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MERCATO (suite)
Patrick Pruniaux a-t-il la moindre chance de pouvoir relancer Ulysse Nardin et Girard-Perregaux ?

Devenu actionnaire (très minoritaire), le senior management des deux manufactures peut-il renouer avec la profitabilité et rembourser son endettement bancaire, alors que les marques sont structurellement déficitaires depuis des années ? Surtout sur un marché qui se polarise de plus en plus autour de quelques références iconiques. La réponse est peut-être plus nuancée qu’il n’y paraît…


Voici donc les deux ex-manufactures horlogères du groupe Kering libérées d’une dépendance qui les plombait. Non sans élégance, le groupe Kering leur a rendu leur liberté en effaçant d’un trait comptable toutes les dettes et tous les déficits des deux marques, ainsi « remises à zéro » …
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