PICTOCHRONIQUES #345
« Au milieu de l’hiver, j’ai découvert en moi un invincible été »
Pour bien profiter de cet automne 2025 finissant, voici le 345e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Jetons donc un œil sur une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain et philosophe français Albert Camus (1913-1960) pour la citation de son essai « L’Été, retour à Tipasa » (1952) qui compose le titre à cette pictochronique. C’est étonnant, le relief que ça peut prendre si on relie cette pensée à l’actualité d’une horlogerie en crise, à son culte de la précision, à son industrie et au moral de ses troupes ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…
