CHAISES MUSICALES
Le groupe Richemont rend sa liberté à Nicolas Baretzki, qui pilotait Montblanc depuis dix ans
En fait, c'est un départ qui laisse ses équipes au milieu du gué. C’était un des derniers et rares « fidèles » de Jérôme Lambert, le CEO de Richemont : ce paratonnerre n’a pas suffi à faire oublier la modestie, sinon la médiocrité des performances de Montblanc depuis quelques années. Son éjection volontaire – personne ne l'a retenu – est un choc dans le top management du groupe…