REPÉRAGES #198-2023 (accès libre)
Sept montres qui jouent les sportives au grand cœur (en dépit des apparences)

URWERK UR-100V Stardust

Elle brille de mille feux sous le faisceau de lumière. Il faut alors la prendre dans le creux de la main, la faire lentement pivoter, chercher son meilleur profil. Et apprécier. Cette UR-100V Stardust vous mettra des paillettes dans les yeux. Promesse d’horloger. Cette UR-100V vous parlera d’étoiles et de constellations lointaines, de beautés naissantes et de flamboyance, d’éclairs scintillants et de reflets transparents. « L'univers, dans sa globalité, est composé de particules stellaires, rendant incontournable leur présence dans toutes les formes de matière qui nous entourent. Que ce soit dans leur état brut ou transformé, du carbone aux diamants taillés, du minéral de fer à l’alliage d’acier, cette poussière d'étoiles est omniprésente. Il est fou de penser que nous, en tant qu'êtres humains, sommes également constitués de cette substance céleste. Ainsi, le surnom de Stardust, associé logiquement au sertissage de cette UR-100V, s'étend aussi à la montre elle-même et à son futur possesseur » nous dit Martin Frei, directeur artistique et co-fondateur d’Urwerk. Cette UR-100V est sertie de 400 diamants (pureté VVS1 ; couleur D). Près de 1,90 carat de carbone pur. C’est la technique du serti neige qui a été retenue ici : « Nous voulions un décor qui rappelle la voute céleste. Rien d’uniforme, plutôt un chaos ordonné. Ce n’est pas tant la taille des pierres qui nous importait mais leur agencement, ce dessin presque aléatoire » nous dit Felix Baumgartner, maître horloger et co-fondateur d‘Urwerk. Quatre cents diamants choisis minutieusement parmi 8 formats différents tapissent le boîtier de la UR-100V Stardust. Seules les arrêtes de la montre ont été laissées nues. Passer votre doigt sur cette mosaïque de diamants. La structure est douce au toucher, lisse, fluide. La réalisation de ce sertissage fut pourtant un joli défi en raison de la nature de l'acier utilisé ici. Plus dur et moins malléable que l'or, l'acier a nécessité un travail de bijouterie plus complexe et pointilleux. Sous le globe de cristal de la UR-100V Stardust, la minuterie -située sur la partie supérieure du chemin de fer – est parcourue de 36 diamants, 24 supplémentaires ornent la couronne de la montre. La boucle à ardillon en acier est, elle, magnifiée par deux rangées de 11 diamants chacune. En plus de son esthétique et de son mouvement à heures vagabondes, l'UR-100V Stardust est de nature spatiale. Comme toutes les montres de la collection 100, elle arbore deux encoches le long de son porte-satellite. La première est un compteur de kilomètres représentant la distance parcourue par la Terre sur son propre axe en 20 minutes, soit 555 km. La seconde est un compteur de kilomètres indiquant la distance parcourue par la Terre autour du soleil pendant le même laps de temps, soit 35 740 km. L'UR-100V Stardust témoigne ainsi du voyage terrestre à travers le vide intersidéral, croisant des millions de soleils et reflétant leur lumière.

NOMOS GLASHÜTTE Tangente Neomatik Tangente 41 x Revolution

Une montre du plus haut calibre : Tangente neomatik 41 Update est un nouveau modèle spécial de Nomos pour le magazine Revolution. C'est une célébration de la perfection - et du phénomène des nombres spéciaux. La séquence de Fibonacci est une bizarrerie de la nature ; elle est maintenant immortalisée dans un modèle de montre spécial extraordinaire lancé par Nomos Glashütte en collaboration avec le magazine international de montres, Nomos. C'est le motif de la nouvelle mise à jour très limitée de Tangente neomatik 41 - Révolution. Les dix premiers chiffres de la séquence sont reflétés dans les marqueurs de minutes de cette nouvelle mise à jour de Tangente bleu nuit : 1 et 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55. Ce qui est intéressant, c'est que chaque nombre est la somme des deux nombres précédents. Nommés en l'honneur du mathématicien qui les a découverts au XIIIe siècle, les nombres de Fibonacci décrivent une sorte de séquence de croissance naturelle : la disposition en spirale des écailles de pommes de pin, les graines qui émergent sous les fleurons de tournesol ou les anneaux de croissance d'une coquille d'escargot. Il n'y a jamais 7, 17 ou 23 écailles, graines, feuilles ou anneaux, mais toujours 5, 8, 13, 21, 34, 55, etc. Même aujourd'hui, personne ne sait exactement pourquoi. Mais il semble y avoir une certaine forme d'harmonie et de proportion parfaite dans cette séquence de nombres ; les entités qui se développent de cette manière semblent être plus robustes, plus résilientes. Tous ces caractéristiques sont également de la nouvelle mise à jour Tangente neomatik 41 - Révolution. Harmonieux et parfaitement proportionné, le cadran de cette montre durable affiche, en plus de la séquence de Fibonacci, l'heure, la minute, la seconde, ainsi que la date. Ce dernier via la belle et brevetée bague de date Nomos. La montre elle-même a une longue histoire : classique depuis plus de 30 ans, Tangente est la montre-bracelet mécanique la plus célèbre "Made in Germany". Depuis 2018, le modèle est disponible en tant que mise à jour de Tangente ; en utilisant le mécanisme de date neomatik, qui permet de régler la date à la fois en avant et en arrière et l'affiche via la date circonférentielle de l'anneau Nomos. La montre automatique Nomos avec le calibre propriétaire DUW 6101 a été triplement brevetée pour son ingénierie sophistiquée et présente un design primé. Non seulement disponible en blanc, la montre est maintenant disponible en tant que tout nouveau modèle spécial pour Revolution, avec un cadran bleu nuit et un bracelet en textile gris foncé. Mise à jour Tangente neomatik 41 - Revolution est limitée à seulement 55 spécimens dans le monde entier : 55 étant le numéro de Fibonacci le plus élevé sur le cadran de cette montre.

ORIS x Bracenet

Dans le cadre de sa mission Change for the Better, la maison Oris est fière d'agir de manière durable dans plusieurs domaines, notamment la production de montres avec certains des acteurs du changement les plus engagés au monde, notamment le Secrétariat Commun de La Mer des Wadden, le Billion Oyster Project et Wings of Hope, qui a été nommé deux fois pour le Prix Nobel de la Paix. Oris a également conclu un partenariat avec l’entreprise suisse Cervo Volante pour produire des bracelets de montre durables en cuir de cerf. Aujourd’hui, la maison a le plaisir de présenter une nouvelle collaboration avec l’entreprise responsable Bracenet. La Oris X Bracenet est une montre dont le cadran est composé de filets de pêche « fantômes » ou en fin de vie. Les statistiques sur le plastique dans les océans sont très alarmantes. Par exemple, les scientifiques estiment que le Vortex de déchets du Pacifique nord (Great pacific garbage patch, GPGP), une étendue de déchets plastiques dérivant entre Hawaï et la Californie, est quatre fois et demie plus grande que l’Allemagne. Ce chiffre a été calculé par l’organisation d’ingénierie environnementale The Ocean Cleanup, qui estime également que 46 % du GPGP est constitué de filets de pêche perdus ou abandonnés. Ce problème est particulièrement grave car, même s’ils ne sont plus utilisés, ces filets de pêche “fantômes” continuent d’attraper et de tuer la faune et la flore marines. Les experts estiment qu’environ un million de tonnes de filets de pêche sont jetés dans les océans chaque année et qu’un filet fantôme continuera à capturer des poissons pendant 400 à 600 ans. Ce n’est que récemment que l’on a commencé à prendre conscience de l’existence des filets fantômes, grâce à la vision et aux efforts de personnes comme Benjamin Wenke et Madeleine von Hohenthal, fondateurs du nouveau partenaire d'Oris, l’entreprise responsable Bracenet, qui fabrique des produits et accessoires à partir de ces résidus dangereux pour la vie marine. Pour fabriquer les cadrans de l'Oris X Bracenet aux motifs kaléidoscope, il faut prendre de petites chutes vertes, bleues et blanches et les chauffer doucement jusqu’à ce qu’elles fondent pour former la matière première. En refroidissant, elles durcissent pour constituer une fine feuille de matériau. Celle-ci est ensuite découpée aux dimensions voulues, rabotée et poncée jusqu’à ce qu’elle ne fasse plus que 0,3 mm d’épaisseur. Le matériau ne contient pas d’additifs ou de colles et il n’existe pas deux cadrans identiques. La montre sera disponible en deux versions en acier inoxydable, l’une avec un boîtier de 43,50 mm et l’autre avec un boîtier de 36,50 mm. Toutes deux sont dotées d’un mouvement mécanique automatique, d’une lunette tournante unidirectionnelle et sont étanches jusqu’à 30 bars (300 mètres). Plus important encore, toutes deux sont des symboles du changement qu'Oris veut voir.

LOUIS PION Léo

Exubérance et géométrie des lignes... Hommage aux années folles, courant emblématique initié en 1920, Léo évoque l’effervescence du mouvement Art Déco qui sublime les lignes géométriques et la pureté des formes. Louis Pion renoue avec ce style iconique via deux collections au design épuré : d’un côté, Léo, montre rectangulaire de caractère aux angles nets ; de l’autre, Carey et son jeu de gravures au cœur d’un boîtier ovale. Ces deux boîtiers inédits viennent ainsi compléter l’offre des montres de forme proposée par Louis Pion. Le design et les lignes distinctives de Léo intègrent une autre spécificité : l’affichage des secondes dans un cadran dédié, positionné à 6 heures. Les bracelets cuir travaillés façon crocodile renforcent le look vintage de ces deux collections. Ces modèles, tous labellisés « Go For Good » en raison de leur chaîne de production plus courte, seront disponibles le 07 septembre dans l’ensemble des boutiques Louis Pion et sur le site www.louispion.fr.

ROGER DUBUIS Excalibur Spider Revuelto Flyback Chronograph

Enfilez votre casque et accrochez-vous bien. Roger Dubuis est de retour au volant d’un chronographe au design vibrant. Toujours installée dans la partie droite des compteurs de vitesse, la Maison slalome avec adresse entre innovation et performance, et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin pour révolutionner l’Hyper Horlogerie. Comme son nom le suggère, cette montre expressive fait référence au partenariat de longue date unissant Roger Dubuis et Lamborghini Squadra Corse, et est inspirée par l’incroyable Lamborghini Revuelto : une création qui a redéfini la vitesse et la toute première supersportive V12 hybride rechargeable HPEV (High Performance Electrified Vehicle). Cette montre est un véritable rêve éveillé pour tous les passionnés de supercars : de sa couleur à ses courbes aérodynamiques, Roger Dubuis a puisé dans l’inépuisable réservoir de son extraordinaire créativité pour la créer. En son cœur, on retrouve une puissante synergie entre son identité traditionnelle et une mécanique sans précédent, de quoi projeter son design sous les feux des projecteurs. Jusqu’à aujourd’hui, deux montres époustouflantes ont signé le retour de cette iconique collection de complication de la Maison.Tout d’abord, une montre au concept révolutionnaire : la Monovortex Split-Seconds Chronograph, dévoilée lors du salon Watches and Wonders Geneva, suivie par l’Excalibur Spider Flyback Chronograph, lancée lors du festival de la vitesse Goodwood. La nouvelle montre est alimentée par le RD780. Avec ses 72 heures de réserve de marche, ce calibre n’est pareil à nul autre mouvement à chronographe. Chaque détail est passé par le filtre de l’insatiable curiosité de Roger Dubuis, pour dévoiler des surprises hautement techniques à chaque tournant. La fonction Flyback, par exemple, confère au calibre savoir-faire remarquable, et permet le redémarrage immédiat du chronométrage, sans interrompre le fonctionnement du chronographe. Encore plus impressionnant, Roger Dubuis a laissé carte blanche à ses horlogers pour déployer leur créativité : ils ont donc entièrement retravaillé le calibre, et intégré la complication du chronographe dans le mouvement. La réalisation de ce concept audacieux, très loin des approches rationalisées et modulaires, exige plusieurs mois de travail minutieux. Chaque minute supplémentaire investie est cependant nécessaire. Le calibre dans son entièreté est créé autour du temps : il le donne et le mesure tout en exprimant sa propre identité esthétique. La célèbre roue à colonnes à 6 heures en est un parfait exemple : un élément complexe qui contrôle le démarrage, l’arrêt et le retour à 0 du chronographe. Il a aussi pour avantage de rendre les poussoirs bien plus agréables à diriger. Elle est parfaitement visible depuis l’avant, et peut être admirée à l’envi dans son jeu avec le chronographe. Pour les amateurs et les collectionneurs, c’est une caractéristique essentielle : la roue à colonnes est un composant légendaire et une marque indéniable de valeur technique. Difficile à façonner. Complexe dans sa forme. Nul doute qu’elle mérite une position prééminente dans ce chronographe.

Abordons à présent le sujet de la précision. Regardez à travers le boîtier pour y voir l’embrayage vertical du calibre, un signe d’excellence en horlogerie. La forme de l’embrayage rappelle le système de vitesse des supercars. Pour ajouter un peu de magie à l’ensemble, le calibre est équipé d’un système de frein SBS innovant. Cette pièce en instance de brevet, directement rattachée à l’une des pinces, est une conception de frein du chronographe par Roger Dubuis. Il apporte une stabilité supplémentaire à l’aiguille des secondes du chronographe, et réduit drastiquement ses vacillements. Les plus fins observateurs remarqueront sans aucun doute son arrêt plus précis. N’oublions cependant pas l’espace près de 3 heures, parfait pour s’amuser un peu. Le révolutionnaire compteur de minutes rotatif (RMC 120°) a été une révélation dans les chronographes Roger Dubuis de cette année. Conçu avec une forme isotoxale radicale, il comprend une aiguille tripartite en instance de brevet qui porte le 0, 1 et 2, tournant avec précision au-delà des chiffres0 à 9 sur la droite. Dès que vous activez le chronographe, le RMC commence sa joyeuse danse. Certaines caractéristiques permettent de propulser un calibre dans une nouvelle dimension d'excellence. Pour le RD780, il s'agit de son balancier incliné à 9 heures. Il a élevé son niveau d’inertie pour atteindre celui d’un tourbillon, garantissant ainsi une forte résistance aux chocs du quotidien. De plus, son inclinaison à 12° compense les effets négatifs de la gravité, un sujet que Roger Dubuis cherche à résoudre depuis longtemps. De plus, l’association de la roue d’échappement en silicium diamantée et des palettes en silicium également diamantées confère des qualités antimagnétiques exceptionnelles. Rien ne saurait remettre en cause les performances de ce calibre, comme en atteste l’incontestable certification Poinçon de Genève. Il s’agit indiscutablement d’une des signatures de la haute horlogerie les plus exigeantes, pour laquelle les 333 éléments doivent être décorés à la main tandis que toutes les fonctionnalités doivent être testées à la fois avant et après l’assemblage du boîtier. Le niveau d’assurance le plus élevé. Celui que seuls les meilleurs atteignent. La vitesse est l’inspiration du design extérieur de cette montre de 45 mm. Avec ses nuances d’orange et vert, elle reflète les couleurs vibrantes qui sont l’apanage des supercars. Sur la partie avant cependant, c’est l’élément qui s’inspire le plus de la Revuelto qui apparaît : la barre signature en forme de « Y » sur le cadran. Ses lignes parfaites reproduisent les phares de la supercar Lamborghini hybride V12. Cet élément se marie à merveille avec le cadran qui l’entoure, lui-même confectionné en carbone léger. Remarquez les lignes tranchantes, les encoches essentielles et la symétrie si précise, typique de la collection Excalibur Spider. Doté de poussoirs squelettés, le boîtier est associé à une lunette en céramique, hyper- résistante aux agressions et peu encline à se ternir. Cette association de carbone et de céramique est un hommage à la construction des supercars, qui intègre souvent ces mêmes matières dans des composants sensibles et cruciaux, tels que les freins. Plongeons-nous encore un peu plus dans le design pour nous attarder sur son ingénierie multi-dimensionnelle. Où que vous regardiez, vous êtes face à une architecture nouvelle, avec des surfaces de différents niveaux, y compris une échelle tachymétrique flottante et un affichage de la date en dessous, le tout organisé avec des angles dynamiques et des tailles différentes. Même vu de l’arrière, le rotor a la forme de cinq bras, comme les jantes d’une supercar. Souligné par les lignes tranchantes signature de Roger Dubuis, c’est une véritable injection de vitesse qui ne peut que ravir les passionnés de course les plus extrêmes. Pour compléter ce style percutant, L’Excalibur Spider Revuelto Flyback Chronograph marque les esprits avec un bracelet en caoutchouc vert aux coutures orange. Doté d’encoches pour un volume supplémentaire, son système de libération rapide s’assure que le porteur peut changer de bracelet en quelques secondes pour plus de polyvalence.

ELKA collection X (khi) X09

Prononcez « khi » ! Le kaki est partout en ce moment, c'est même le nouveau noir, une couleur qui va avec presque tout. La marque Elka, avec sa série X (prononcez « khi » en grec), en a déjà le nom ! Quoi de plus naturel donc que de proposer deux nouvelles versions de montres, soit la Khaki Beige dégradée vers le noir (Elka X09), soit la Khaki Green (Elka X15). La première version de ces 2 modèles est proposée avec un bracelet Nato beige sable. Ils sont également disponibles avec un bracelet en cuir vintage pour un look plus aventureux, ou avec un bracelet en cuir nubuck pour un look plus sport chic. Le terme kaki désigne à l'origine un beige jaunâtre plus ou moins pâle, ce qui est tout à fait logique quand on sait qu'il s'agissait de la couleur typique de l'uniforme militaire porté par les armées indiennes au début du XXe siècle. Le mot vient du persan khâh, qui signifie « poussière » (d'où l'orthographe « kaki » parfois utilisée). Plus tard, le kaki a été étendu aux autres couleurs des uniformes militaires pour désigner un brun clair tirant sur le vert.

CHARLIE PARIS Concordia GMT

Modèle iconique de notre maison depuis l'expédition de l'aventurier Matthieu Tordeur en Antarctique, la Concordia GMT, avec son double fuseaux horaire, s'impose comme une véritable « toolwatch » destinée aux aventuriers modernes voyageant à travers le monde. Dessinée et assemblée en France, équipée du calibre suisse Soprod C125 et étanche à 300m, la Concordia GMT s’affirme comme notre modèle le plus sportif tout en restant signée de l’élégance moderne caractéristique de la Maison. Avec sa silhouette qui dessine un équilibre parfait entre force et raffinement, dynamisme et équilibre, ce garde-temps a été pensé pour accompagner une nouvelle génération d’aventuriers urbains en toute circonstance. Avec ses matériaux de qualité et son cadran parfaitement lisible même dans l’obscurité, cette montre mécanique automatique dotée d’une réserve de marche de 40h saura vous accompagner pendant de nombreuses années. Sur le cadran de la Concordia GMT, on retrouve ce qui fait la signature de la collection Concordia mais celui-ci est agrémenté d'un deuxième fuseau horaire sur 24h. La partie jour (6h-18h) est de couleur clair tandis que la partie nuit (18h- 6h) est en plus foncée. Pour une lisibilité optimale, les index ainsi que le second fuseau horaire sont recouverts de Super- LumiNova. C’est SoProd avec son mouvement C125 qui gagne notre confiance pour équiper cette montre. Un mouvement mécanique suisse reconnu pour sa fiabilité et doté de 40 heures de réserve de marche. Les premières montres GMT ont été développées dans les années 1960 pour l’aviation akn de permettre aux pilotes de lire deux fuseaux horaires d’un seul coup d’œil sur le cadran de leur montre. La montre GMT est depuis devenue un symbole de design pour les passionnés d'horlogerie ainsi que les grands voyageurs. La montre est dotée d'un verre saphir qui est un composant très résistant offrant une excellente lisibilité du cadran. Ce matériau étant le plus robuste après le diamant, il est utilisé dans l’industrie de haute horlogerie notamment pour ses vertus anti-rayure. Avec sa résistance à une plongée dans l’eau à une profondeur de 300m, sa lunette tournante unidirectionnelle, ainsi que l'ajout de Superluminova sur la lunette, les aiguilles et le cadran pour assurer une visibilité dans l’obscurité, la Concordia GMT respecte la norme ISO 6425 des montres de plongée. Les index et les aiguilles de la montre sont dotés de Super-LumiNova pour permettre une lisibilité optimale dans l’obscurité. La lunette GMT graduée 24h permet de distinguer le jour de la nuit. La lunette est divisée en deux moitiés chacune avec une couleur distincte, l’une correspond aux heures diurnes, l’autre aux heures nocturnes.

Coordination éditoriale : Eyquem Pons