mm et classe absolue du cadran bleu, décoré du Poinçon de Genève : ci-dessous). Une réussite totale, qui nous conforte dans notre pronostic de la fin 2012 : "Et si le bleu était le nouveau noir ?" (Business Montres du 16 décembre)...
 
 
 
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