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REPÉRAGES #184-2023 (accès libre)
Sept montres qui abordent joyeusement cette rentrée de fin d’été 2023

Après la présentation intégrale des montres en piste pour le GPHG, nous reprenons avec ce 184e épisode notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept montres de différentes marques : Breguet, Hamilton, Louis Moinet, Maurice de Mauriac, Perrelet, Sinn et Vacheron Constantin…


VACHERON CONSTANTIN Les Cabinotiers Armillary Tourbillon

À la demande d'un client collectionneur de voitures de luxe et de haute horlogerie, Vacheron Constantin a créé une montre de bord sur mesure pour sa voiture signée Rolls-Royce Coachbuild. En étroite collaboration avec les designers et artisans du constructeur britannique, les équipes de Vacheron Constantin ont réalisé la montre à exemplaire unique Les Cabinotiers Armillary Tourbillon, logée dans un support amovible et sécurisé qui s'intègre au tableau de bord de la voiture. Un coffret du même bois que le tableau et du même cuir mauve que la sellerie a également été créé pour accueillir la montre et son support une fois retirés de l’habitacle. En ce qui concerne le mouvement, le choix des horlogers de Vacheron Constantin s’est porté sur le calibre manufacture 1990, notamment en raison de son affichage bi-rétrograde des heures et des minutes, qui rappelle les compteurs de vitesse automobiles traditionnels, et de son tourbillon bi-axial dit armillaire, en référence aux modélisations de la sphère céleste du 18e siècle, qui offre un surprenant ballet mécanique. Les finitions extrêmement soignées et personnalisées de la montre et de son support répondent aux critères d’excellence de Vacheron Constantin qui signe avec cette pièce sa première réalisation contemporaine destinée au monde automobile.

BREGUET Classique 7637 Répétition minutes

Elle fascine autant qu’elle intrigue, la répétition minutes est l’une des complications les plus marquantes de l’histoire horlogère. Technicien hors pair, Abraham-Louis Breguet se passionna rapidement pour le sujet et chercha à améliorer le mécanisme. C’est ainsi qu’il créa dès 1783 les premières montres à répétition sonnant sur une lame ressort au lieu du timbre cloche utilisé jusqu’alors. Aujourd’hui, Breguet lui rend hommage avec un nouveau garde-temps. Les répétitions minutes font partie de ces grandes complications que l’on pourrait qualifier de petits chefs-d’œuvre mécaniques. En effet, au mouvement s’ajoute un mécanisme de sonnerie composé notamment de marteaux frappant sur un ressort timbre. Les différents matériaux nécessaires à sa conception doivent quant à eux être dotés de qualités acoustiques évidentes. Enfin, l’ensemble des composants doit être de taille minime afin de pouvoir entrer dans une boîte aux dimensions restreintes. Un savoir-faire nécessitant une exigence, de nombreuses années d’expérience ainsi qu’une dextérité hors pair. Par ailleurs, plus d’un mois de travail est nécessaire à la réalisation d’une répétition minutes. Breguet perpétue cet art depuis près de 250 ans, au sein de sa Manufacture située à la Vallée de Joux. Outre l’expertise d’un horloger spécialisé en hautes complications, celle d’un acousticien en quête constante du son parfait est indispensable à la conception de la pièce. Une fois l’assemblage du mouvement réalisé, un travail autour de l’accordage du timbre s’opère en deux phases : harmonique puis mélodique. C’est au sein d’une chambre anéchoïque spécialement dédiée à cette complication horlogère que l’expert va tout d’abord rechercher la fréquence de résonance de chaque timbre. Une fois cette note déterminée, un travail est réalisé afin de trouver la mélodie se rapprochant le plus de la signature sonore Breguet. Chaque garde-temps étant conçu à la main, l’acoustique diffère subtilement d’une pièce à une autre, ce qui rend cette complication plus unique encore.

Contrairement aux apparences, le cadran minimaliste de la pièce 7637 nécessite un savoir-faire que peu d’artisans pratiquent encore aujourd’hui : la technique de l’émail grand feu. Mélange de silice et d’oxydes broyés, les poudres colorées sont dissoutes dans de l’eau avant d’être appliquées sur le cadran, selon différentes méthodes. Le secret réside ensuite dans le processus de cuisson. En effet, chaque couche et couleur appliquées requièrent un passage additionnel au four, selon une température définie de plus de 800 degrés ainsi qu’une durée de cuisson savamment programmée. Au contact de la chaleur, l’émail s’enflamme alors et fond pour créer chacune des couches. Plusieurs semaines sont parfois nécessaires à la réalisation d’un seul cadran afin d’obtenir la teinte souhaitée. Sur ce dernier, les chiffres arabes Breguet, la minuterie ainsi que le logo Breguet, sont mis en valeur par le biais d’un coloris argent poudré. Les heures et minutes sont affichées par les aiguilles Breguet en or « pomme » évidées. Enfin, l’actionnement de la répétition minutes s’opère via le verrou situé à 9 heures. La boîte de la montre mesure 42 mm de diamètre et est nouvellement proposée en or rose. Elle renferme le calibre 567.2 dont le balancier oscille à une fréquence de 2,5 Hz. Lorsque l’on retourne la montre, le mouvement mécanique à remontage manuel entièrement ciselé à la main se laisse admirer grâce au fond saphir, c’est notamment le cas des marteaux réalisés en acier poli bloqué. Au-delà du savoir-faire esthétique de la décoration réalisée à la main, ce mouvement fait preuve d’ingéniosité dans l’emplacement des timbres, porte-timbres et marteaux. En effet, les timbres étant fixés sur la carrure au lieu de la platine. Ainsi, ces derniers vibrent directement et transmettent le son de manière optimisée. Par ailleurs, ils sont façonnés dans l’or afin d’apporter une qualité sonore harmonieuse et riche en partiels. Ce matériau offre en outre un autre avantage. Etant donné que la boîte est également conçue en or, les éléments partagent la même impédance acoustique et apportent donc une meilleure transmission et performance du son. Une caractéristique qui a fait l’objet d’un dépôt de brevet par Breguet. La nouvelle Classique Répétition Minutes est proposée sur un bracelet en alligator noir muni d’une boucle déployante triple lame en or. Dans la même gamme, la montre est également disponible en or blanc, avec cadran émail grand feu, bracelet alligator, ces deux derniers éléments ayant une teinte bleu nuit. Cette complication est avant tout née d’un besoin. En effet, au XVIIe siècle, bien avant l’usage de l’électricité, une fois la nuit tombée, il était complexe de lire l’heure. Les horlogers rivalisèrent alors d’ingéniosité afin de créer une montre sonnant à volonté. La solution fut trouvée vers 1680 avec l’invention de la première montre à répétition minutes, une innovation ouvrant la voie à de nombreuses autres. C’est ainsi qu’à la sonnerie des heures s’ajoutèrent celles des quarts et des minutes. Technicien hors pair, Abraham-Louis Breguet se passionna rapidement pour le sujet et chercha à améliorer le mécanisme. C’est ainsi qu’il créa dès 1783 les premières montres à répétition sonnant sur une lame ressort au lieu du timbre cloche utilisé jusqu’alors. Initialement de forme rectiligne et placées en travers de la platine arrière, ces lames sont par la suite enroulées autour du mouvement. Elles présentent alors l’avantage de réduire considérablement l’épaisseur des montres à sonnerie tout en émettant des sons plus limpides et harmonieux. Une invention aussi bien utile que prisée puisque plusieurs horlogers de l’époque l’adoptèrent. Le fondateur de la maison Breguet fut également à l’origine de différents mécanismes axés sur les sonneries des quarts, demi-quarts et minutes.

SINN 857

Une montre de pilote avec protection contre les champs magnétiques et lunette tournante captive : basée sur la série 856 et conçue comme une montre instrumentale fonctionnelle dans la tradition de nos horloges de navigation de cockpit, cette montre de pilote est également dotée d'une lunette de pilote qui permet à son porteur de mesurer ou de vérifier des intervalles de temps déterminés. Il s'agit d'un critère décisif, en particulier dans le domaine de l'aviation - une raison suffisante pour que nous donnions à cette fonction importante un design de qualité supérieure. La lunette de pilote en acier inoxydable avec encliquetage des minutes peut être tournée des deux côtés et dispose d'un système mécanique spécial développé par Sinn pour la protéger contre les pertes. Comme le matériau du boîtier, la base de la lunette est trempée avec la technologie Tegiment. L'étiquetage est argenté sur un anneau en aluminium anodisé noir afin d'assurer une lisibilité optimale de l'échelle. Un triangle lumineux sert de repère pour les 0 / 60 minutes. La lunette du pilote peut être tournée dans les deux sens et s'enclenche fermement et de manière audible à intervalles d'une minute.

MAURICE DE MAURIAC Rallymaster II « Time for tennis ! »

Maurice de Mauriac et Racquet annoncent la deuxième édition de la Rallymaster, leur montre inspirée par l’univers du tennis. Ce garde-temps, dont la production est limitée, présente un nouveau cadran bleu glacier, associant des détails classiques du vintage à des repères modernes du monde du tennis. Cette nouveauté sera disponible en prévente pendant toute la durée du tournoi de tennis U.S. Open. Imaginée par Carlton DeWoody, un créatif reconnu pour ses projets dans le domaine de la décoration d'intérieur, la seconde édition de la Rallymaster s'inspire des cadrans de montres à couleurs et graphiques des années 60 et 70. L'année dernière, Maurice de Mauriac et Racquet avaient déjà fait appel à DeWoody - dont la passion pour le tennis et les montres en a fait un collaborateur idéal - pour la première édition de la Rallymaster, dont les 40 exemplaires ont été vendus en quelques heures seulement. La marque horlogère Maurice de Mauriac, basée à Zurich, est connue pour ses montres mécaniques exclusives. Elle est associée au tennis depuis près de vingt ans, en tant que chronométreur officiel de l'ATP Tour de Gstaad et a été associée à des champions de tennis - la charismatique star de la WTA Andrea Petkovic, le joueur culte français Benoît Paire, en passant par la création d'une montre dédiée au légendaire Stan Smith. Les collections de Maurice de Mauriac se distinguent par l'association du monde du sport et du luxe avec la qualité de l'artisanat suisse. Dirigée par la famille Dreifuss, qui gère la marque avec un esprit indépendant, leurs fortes personnalités et leurs styles uniques se manifestent avec aisance dans l'atelier de la marque à Zurich. « L'essor de la culture horlogère est parallèle à celui du tennis à bien des égards. Les deux s'adressent à un public beaucoup plus large. Maurice de Mauriac est le partenaire idéal pour Racquet car ils ont une philosophie similaire. Leurs montres et le magazine Racquet s'adressent à une nouvelle génération de sportifs raffinés », déclare Carlton DeWoody. Racquet, trimestriel culte sur le tennis et société de médias fondée en 2016, est la voix d'un nouveau boom du tennis. Fatigué de voir le tennis dépeint comme un sport de country club pour les élites, Racquet a construit une communauté de créateurs de tendances dans les villes du monde entier. Ils ont récupéré le récit sportif dans et en dehors du terrain, et sont excités de le faire dans la scène horlogère aussi - étant les partenaires parfaits pour Maurice de Mauriac.

HAMILTON Khaki Field Titanium

L’esprit militaire emblématique de la Khaki Field Titanium se décline à l’infini. Proposé dans deux nouveaux modèles, noir mat et titane brossé, chaque coloris est aussi disponible dans deux diamètres, avec un bracelet coordonné pour la version en titane brossé. Dès le XXe siècle, Hamilton développe et produit des montres d’une grande précision pour les forces militaires. Depuis, la marque perpétue l’esprit de ces montres intemporelles à travers la collection Khaki Field et, aujourd’hui encore, avec son nouveau modèle à toutes épreuves, la Khaki Field Titanium. Avec leur boîtier en titane et leur nouveau bracelet coordonné, ces nouveautés incarnent à merveille la rencontre d’un design intemporel et de matériaux innovants. Légère et fonctionnelle, la Khaki Field Titanium est l’acolyte idéal de toutes vos aventures. La Khaki Field Titanium se décline en deux coloris élégants. Optez pour le boîtier en titane noir mat pour un look monochrome aussi raffiné qu’audacieux avec son cadran noir coordonné. En quête d’une montre classique et élégante ? Choisissez le boîtier en titane brossé et son bracelet assorti, associés à un cadran bi-ton bleu profond. Chaque modèle s’accompagne d’aiguilles, d’index et de chiffres revêtus de Super-LumiNova, pour une lecture de l’heure optimale, de jour comme de nuit. Conçue pour répondre aux besoins de tous les aventuriers, chaque montre est disponible en 38 mm et 42 mm. Quels que soient son diamètre ou sa couleur, la Khaki Field Titanium vous séduira à chaque instant…

PERRELET Turbine 41 Titanium

À l'occasion des Geneva Watch Days 2023, Perrelet lance la nouvelle « Turbine 41 Titanium ». Une première absolue pour la Maison suisse, qui introduit dans sa célèbre famille de montres une collection pour Homme avec un boîtier plus petit : 41 mm de diamètre.C'est en effet la première fois que la prestigieuse manufacture horlogère suisse réduit la taille de sa ligne iconique depuis sa création en 2009. Depuis le lancement initial, le diamètre des nombreux modèles produits au fil du temps a été en moyenne de 44 mm, allant jusqu'à 48 mm pour certains garde-temps. Aujourd'hui, les tendances horlogères contemporaines privilégient des dimensions plus réduites, adaptées aux poignets les plus fins. Pour adapter la Turbine au goût du jour, les concepteurs et techniciens de la Maison ont dû non seulement miniaturiser l'architecture du boîtier, mais aussi la construction de la turbine, démontrant ainsi une fois de plus leur expertise et leur savoir-faire de haut niveau. La turbine, qui rappelle le système de propulsion aéronautique dont elle s'inspire clairement, nécessite une grande attention lors de son assemblage, afin qu'elle puisse tourner librement au moindre mouvement du poignet. Composée de 12 pales en aluminium anodisé noir et de cinq contrepoids qui lui permettent de ralentir et de revenir à sa position de repos, la turbine est un élément distinctif qui confère à la montre une identité forte et immédiatement reconnaissable. S'il remplit une fonction purement esthétique, ce dispositif nécessite néanmoins un équilibre parfait pour assurer le mouvement hypnotique saisissant qui caractérise la collection et matérialise les cadrans inférieurs par des décorations toujours changeantes. Les nouvelles dimensions réduites ont nécessité de nouveaux tests pour un assemblage parfait. Perrelet décline la nouvelle « Turbine 41 Titanium » en dix références. Quatre d'entre elles sont dotées d'un boîtier poli/brossé en titane grade 2 et de sous cadrans dans les tons bleu, vert, rouge ou noir, associé pour la première fois à un bracelet en titane intégré. Les six autres versions ont un boîtier en titane DLC noir et un bracelet en caoutchouc assorti à la couleur des cadrans inférieurs : jaune, orange, rouge, vert anglais, bleu ou noir. Ce dernier crée une édition entièrement noire avec un fort impact visuel.Plus sobres les unes que les autres, plus colorées les unes que les autres, toutes les variantes de la « Turbine 41 Titanium » partagent le style sport-chic, contemporain et dynamique qui a toujours distingué la collection, et au poignet, elles sont extrêmement légères et agréables à porter grâce au matériau dont elles sont faites. Le titane est un alliage métallique extraordinairement léger qui offre une résistance supérieure aux chocs et à la corrosion et qui est totalement hypoallergénique. Le revêtement DLC (Diamond Like Carbon) améliore encore sa résistance aux rayures et le rend inaltérable dans le temps.

La « Turbine 41 Titanium » conserve l'esthétique de la collection Turbine EVO lancée en 2019 pour commémorer le 10e anniversaire de la technologie brevetée Turbine. En effet, le boîtier et le bracelet présentent une lunette lisse, une carrure cannelée verticalement, des triples cornes et une couronne proéminente ornée du logo de la marque. Le bracelet à cinq maillons, confortable et ergonomique, est pour la première fois en titane. Un détail, cependant, est nouveau. La « Turbine 41 Titanium » affiche des aiguilles des heures et des minutes légèrement redessinées. De forme similaire à celles du passé, elles sont désormais entièrement remplies de Superluminova blanc, et sont rehaussées d'un profil noir et d'un segment horizontal qui divise leur surface entre la base et la pointe. Les aiguilles lumineuses ainsi que les index mixtes en relief sur le rehaut permettent une lisibilité optimale même dans des conditions de faible luminosité. La fine aiguille des secondes, qui s'harmonise avec la teinte du cadran inférieur pour les variantes en titane DLC noir et qui arbore une teinte rouge pour les modèles en titane poli/brossé, ajoute une touche de couleur à l'affichage.Le mouvement qui anime la « Turbine 41 Titanium » est le calibre P-331-MH à remontage automatique. Entièrement conçu en interne, il est fabriqué par Soprod, la manufacture Perrelet qui fait partie du groupe Festina, tout comme la Maison historique qui date de 1777. Avec un balancier travaillant à 28'800 alternances par heure, c'est un mouvement extrêmement fiable et précis. Celle-ci est garantie par deux certifications délivrées par deux instituts indépendants, le COSC et Chronofiable (Laboratoire Dubois). Le calibre P-331-MH peut être admiré à travers le hublot en verre saphir du fond du boîtier, qui révèle ses finitions impeccables : les ponts rhodiés et perlés, la masse oscillante ajourée et rhodiée, ornée du logo de la marque.

LOUIS MOINET Jules Verne Tourbillon

Les tourbillons Jules Verne forment une trilogie de créations horlogères, chacune proposant un voyage artistique unique. La première œuvre, « To the Moon », se distingue par son cadran orné d'une météorite lunaire d'une rareté exceptionnelle. « Les tourbillons Jules Verne « To the Moon » sont conçus comme des toiles d'art. Associant l’art du guillochage à la météorite lunaire, un matériau d'une rareté exceptionnelle, ils invitent à la personnalisation. Par son choix, le futur détenteur prend part à la création d’une œuvre horlogère unique. »(Jean-Marie Schaller, Owner and Creative Director). La personnalisation est au cœur du concept des tourbillons Jules Verne. Pour chaque matériau central choisi - météorite lunaire, opale, ou lapis-lazuli - le futur détenteur est invité à choisir parmi huit variantes artisanales. Par son choix, il ajoute son propre trait à cette œuvre horlogère unique. Le guillochage, héritage précieux, révèle tout son éclat sur les montres Jules Verne Tourbillon. Cet artisanat minutieux consiste à graver avec précision de délicates stries sur des surfaces métalliques, créant ainsi des motifs captivants. Pour sublimer davantage ces cadrans guillochés, les artisans appliquent un vernis translucide qui révèle avec profondeur et éclat le décor gravé. Jules Verne Tourbillon « To the Moon » nous emporte dans l'univers céleste avec son cadran en météorite lunaire, d'une rareté exceptionnelle. De plus, sa structure marbrée en fait peut-être l'une des plus belles tranches de météorite lunaire jamais présentées. Les huit fragments uniques de la lune proposés à choix offrent une personnalisation horlogère sans précédent. Un privilège réservé à ceux qui souhaitent tisser un lien privilégié avec notre astre nocturne. Autour de cette météorite, sous une laque translucide verte, le motif guilloché composé de délicats arcs-de-cercle offre une présence magnétique, captivant le regard avec son jeu subtil de lumière. Doté d’un tourbillon volant avec cage décentrée, les garde-temps Jules Verne Tourbillon défient la gravité d’une manière saisissante et captivante. Leur mécanisme à remontage manuel est équipé d’un double barillet. Ce système, appelé « volte-face » permet aux deux barillets d'être disposés en tête-bêche et de se décharger simultanément, offrant ainsi une réserve de marche de 96 heures. Ces œuvres d’art d’exception sont délicatement encadrées par un boîtier en or rose 5N 18 carats, d’un diamètre de 40 mm aux courbes fluides et tendues. Le dôme en saphir, véritable prouesse de haute technicité, révèle les détails fascinants du cadran et du tourbillon. Les cornes ajourées, quant à elles, soulignent parfaitement l’intégration du bracelet.

 

Coordination éditoriale : Eyquem Pons


 

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