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REPÉRAGES #01-2022 (accès libre)
Sept montres qui annoncent une année 2022 pleine de bonnes surprises

Première séquence de l’année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Voici une présentation des premières montres du premier semestre 2022, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Arnold & Son, Blancpain, Breitling, Edox, IWC, Vacheron Constantin et Yema…


BLANCPAIN Fly-Back Air Command 

La collection Air Command s'inspire d'un chronographe Blancpain des années 1950 très recherché, car produit en quantité infime. Dans la lignée de son aïeul, le nouveau modèle Air Command se démarque par un style sophistiqué et offre deux modes de chronométrage distincts : un chronographe avec fonction flyback et une lunette de compte à rebours. Né au milieu des années 1950, le chronographe Air Command est probablement la montre Blancpain la plus rare de son époque. Les seules traces de son passé qui existent sont les quelques informations recueillies sporadiquement lors de ventes aux enchères – où les pièces Air Command ont atteint des prix stratosphériques – et les souvenirs épars des descendants de la grande « famille » Blancpain des années 1950. La nouvelle Air Command, qui rejoint la collection éponyme, respecte pleinement l'esprit de la montre de pilote vintage. Elle présente un chronographe flyback et une lunette tournante de type compte à rebours. La fonction flyback ou « retour en vol » est une composante précieuse pour les pilotes. Elle permet, en une seule pression, de remettre à zéro le chronométrage en cours et de lancer un nouveau comptage tandis que le chronographe est en marche. Avec un chronographe classique, chaque nouvelle mesure nécessite trois pressions – sur deux poussoirs différents – pour arrêter, remettre à zéro puis redémarrer le mécanisme. La lunette compte à rebours, quant à elle, a pour utilité d'indiquer le temps restant jusqu'à l'atteinte de sa destination. Ses chiffres ou index sont disposés dans le sens antihoraire, contrairement à ceux de la lunette d'une montre de plongée. L'Air Command de Blancpain possède également une échelle tachymétrique indiquant les vitesses-sol, ainsi qu'un compteur de 30 minutes avec trois repères allongés marquant les tranches de 3 minutes et un compteur de 12 heures.

Blancpain a choisi de mettre en valeur ces indications à travers un bleu profond qui dynamise le caractère de la montre, lui conférant une juste dose de modernité. Le cadran est sublimé par un fin soleillage, tandis que les compteurs du chronographe sont azurés. Ce contraste renforce la lisibilité de la pièce, qui est idéale de jour comme de nuit grâce à l'utilisation d'index et d'aiguilles en Super-LumiNova®. Ce matériau luminescent se retrouve sur la lunette de la montre, qui intègre un insert en céramique inrayable assorti à la couleur du cadran. Afin de décupler l'émotion que procure un garde-temps de cette trempe, Blancpain a équipé les deux faces de son modèle Air Command d'un verre saphir « glass box », un élément esthétique fort des modèles des années 1950. Le dos de la montre dévoile le mouvement de Manufacture F388B (une variante du F385), qui se caractérise par un balancier libre avec spiral en silicium oscillant à une fréquence de 5 Hz. La conception reflète la philosophie de Blancpain, axée à la fois sur la précision et la robustesse. Le balancier-spiral libre régulé par des vis d’inertie a été conçu pour faciliter les réglages fins et augmenter la résistance aux chocs. Comparativement aux spiraux métalliques existants, le spiral en silicium est insensible aux champs magnétiques et garantit une précision accrue sur toute la durée de la réserve de marche. La fréquence de 5 Hz, pour sa part, contribue à l'amélioration de la précision, mais elle permet aussi d'obtenir une division nette des secondes en intervalles de 1/10e Le mouvement F388B possède un système de roue à colonnes avec un embrayage vertical Blancpain très évolué qui assure un démarrage et un arrêt parfaits, sans les à-coups qui se produisent occasionnellement avec les constructions horizontales. Automatique, il est surmonté d'une masse oscillante en or ajourée affichant une terminaison colimaçonnée identique à celle des ponts du calibre. Cette cohérence esthétique est accentuée par la couleur du rotor, qui est assortie à celle du boîtier de la montre. Proposé en or rouge ou en titane de grade 23 – une qualité de titane haut de gamme très rarement utilisée en horlogerie –, le boîtier de 42,5 mm de diamètre est étanche à 3 bar (environ 30 mètres). Alternant surfaces satinées et polies, à l'instar des arrêtes extérieures des cornes et des surfaces de contact des poussoirs, il révèle un raffinement qui confirme le caractère prestigieux de la nouvelle Air Command. Le modèle s'accompagne d'un bracelet en cuir de veau bleu avec surpiqûres blanches qui parachève le look sportif de cette montre d'aviateur.

BREITLING Super Avi Curtiss Warhawk

Super AVI, la nouvelle collection de garde-temps imaginée par Breitling, célèbre l’histoire de l’aviation en s’inspirant de la montre d’aviateurs originale, la « Co-Pilot » Ref. 765 AVI de 1953, mais également de quatre avions de légende : le P-51 Mustang de North American Aviation, le Vought F4U Corsair, le Curtiss P-40 Warhawk et le Mosquito de Havilland. « Cette collection symbolise ce sentiment de nostalgie qui renvoie aux débuts de l’aviation, lorsque la montre était l’outil indispensable du pilote à bord de l’appareil », déclare Georges Kern, PDG de Breitling. « Toutefois, ce savoir-faire artisanal d’exception et la robustesse du design ne sont pas réservés aux pilotes et aux amateurs d’avions vintage. » Dans les années 1930, le département Huit Aviation de Breitling s’est fait connaître en inventant des horloges de précision destinées à une utilisation dans les cockpits pour l’industrie naissante de l’aéronautique. Vingt ans plus tard, en 1953, Breitling présente au monde entier un nouvel instrument dédié à l’aéronautique, mais cette fois-ci dans une version à porter au poignet. Première en son genre, la montre de pilote Ref. 765 AVI connaît alors un succès immédiat et s’est établi comme une véritable source d’inspiration pour de nombreuses autres créations. Très apprécié par les aviateurs, ce modèle a rapidement été renommé « Co-Pilot ». En 2020, Breitling lance également le modèle AVI Ref. 765 1953 Re-Edition, une réédition précise et minutieuse imaginée pour rendre hommage à cette icône des chronographes classiques. Ce chronographe avant-gardiste a servi d’inspiration pour Super AVI, la première série de la collection Classic AVI de Breitling. Près de cent ans après ses premiers garde-temps dédiés au secteur de l’aviation, ce lancement célèbre le lien fort entre la marque et l’âge d’or de cette industrie. Des premiers décollages à la naissance du transport commercial aérien, l’histoire de Breitling est intimement liée à celle de l’aviation.

Avec son cadran vert militaire, ses compteurs de chronographe blancs contrastants et ses détails rouges, la Super AVI Curtiss Warhawk s’approprie le design en forme de mâchoire de requin qui ornait la tête de son homonyme pour lui conférer une identité unique. Le design caractéristique de la Super AVI se distingue par ses grands chiffres arabes hautement lisibles sur la lunette et le cadran. Son boîtier robuste mesure 46 mm et la couronne surdimensionnée est placée à 3 heures. Les lunettes moletées assurent une prise en main optimale et les bracelets en cuir de veau surpiqués rappellent les coutures présentes sur les équipements de vol en cuir de l’époque. Les pilotes et autres voyageurs apprécieront la possibilité de lire un second fuseau horaire grâce à l’aiguille GMT à pointe rouge, ainsi qu’à la graduation de 24 heures figurant sur le réhaut. La Super AVI est alimentée par un mouvement Calibre manufacture Breitling B04 certifié COSC, qui garantit une réserve de marche d’environ 70 heures. Si la Super AVI nous renvoie à l’époque des garde-temps exclusivement analogiques, où les pilotes les utilisaient comme instrument de confiance pendant leurs vols, la robustesse du design et sa précision à toute épreuve garantissent la pertinence de cette série dans l’ère actuelle. « Notre ADN d’horloger a exercé une influence prédominante sur cette collection, tandis que les interprétations de ces quatre avions lui apportent une dimension émotionnelle et un attrait graphique audacieux. En fusionnant, ces éléments nous replongent dans l’esprit des premiers vols», indique Sylvain Berneron, Directeur artistique de Breitling. « N’oublions pas que Breitling a endossé le rôle de pionnier en matière de montres outils pour cette industrie, avec des modèles tels que la Ref. 765 AVI. Il était donc impératif d’assurer la conservation de ce remarquable héritage, tout en l’adaptant au XXIe siècle. »

ARNOLD & SON Luna Magna Ultimate I Éclat astral

Un cadran en cristaux de ruthénium et un compteur des heures en opale blanche. Une lunette en diamants baguette. Une lune tridimensionnelle pavée de saphirs bleus et de diamants. Le premier chapitre de la série Luna Magna Ultimate voit le jour sous le signe de la lumière, de la précision astronomique et de l’exceptionnel. Après avoir présenté la Luna Magna, Arnold & Son entame une série d’interprétations de haute joaillerie de son modèle à lune tridimensionnelle. Au tour de force technique qui consiste à loger un astre mécanique de 12 mm dans une montre, s’ajoute désormais un travail de sertissage superlatif, tant par les pierres employées que les techniques utilisées. Pavage, serti invisible, Arnold & Son déploie des savoir-faire d’exception pour livrer huit exemplaires de Luna Magna Ultimate I, poétiques, rares, et d’un niveau de détail hors normes. La série limitée Luna Magna Ultimate I porte le choix des matériaux au plus haut degré du précieux. Le boîtier de 44 mm de diamètre est en or gris, serti de 7,62 carats de diamants d’une qualité exceptionnelle dont 20 diamants baguette pour les cornes du boîtier, taillés un à un, en fonction de la forme particulière de ces attaches. En orbite autour du boîtier de Luna Magna Ultimate I, un anneau fin comme celui de Saturne tient lieu de lunette. Il est constitué de 112 diamants de taille baguette totalisant 5,90 carats. La lumière y pénètre pleinement, comme dans un prisme ouvert, grâce au serti invisible deux rangs permettant d’obtenir un éclat incomparable.

La matière même du cadran est tout aussi exceptionnelle, par sa rareté. Derrière son apparence pailletée bleue se tiennent des centaines de cristaux de ruthénium pur. Ce métal extrêmement dur fait partie de la mine du platine, c’est à dire qu’ils sont mélangés dans un même minerai. Leur séparation est un processus complexe qui rend le ruthénium dix fois plus rare. Il a été ici recomposé en cristaux ensuite déposés sur une plaque de cadran puis bleuis. A l’intérieur de ce cercle d’éclats bleus se trouve un cadran au sens classique du terme, gradué de douze chiffres romains, de la signature Arnold & Son et qui accueille les aiguilles. Ce sous-cadran excentré doit sa couleur délicate à l’opale blanche. Une finesse qui sied à une pièce de haute joaillerie telle que la Luna Magna Ultimate I. Sous les heures, la lune tridimensionnelle, particularité des Luna Magna. Un sertissage des plus fins recouvre tout le globe d’or gris. Il se répartit en 161 diamants taille brillant pour le jour et autant de saphirs bleus pour la nuit. La démarcation entre les deux est une ondulation entre blanc et bleu épousant la ligne des pierres. La Luna Magna Ultimate I s’appuie sur le calibre A&S1021, entièrement développé, usiné, assemblé et réglé au sein de la manufacture Arnold & Son. Ce calibre pensé autour du globe lunaire présente un remontage manuel, une réserve de marche de 90 heures et un organe réglant cadencé à 3 Hz. Côté fond, le mouvement offre un affichage secondaire de l’âge de la lune, dont les graduations très lisibles sont destinées au réglage de grande précision du globe lunaire. La sophistication de cette mécanique céleste repose également sur sa fidélité à la réalité astronomique. En effet, la durée d’un cycle lunaire complet est de 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 2,8 secondes. Arnold & Son réussit à l’approximer de telle manière qu’il faudra attendre 122 ans avant que ce mouvement n’accumule un jour d’écart entre son affichage et la réalité céleste. Une erreur facile à corriger puisque la fonction lunaire de la Luna Magna Ultimate I est accessible directement depuis la couronne. Une praticité autorisée par la maîtrise totale du processus horloger par Arnold & Son.

VACHERON CONSTANTIN Les Cabinotiers « Bacchus »

Astronomie et mythologie sont réunies au sein de la montre Vacheron Constantin Les Cabinotiers Grande Complication – Bacchus. Cette union des sciences et des arts trouve un champ d’expression original avec cette pièce métiers d’art à très grande complication. Les références mythologiques renvoient à Bacchus, dieu de la vigne et du vin, symbolisé par l’ornementation du boîtier au motif viticole. Les maîtres graveur et sertisseur de la maison ont travaillé de concert pour la réalisation, sur la carrure de la montre, d’un feuillage de vigne sculpté en bas-relief, agrémenté de grappes raisin serties de rubis. Chef d’œuvre des arts appliqués, cette pièce est doublement remarquable en raison de son mouvement, le calibre 2755 GC16 offrant 16 complications, l’un des plus complexes réalisés par la Manufacture. Montre à tourbillon et à sonnerie, avec un mécanisme de répétition minutes, Les Cabinotiers Grande Complication – Bacchus réunit sur son affichage double face l’essentiel des fonctions calendaires et astronomiques, en hommage à Johannes Kepler l’un des fondateurs de l’astronomie moderne. Au calendrier perpétuel avec indication de l’équation du temps et des heures de lever et de coucher du soleil sur le recto répondent l’affichage du temps sidéral avec carte rotative céleste des constellations, âge de la lune et indications du quantième, des saisons et des signes du zodiaque sur le verso. Avec ce garde-temps, Vacheron Constantin perpétue la grande tradition horlogère des montres de poche aussi complexes mécaniquement que richement ornées.

EDOX Hydro-Sub Chronometer

Quoiqu’établie au cœur des Franches-Montagnes de la Suisse romande (Les Genevez), la maison Edox préfère ne pas communiquer en français pour s’adresser à une communauté d’amateurs francophones qui compte cent cinquante millions de locuteurs à moins de trois heures d’avion de la Suisse. Nous respectons ce choix en ne présentant pas en français la nouvelle Hydro-Sub Chronometer (ci-dessous) à nos lecteurs francophones…

YEMA Meangraf R70

Au début des années 1970, Yema présente une collection de chronographes spécifiques pour la course automobile au design de lunette intégrée unique, sous le nom de Meangraf. Ces chronographes permettent notamment de mesurer sa vitesse moyenne. Propulsée par un mouvement hybride Seiko VK64 Mécanique-Quartz, cette réédition devrait plaire aux passionnés de sports automobile et à tous les gentlemen drivers du monde entier. Le Seiko VK64 est un calibre mechanical-quartz hybride. Les fonctions de mesure du temps sont actionnées par un mouvement quartz alors que la fonction de chronométrage est contrôlée par un module mécanique qui permet à la trotteuse d’avoir un mouvement continu pour une meilleure sensation de netteté. Aspect racing renforcé pour ce chronographe bi-compax avec sa lunette en kilomètres et ses aiguilles rouge et blanche en contraste avec le cadran noir. Mesurez facilement votre vitesse moyenne à l'aide de la fonction chronographe tout en combinant la lecture de la lunette externe en kilomètres et la lunette interne indiquant le temps écoulé. Le chemin de fer des minutes est disposé de manière à rappeler les drapeaux à damier utilisés dans le monde de la course automobile. La Meangraf Super est proposée avec un verre minéral bombé au look vintage des années 70's. Le boitier a été spécifiquement conçu afin d'intégrer parfaitement la lunette de vitesse et donne la sensation que ces deux parties ne forment qu'une seule et même pièce au design unique. Développés pour résister à un usage intensif les fonds de boîte se distinguent également par le blason historique de Yema, frappé à la presse hydraulique avec un effet poli/brossé en relief. Le bracelet mesh en acier de la Meangraf Super a été réalisé en maille milanaise pour plus de souplesse et de finesse. Le fermoir est gravé du logo historique de Yema et s'ajuste rapidement et très facilement. Les aiguilles et les index sont revêtus d'une couche de Super-LumiNova BGW9. La Meangraf offre donc une parfaite lisibilité dans l'obscurité.

IWC Grande Montre d’Aviateur 43 mm bronze

IWC Schaffhausen dévoile la Grande Montre d’Aviateur 43 Spitfire inspirée du design fonctionnel des anciennes montres militaires. Une édition arbore un boîtier en titane et un cadran noir tandis que l’autre se distingue par un boîtier en bronze et un cadran vert kaki. Les deux modèles sont munis d’un fond en titane, gravé de l’iconique silhouette du Spitfire et d’un boîtier interne en fer doux assurant une protection contre les champs magnétiques. Au fil des années, IWC Schaffhausen a fabriqué de nombreuses montres destinées aux différents corps des forces armées britanniques. La plus célèbre est incontestablement la Mark 11, une montre de navigation conçue en 1948 pour la Royal Air Force. IWC a également fourni des modèles à la British Army (soit l’Armée de terre) et à la Royal Navy. Ces pièces se distinguaient alors par des mouvements de haute précision, une robustesse extrême, des designs fonctionnels aux cadrans lisibles ainsi que des caractéristiques techniques spéciales telles que des boîtiers internes en fer doux qui protégeaient des champs magnétiques. Les Montres d’Aviateur Spitfire reflètent ce riche chapitre de l’histoire de la marque. Dotées d’un design militaire distinctif, elles doivent leur nom à un avion de chasse britannique légendaire qui incarne l’un des développements majeurs de l’aviation. Après avoir révélé la Grande Montre d’Aviateur 43 en
avril dernier, la collection s’enrichit à présent de deux nouveaux modèles Spitfire : l’un avec un boîtier en titane gris mat et un cadran noir, l’autre avec un boîtier en bronze et un cadran vert kaki qui lui confèrent un style plus chaleureux. Les deux pièces arborent le design emblématique des Grandes Montres d’Aviateur avec l’imposante couronne conique associée à un boîtier ergonomique de 43 millimètres. Ces nouvelles éditions Spitfire se distinguent néanmoins par leur esthétique militaire, soulignée par le fond fermé du boîtier, qui s’inspire des montres historiques qui étaient utilisées à bord des mythiques Spitfire », explique Christian Knoop, Directeur de la Création d’IWC Schaffhausen. La Grande Montre d’Aviateur 43 Spitfire (réf. IW329702) arbore un boîtier et une couronne en bronze ainsi qu’un fond en titane. À l’instar du cuivre, le bronze utilisé par IWC contient également de l’aluminium et du fer. Cette composition particulière rend l’alliage environ 50 pour cent plus résistant que le bronze traditionnel. Ce matériau se distingue également par une biocompatibilité exceptionnelle et une patine incomparable qui se développe au fil des années et confère à chaque pièce un caractère distinctif et un look unique. La nuance chaleureuse du bronze s’accorde parfaitement avec le cadran vert kaki et les aiguilles dorées. Les aiguilles comme les index horaires sont revêtus de matière luminescente afin d’en faciliter la lecture de nuit. Le modèle est monté sur un bracelet en cuir de buffle vert au toucher unique.


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