LE MARDI, C’EST PERMIS
On ne va pas (déjà) paniquer, mais c’est quand même l’état d’urgence coronavirale pour l’horlogerie suisse
Quoiqu’en disent, ou n’en disent pas, les médias qui commencent à s’en soucier, la situation internationale qui découle du coronavirus chinois est gravissime pour l’industrie horlogère suisse, frappée au cœur par les défaillances logistiques et les impasses commerciales de son modèle économique sino-dépendant. Attachez vos ceintures, le premier trimestre 2020 sera vierge de toute performance et le premier semestre prend le même chemin ! Les ravis de la crèche qui nous promettaient si gentiment un excellent millésime 2020 paieront-ils les pots cassés ?