> 

REPÉRAGES #59-2022 (accès libre)
Sept montres qui démarrent à zéro et qui planent au-dessus des nuages avant de jeter l’ancre

Cinquante-neuvième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Alpina, Angelus, Franck Muller, Grand Seiko, Herbelin, Raketa et Vacheron Constantin…


FRANCK MULLER Vanguard Yachting Ancre Grande date

Complétant la collection Yachting à succès, la Vanguard Yachting Ancre présente d'attrayants détails marins dans un corps entièrement squelette. Elle est présentée cette année avec une grande date squelette, qui trouve naturellement sa place sur un grand guichet à 6 heures. Le monde marin a inspiré chaque détail délicat de ce garde-temps, du bleu profond à la rose des vents ornant le cadran. Son mouvement mécanique manuel, entièrement fabriqué par Franck Muller, dispose d'une réserve de marche de 7 jours grâce à un double barillet. La réserve de marche est affichée à 12 heures sur un indicateur.Les détails minutieusement réalisés, entièrement anglés à la main et revêtus d'un traitement PVD bleu, s'inspirent des ancres pour offrir un design unique qui plonge ses porteurs dans les profondeurs du monde marin. La Vanguard Yachting Ancre crée l'alchimie parfaite entre le mouvement mécanique traditionnel et la performance horlogère. Le design équilibré met en avant la passion pour l'artisanat et l'art des horlogers de Franck Muller, poursuivant sans cesse l'exploit exceptionnel.

VACHERON CONSTANTIN Métiers d’art – Buste d’Auguste

Coiffé de la couronne de chêne, Auguste apparaît sur ce buste en marbre plus âgé que dans les autres effigies couronnées que l’on rattache souvent à la date où il fut honoré par le sénat de la couronne civique en 27 av. J.-C. Il s’agit du portrait d’un homme dans la cinquantaine, alors qu’en cette année qui marque le début de l’Empire romain, Auguste avait 36 ans. Comme souvent avec ce type de représentations, les cheveux du princeps tombent en mèches lourdes sur le front. On y voit un souverain émacié, comme il l’était à l’aube de sa vieillesse. Ses traits n’en font pas moins l’objet d’une idéalisation transmise par les monnaies diffusées dans tout l’Empire par les ateliers de Rome. Le buste cuirassé montre que l’empereur est représenté en chef de guerre, afin de souligner que son autorité n’avait d’autre origine que la volonté, certes fictive, des citoyens. L’applique en or sculpté qui reproduit ce buste d’Auguste offre un saisissant spectacle où le drapé de la cape accompagnant la cuirasse, attachée par une fibule, fait échos aux boucles de cheveux tenues par la couronne de chêne. Le centre du cadran est émaillé bleu-vert, tandis que sa périphérie est ornée d’une micro-mosaïque de pierre. C’est la fameuse mosaïque romaine du 4e siècle découverte à Lod en Israël qui a servi d’inspiration pour les motifs d’ornementation que l’on retrouve sur ce pourtour du cadran. Avec cette difficulté pour le maître artisan que toute erreur dans le positionnement et l’encollage des minuscules fragments de pierres dures aurait nécessité de refaire l’émaillage grand feu de cadran servant de support. Il était donc question d’agir avec la plus grande minutie dans l’ajustement de pierres pour respecter les contours des motifs et leurs couleurs. Pas moins de sept différents types de pierres, au nombre de 660 au total, ont été utilisés pour composer cette micro-mosaïque : quartzite, cacholong, dumortiérite, mokaïte, jaspe rouge, grossulaire, aventurine rouge. Pour la frise extérieure en or blanc, gravée en taille douce et patinée au four, une autre mosaïque a servi d’inspiration, celle présentant des animaux musiciens également du 4e siècle découverte à Sousse, ville portuaire de l’est de la Tunisie. Les écritures latines que l’on retrouve gravées sur la glace saphir porteuse du buste d’Auguste en applique sont, elles, tirées d’une dédicace adressée au Genius de la cité de Rusicada (Skikda en Algérie), c’est-à-dire à son entité divine protectrice. Elle commémore son installation par un notable local qui ouvre son invocation par une formule d’hommage à l’empereur. Celui-là même qui donne à cette montre Métiers d’Art Hommage aux grandes civilisations – Buste d’Auguste cet air d’immortalité. 

GRAND SEIKO 44GS « Mer de nuages de Shinshu »

La 44GS de 1967 fut la première montre à incarner les codes du design définissant le style Grand Seiko, dont le design reprend les neuf principes qui donnent à Grand Seiko son style distinctif et qui continue d’inspirer chacune des nouvelles créations. Pour son 55eanniversaire, Grand Seiko célèbre le design de la 44GS avec une montre à quartz qui incarne l’esprit original de ce modèle phare et offre une précision de +5 à -5 secondes par an. Le cadran est aussi remarquable que le calibre qu’il abrite en offrant cette précision exceptionnelle. Le cadran arbore une texture évoquant le phénomène naturel unique qu’est la mer de nuages qui se forme certains matins autour des montagnes de la région de Shinshu, là où toutes les montres à quartz de Grand Seiko sont fabriquées. L’air y est parfois si calme et humide que des nuages denses se regroupent et s’entremêlent, formant une mer de nuages au- dessus des plaines de Shinshu. Ils s’étendent alors à perte de vue, et se teintent du bleu du ciel. La montre est dotée d’une version améliorée du calibre 9F85 qui offre une précision de +5 à -5 secondes par an. Cette extrême précision est obtenue grâce à des cristaux de quartz vieillis et sélectionnés un à un pour leurs performances et caractéristiques spécifiques. Chaque aspect fonctionnel de la montre souligne cette volonté d’atteindre une précision exceptionnelle. Elle bénéficie d’une fonction d’ajustement du décalage horaire, qui permet de régler l’aiguille des heures sans arrêter l’aiguille des secondes, conservant ainsi son extrême précision quand son propriétaire souhaite changer de fuseau horaire. Un mécanisme de régulation automatique des à-coups empêche l’aiguille des secondes de tressauter. La date change en un clin d'œil et le système de contrôle à double impulsion permet aux aiguilles des minutes et des secondes de s’étendre jusqu’aux bords du cadran afin de faciliter la lecture de l’heure. Cette nouvelle création bénéficie du légendaire « éclat de qualité » obtenu grâce à l’utilisation de bords affutés et de surfaces planes, caractéristiques du style Grand Seiko. Le boîtier associe des surfaces aux finitions brossées et Zaratsu, l’une des caractéristiques principales du design chez Grand Seiko. 

RAKETA Big Zero

Raketa relance enfin le plus emblématique de ses modèles - la Big Zero. La Big Zero est un des rares designs horlogers de l'ère soviétique à avoir traversé les frontières et le temps. Elle partage avec l’architecture brutaliste le goût pour une esthétique dépouillée et fonctionnelle : un cadran noir et blanc avec de larges chiffres couronnés par un grand zéro. Un design simple et évident, mais pourtant radical ! Selon les standards habituels, ce design n’est pas classique. Cependant, c'est devenu un classique de Raketa grâce à sa qualité unique et intemporelle ! Pour cette nouvelle version, nous avons tenu à respecter l'esprit originel. La typographie et les triangles originaux, si spécifiques, ont été entièrement recréés. La sobriété du noir et blanc est contrebalancée par une tampographie épaisse qui apporte une touche de tridimensionnalité et d'élégance. La nouvelle boîte a été conçue dans le but de mettre le cadran en valeur. Avec ce design très compact, on retrouve la rondeur de sa devancière. Mais l'architecture du boîtier, qui s'articule désormais autour d'une “forme coussin”, offre des surfaces amples où les brossés contrastent avec les polis. Un rubis brille derrière le logotype de la manufacture Raketa qui est découpé sur la couronne, rappelant les origines lapidaires de la manufacture fondée il y a 300 ans. La lunette arrière, avec un gravage profond, révèle un mouvement automatique Raketa magnifiquement décoré. Si le noir & blanc définit l’identité de la Big Zero sur la face de la montre, le rouge traditionnel de Raketa domine l’arrière de la montre avec la masse oscillante et la doublure du cuir. 

Quand nous avons demandé aux anciens spécialistes de Raketa ce qui avait inspiré les designers soviétiques pour créer la Big Zero, ils ont tout simplement répondu qu’il était beaucoup plus logique de commencer à compter à partir de 0. En effet, le temps, ainsi que tout le reste, commence toujours à 0. La montre Big Zero continue donc de se retrouver à l'avant-garde de la lecture du temps grâce à ce concept radicalement innovant : le temps commence à 0 et non pas à 12 ! Ceci remet directement en cause la convention mondialement établie selon laquelle il faut un 12 sur le cadran de chaque montre. Les collectionneurs de montres ont dû être séduits par ce concept simple, car cette montre a rapidement gagné en popularité et a même été affectueusement surnommée «Big Zero». Ce design remonte à la fin de l'ère soviétique. Il a d'abord été popularisé par Gorbatchev, le secrétaire général du Parti communiste de l'URSS, qui a ouvert son pays à des réformes sociales et économiques radicales connues sous les noms de Glasnost et de Perestroika. Lors d'un sommet politique international en Italie, on lui a demandé d'expliquer ce que signifiait «Perestroïka». Il a simplement montré sa montre Raketa Big Zero et a déclaré : "C'est comme sur ma montre : le peuple russe veut tout recommencer à zéro". Cette phrase a immédiatement fait les titres des journaux italiens. Ainsi a commencé la légende de la Big Zero ! Le prix est de 958 Euros (hors TVA). Pour le confort de nos clients, les montres sont livrées gratuitement jusqu’à leur porte par DHL. 

HERBELIN Newport Heritage Chronographe

Depuis son lancement en 2020 par Michel Herbelin, la Newport Héritage ne cesse de conquérir les amateurs d’horlogerie. D’un modèle édité en série limitée est ainsi née une collection dont chaque montre met en lumière le patrimoine horloger de la maison, transmis de père en fils depuis trois générations. Charismatique des années 70 par son design, identitaire par son ADN marin, elle accueille aujourd’hui un nouveau garde-temps : la Newport Héritage Chronographe. Précise au 1/10e de seconde tout en offrant une étanchéité jusqu’à 100 mètres, cette sportive de pointe made in France fait rimer performance avec élégance. Fidèle à la lignée Newport Héritage, ce chronographe reprend les codes horlogers caractéristiques des années seventies. Le boîtier en acier inoxydable 316L (42 mm) présente une forme coussin, très en vogue à cette époque. Alternant surfaces brossées et poli-miroir, il arbore un cadran au fond bleu Newport soleillé protégé par un verre saphir galbé double face. Clairement graduée sur le rehaut brossé circulaire argenté, une minuterie rythme des index facettés imposants, harmonisés aux aiguilles des heures et des minutes par leur couleur acier recouverte de matière luminescente blanche. Accentuant le style 70’s du modèle, les trois compteurs se détachent de l’ensemble par leur fond argenté azuré. Placés à 6, 9 et 12h, ils sont dédiés respectivement à l’affichage de la petite seconde intégrée d’une date, des 30 minutes et des 10 heures Actionnée par des poussoirs dits « champignon » polis, la fonction chronographe se déclenche, clairement identifiée par le rouge vif des aiguilles à l’identique de la couleur de la trotteuse centrale.Assurément néo-vintage, ce chronographe reste néanmoins identifiable à l’emblématique Newport, inspirée de l’univers nautique. La lunette façon hublot avec ses vis à tête creuse hexagonale rappelle directement la filiation, au même titre que les attaches centrales pour le bracelet ou encore la présence d'une roue de gouvernail en relief sur la couronne. Etanche jusqu’à 100 mètres, la Newport Héritage chronographe est montée sur un bracelet, bombé au centre, réalisé dans un textile technique hautement résistant, inspiré de celui utilisé pour le cordage marin. Assorti au cadran par sa couleur bleue surpiquée d’une double couture blanche avec des points de bride rouges, il achève de parfaire l’esprit sport chic du modèle tout en affichant subtilement ses origines françaises. Dessinée, conçue, assemblée, réglée et contrôlée dans les ateliers Michel Herbelin, situés dans le massif du Jura en Franche-Comté, cette pièce horlogère est animée par un mouvement chronographe à quartz de facture suisse (Ronda), garantissant une précision au 1/10e de seconde, durant 54 mois. Mise à flot pour entrer dans la course du temps, la Newport Héritage chronographe se singularise par sa forte personnalité tout en mettant en exergue 75 ans d’un savoir-faire horloger traditionnel français.

ANGELUS Gold & Carbon Flying Tourbillon Ponts d’or

Technique, Gold & Carbon Flying Tourbillon est aussi précieux par ses matières et ses finitions. Montre de sport à tourbillon volant, cette série limitée de 18 exemplaires est habillée de composite de carbone et d’or rouge dans une nouvelle boite acérée de 42,5 mm. Le calibre A-250 lui offre un visage tridimensionnel et squeletté grâce à son archipel de ponts en relief. Leur agencement graphique est à la hauteur de la prestation horlogère de ce tourbillon Angelus : hors normes. Gold & Carbon Flying Tourbillon inaugure une nouvelle génération de boites Angelus. Affûtées, ses lignes dynamiques s’accordent avec la vocation ultra-technique de cette pièce hypergraphique. La couronne en or rouge, présentant un large crantage, est garnie d’un insert en caoutchouc pour une meilleure préhension. Elle est protégée par un épaulement asymétrique dans le prolongement des cornes. La lunette crénelée présente des encoches légères et anguleuses, une signature Angelus. Le calibre squelette à tourbillon volant A-250 est inséré dans un conteneur en composite de carbone, ultra-rigide et ultraléger. Il est pris dans la carrure de boite, autre type de squelette taillé dans l’or rouge 5N 18 carats, et sert de véhicule ajouré à un mouvement qui l’est aussi. Parachevant l’ensemble, Gold & Carbon Flying Tourbillon est proposé sur un bracelet en caoutchouc de type balistique noir, doté d’un système interchangeable et d’une boucle déployante en or rouge et titane. Les ponts de Gold & Carbon Flying Tourbillon constituent son visage. En l’absence de cadran, ils endossent le rôle expressif dévolu à tout mouvement squelette. Mais comme la platine du calibre A-250 est faite de composite de carbone tressé, elle est noire. En or rouge 18 carats, les ponts sont ainsi mis en avant par contraste. Ils le sont aussi par volume, situés par-dessus le carbone, en relief, placés à des positions névralgiques. Les ponts sont évidés, comme pour les bras de roues. Ce squelettage vise à diminuer le poids ressenti mais aussi une lourdeur esthétique. Ainsi allégées, ces petites sculptures sont anglées à la main sur tout leur contour. Puis leur surface plane, de moins d’un demi-millimètre de large, est matifiée par un soigneux satinage horizontal. Pour parachever ces ponts, Angelus les a fixés dans la platine par le biais de vis Angelus, à la tête propriétaire. 

Si Gold & Carbon Flying Tourbillon n’a pas de cadran, il présente un réhaut. La partie qui fait la transition entre lunette et intérieur de la montre est traitée PVD noir mat. Puis elle est graduée de 5 en 5 par des index tridimensionnels en or gris, remplis de substance luminescente. Posé à fleur de lunette, ce réhaut crée un effet de puits qui renforce l’impression de profondeur sur le calibre A-250. Le tourbillon de cette Angelus est le principal acteur de cette mise en relief. Situé à 6 heures, il est posé à côté d’un pont qui ne le maintient pas, car il est dédié à la première roue du train de rouage. Le tourbillon est simplement retenu par le bas, ce qui définit un tourbillon volant. Il est ancré directement dans la platine en carbone, percée à cet endroit pour créer un effet de transparence. Ce qui met en valeur la lévitation et la rotation du tourbillon. D’autre part, le balancier qui oscille à l’intérieur est lui aussi d’un type allégé : ce n’est pas un anneau comme la majorité des balanciers, mais un volant d’inertie coupé, non circulaire. Plus efficace pour la pénétration dans l’air, plus léger, il augmente encore les performances chronométriques naturellement permises par un tourbillon Angelus. Le tout prend place sous une vaste glass box de verre saphir. Presque verticale là où elle touche la lunette, cette pièce transparente s’infléchit pour offrir la grande surface plane où se déroule le spectacle du Gold & Carbon Flying Tourbillon : aérien, technique, graphique, très Angelus. 

ALPINA Seastrong Diver 300 Automatic Calenda

En soutien à la Journée mondiale des océans, Alpina présente la Seastrong Diver 300 Automatic Calanda, sa première montre dotée d’un boîtier réalisé en acier 100% recyclé, et l’une des premières au monde à utiliser ce procédé. Proposée sur un bracelet composé de plastique recyclé, la nouvelle plongeuse d’Alpina, limitée à 300 pièces, s’inscrit dans une démarche éco-responsable et s’engage dans la protection de notre environnement et de ses océans. Produit par Thyssen Krupp, cet acier recyclé PuReSteel est de la meilleure qualité qui existe actuellement, et provient notamment du transport maritime. Pour l’occasion, cette nouvelle Seastrong Diver 300 Automatic se place sous le patronage symbolique du Calanda, premier navire ayant jamais battu pavillon suisse. Depuis 2020, Alpina est engagée de manière très concrète pour la préservation de l’environnement, la réduction des déchets, la protection des littoraux et en faveur d’une plus grande éco-responsabilité horlogère. Dernier exemple en date : la ligne Seastrong Diver Gyre Automatic. Son boîtier est composé à 70% de débris plastiques de filets de pêche, et son bracelet réalisé à partir de bouteilles de plastique recyclées. Son coffret également, est fait de plastique recyclé (rPET). Cette année, en soutien à la Journée mondiale des océans, Alpina va plus loin et dévoile sa première montre équipée d’un boîtier en acier recyclé. Matériau le plus recyclé au monde, l'acier représente un pilier essentiel d'une société durable. Entièrement recyclable, sans altération de ses propriétés, il peut être produit proprement, mais aussi recyclé sans perte : une tonne d’acier recyclé économise 70% de son poids en énergie, et économise 1,5 fois son poids en CO2. Son processus de recyclage étant très pauvre en émission de dioxyde de carbone, il respecte le principe de durabilité et de responsabilité sociale. Limitée à 300 exemplaires, la Seastrong Diver 300 Automatic Calanda est l’une des premières montres au monde dotée d’un boîtier en acier recyclé. Façonné en acier PuReSteel, un acier recyclé de très haute qualité produit par Thyssen Krupp, il est certifié 100% recyclé et figure parmi les meilleures qualités disponibles sur le marché. 

Alpina renforce aujourd’hui son soutien à la préservation du plus grand écosystème sur Terre, et utilise l’acier recyclé provenant d’activités maritimes en guise d’affirmation. En effet, l’acier PuReSteel utilisé pour la Seastrong Diver 300 Automatic Calanda provient de transporteurs maritimes démantelés. Et pour rendre hommage à la Suisse, qui a vu naître Alpina en 1883, la Seastrong Diver 300 Automatic Calanda se place sous le patronage symbolique du Calanda, premier navire ayant jamais battu pavillon suisse – qui fut démantelé en 1953. Un nom, un numéro : Calanda, 1. Calanda comme le nom que prit le cargo éponyme, construit en 1913, et qui battit pavillon suisse à partir du 9 avril 1941. Le chiffre « 1 », comme le tout premier navire jamais inscrit sur le Registre Suisse des Bateaux - dont le port d’attache et d’enregistrement devint Bâle. Un symbole fort pour une nation neutre qui, face à la progression des troupes allemandes et italiennes en Grèce, avait décidé de se doter d’une flotte pour assurer son approvisionnement par voie maritime. Rappelant la forme ronde d’un hublot, le boîtier en acier recyclé de 42 mm de la nouvelle Seastrong Diver 300 Automatic Calanda est poli et satiné selon le même niveau d’exigence qu’un boîtier en acier traditionnel. Il est coiffé d’une lunette rotative unidirectionnelle crantée – en acier traditionnel – à la finition brossée, dotée d’une échelle de 60 minutes. Ce temps, souvent utilisé pour la durée d’immersion ou de palier, sera décompté par un jeu d’aiguilles centrales heures et minutes empreint de matière luminescente beige vintage, complété d’une trotteuse blanche à contrepoids en forme de triangle rouge, logo d’Alpina. L’ensemble survole un cadran noir mat composé d’index appliqués empreints du même traitement luminescent de couleur beige vintage, et d’un guichet de date à 3H. Pour assurer son étanchéité à 300 mètres, la Seastrong Diver 300 Automatic Calanda se dote d’une couronne ainsi que d’un fond vissé plein, orné du motif propre à la collection Seastrong : les sommets alpins chers à Alpina, ornés du motif trident qui signe son caractère de montre de plongée. Battant au rythme du mouvement automatique AL-525, la Seastrong Diver 300 Automatic Calanda est dotée de 38 heures de réserve de marche. (…)


Partagez cet article :

Restez informé !

Inscrivez-vous gratuitement à notre newsletter et recevez nos dernières infos directement dans votre boite de réception ! Nous n'utiliserons pas vos données personnelles à des fins commerciales et vous pourrez vous désabonner n'importe quand d'un simple clic.

Newsletter