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REPÉRAGES #56-2021 (accès libre)
Six montres et des bijoux qui font valser les neurones et chavirer les coeurs – mais pas que…

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des dernières montres de ce deuxième trimestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici (Suisse) ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Casio, Corum, Depancel, Haldimann, Richard Mille, Verax et Vever…


HALDIMANN Time Hora (pendule et montre) 

Vivre le temps de manière concrète et tangible, pas seulement le mesurer ou le lire ! Faire une pause dans le chaos du quotidien pour ressentir le moment présent. Se tenir debout face à notre « maintenant » fatidique pour permettre à l'avenir d’advenir et au passé de passer en donnant une perspective au temps. La démarche inhabituelle consistant à se concentrer sur le « flux du temps » est ce qui guide Beat Haldimann dans son travail. Les chefs-d'œuvre uniques de l'horloger de Thoune rompent donc souvent avec la tradition. Nombre de ces pièces sont des premières mondiales. En 2002, il a été désigné comme l'un des 20 horlogers les plus importants du monde et, en 2009, il a reçu le prix Gaïa, considéré comme le « prix Nobel » de l'horlogerie, en reconnaissance de l'œuvre de sa vie. La tradition familiale unique des horlogers Haldimann remonte à 1642. Depuis des siècles, les maîtres horlogers de Haldimann fabriquent des montres exclusivement mécaniques, ici même en Suisse, et les exportent dans le monde entier. Ils travaillent à l'extrême limite de ce dont la main humaine est capable. Avec la H9, sortie en 2008 et qu'il a philosophiquement surnommée son « trou noir au poignet », Beat Haldimann a tenté de créer une expérience du temps perçu par une réduction extrême et une spiritualisation de la mesure du temps conventionnelle.

L'aiguille des heures (« cadran » du haut) indique l'heure de la manière habituelle. Un cercle – celui du « maintenant » tourne dans le sens des aiguilles d'une montre toutes les douze heures, ancrant ainsi le Time-Hora dans la tradition des horloges mécaniques. L'aiguille de suspiration (le mot est expliqué plus bas) comprend les arcs de spirale visibles de l'aiguille du futur (à droite) qui servent à représenter la durée imaginaire des jours et des nuits à venir dans le futur, et les arcs de spirale visibles de l'aiguille du passé (à gauche) qui servent à représenter la durée imaginaire des jours et des nuits qui passent dans le passé : de l'infini du futur à l'infini du passé. Les deux spirales, avec des repères aux extrémités des courbes, tournent en sens inverse l'une de l'autre. Le double pendule demi-seconde résonnant de Haldimann comprend un pendule futur devant et un pendule passé derrière. Il incarne ainsi la dualité d'interprétation du temps stimulée par le système d'oscillation du Time-Hora. Chaque coup de pendule du futur annonce qu'une demi-seconde du futur s'est écoulée, et au même moment, le pendule du passé annonce qu'une demi-seconde du passé vient de naître. Ces deux perspectives décrivent la même durée physique, un phénomène qui s'incarne dans la résonance du double pendule, générée par sa construction.

Notre conception spatiale du futur et du passé dépend en grande partie de notre culture. Les psychologues pensent qu'elle est très probablement façonnée par le sens de l'écriture. C'est pourquoi l’aiguille de suspiration diffère en fonction de la perspective culturelle sur laquelle se fonde le modèle Time-Hora en question. Il existe quatre modèles différents dans la gamme Time- Hora. Trois d'entre eux sont adaptés au sens de l'écriture dans la culture en question. Le quatrième modèle est conçu pour être interprété dans une perspective métaphysique. Sa conception repose exclusivement sur le fait que, théoriquement, il existe une quatrième possibilité d'orientation de l »aiguille de suspiration.

• H51 Occident : sens de l'écriture de gauche à droite

• H51 Orient : sens de l'écriture de droite à gauche

• H51 Asie : sens de l'écriture de haut en bas

• H51 Univers : temps « remontant du bas vers le haut ».

Le Time-Hora est ainsi le premier garde-temps au monde à adopter une approche culturellement différenciée en matière de philosophie et de design. Le modèle H51 Occident est basé sur le sens de l'écriture utilisé dans le monde occidental, où la lecture et l'écriture vont de gauche à droite. Ce que vous lisez à gauche est déjà le passé lorsque vous prenez conscience de ce que vous lisez à droite. C'est pourquoi l’aiguille du futur est à droite et celle du passé à gauche. Le temps est représenté comme le futur venant de la droite et le passé allant vers la gauche. H51 Orient, H51 Asian et H51 Universe sont conçus de la même manière, selon la direction définie par la culture. Voici donc le Time-Hora H51 Occident. Il a fallu sept ans pour en faire un objet doté d'une esthétique cognitive aussi unique. Il raconte une histoire ordonnée dans l'espace en trois parties : « le présent au centre, le futur proche à droite et le passé qui se retire à gauche ». Cela redéfinit le « cadran » sans nombre d'une montre dans l'espace culturel occidental, où la lecture et l'écriture vont de gauche à droite. Ce que nous considérons comme le temps se révèle être une coordonnée dans notre perception, basée sur la perspective, du flux temporel infini, du futur sans fin au passé sans fin, qui sont tous deux traversés à l'unisson par un double pendule résonnant. Les jours et les nuits sont métaphoriquement et majestueusement inspirés et expirés par les spirales contre-rotatives, et sont donc comptés. Le Time-Hora nous parle donc du changement, de l'effacement de l'avenir et du devenir du passé. Tout comme les phases de la lune sont représentées dans le logo de la marque Haldimann.

CASIO G-Shock G-Squad GBD-200

G-SHOCK annonce la sortie de la GBD-200, un modèle additionnel à la ligne G-SQUAD. Héritant du design du boîtier carré emblématique de la toute première G-SHOCK, ces nouvelles montres compactes offrent des fonctionnalités pratiques pour les entraînements comme pour un usage quotidien. La GBD-200 est dotée d’un nouveau boîtier au profil plus petit, plus fin de 2,0 mm, plus court de 8,8 mm et plus étroit de 3,4 mm par rapport à la GBD-100. Pour que la montre paraisse encore plus fine, le boîtier, la lunette et d’autres éléments sont soigneusement conçus pour paraître plats lorsqu’ils sont vus de profil. Le bracelet est fabriqué en uréthane souple pour offrir une ventilation et une flexibilité exceptionnelles et garantir un ajustement parfait sur le poignet. Les trous situés près des cornes qui fixent le bracelet au boîtier assurent la respirabilité, ce qui permet d’évacuer la transpiration et de donner à la montre un ajustement confortable et aéré, idéal pour l’exercice physique. La précision des trous de 5 mm utilisés pour le bracelet permet également un réglage précis de la longueur. La GBD-200 est également dotée d’une fonctionnalité exceptionnelle. Il suffit de la coupler avec un smartphone via Bluetooth pour ajuster les distances capturées par le capteur d’accélération de la montre à l’aide du GPS du smartphone. Lorsque l’utilisateur effectue ce réglage une fois, la montre mesure alors les distances avec un degré de précision encore plus élevé*, même lorsqu’elle n’est pas connectée à un smartphone. La montre mesure également le rythme de course et est dotée d’une fonction Auto lap qui permet de suivre automatiquement les temps sur une distance donnée. Lorsqu’elle est utilisée avec l’application dédiée G-Shock Move, la montre est un grand soutien pour les entraînements quotidiens, permettant aux utilisateurs d’obtenir des données sur le nombre de pas et les calories brûlées, les journaux d’activité, et plus encore, directement sur le smartphone.

VEVER (sélection de la nouvelle collection de haute joaillerie)

Pour l’anniversaire de ses seize ans, une tradition, Camille Vever reçoit de sa grand-mère un bijou créé par la maison familiale. Quelle émotion de voir son propre nom inscrit sur un écrin ! A sa fierté, s’ajoute le regret qu’une enseigne, jadis si glorieuse, ait disparu. L’envie de la faire renaître lui revient « comme une petite musique ». D’abord, Camille obtient un Master en finances et débute une carrière de conseil en stratégie, dans les fusions-acquisitions. Ces expériences la confortent dans ses aptitudes à relancer une entreprise en sommeil. A 42 ans, elle s’entoure d’experts et d’une directrice artistique de renom, Sandrine de Laage, et réveille Vever ! Camille est présidente directrice générale de la société tandis que Damien, son frère jumeau, est directeur général délégué. L’enseigne du joaillier brille à nouveau rue de la Paix. « Pour que rien ne change, il fallait tout changer ». 100 ans après l’Art nouveau, la Maison Vever, pionnière de la modernité, s’engage avec conviction dans un luxe nouveau, durable, une joaillerie éthique. Elle est la première « entreprise à mission » dans le secteur de la joaillerie. Autrement dit, et comme le stipule ses statuts prévus par la loi PACTE, son activité respecte l’Homme et l’environnement. L’ivoire qu’elle va employer est d’origine végétale. L’or n’est pas extrait des mines, mais recyclé. Un tel engagement conduit le joaillier à se tourner vers des matériaux innovants : les diamants de synthèse créés en laboratoire. Ils sont composés uniquement de carbone, exactement comme un diamant de mine. Leur seule différence est leur origine. Cultivée en laboratoire, à partir d’un « germe » de diamant, cette pierre, taillée par des artisans lapidaires, offre les mêmes propriétés physiques, optiques et chimiques, garanties par les certificats de gemmologie, le même éclat, la même pureté, qu’une pierre surgie de terre. Les experts les plus avertis ne peuvent les distinguer. La Maison Vever s’engage également à valoriser le patrimoine français et produire l’ensemble de ses collections en France.

« La nature qui me fait monter les larmes aux yeux », confiait Henri Vever à son journal en 1898. La flore et la faune n’ont cessé d’inspirer ses pièces de joaillerie : des fougères ou des monnaies-du-pape s’épanouissent sur des diadèmes, des branches de chardon, une touffe d’hortensias, des fleurs de cyclamen, animent ses peignes. Un serre-tête se termine par des plumes de paon tandis que trois libellules voltigent sur un devant-de-corsage. En ce début du XXIe siècle, la nature est plus que jamais présente dans les esprits. Aussi, le thème ressurgit-il dans les créations du Vever d’aujourd’hui. Voilà une bague « Fleur de ginkgo », plante symbole de longévité en Extrême- Orient, ou encore un bracelet « Élixir », fil d’or qui, s’enroulant autour du poignet, évoque une liane. Des lignes sinusoïdales chères à l’Art nouveau. Le nouveau serti à cinq griffes, tel une corolle, affiche la signature végétale de Vever. A travers le bijou « Modern style », la femme est glorifiée. Ondines jaillissant des flots, sirènes, héroïnes de légendes, des figures, sensuelles, dénudées, ondulantes, la chevelure déployée qui invite aux fantasmes, hantent les parures de la Belle époque. Vever, renaissant, est fidèle aux sujets que le joaillier naguère chérissait. Pour orner les colliers de la nouvelle collection, apparaissent des créatures fantastiques et ailées une « Impératrice », une « Déesse de la pluie », une « Nymphe de la flamme ». Ode à la féminité. Poésie et légèreté.

La maison Vever renoue avec ce savoir-faire virtuose. Comment reproduire la transparence des ailes d’une libellule, la délicatesse d’un pétale de pois-de-senteur, la souplesse d’un voile qu’agite une gracieuse danseuse ? Le bijoutier de l’Art nouveau a recours à la palette des émaux translucides à jour. Merveilleuse technique, prisée à la Renaissance, qui consiste à combler d’une poudre d’émail, diluée dans l’eau, les vides d’un motif en or ajouré, et sans fond. La substance liquide, déposée au pinceau, en se lovant dans les alvéoles, entre en fusion avec le métal. Sorte de magie... Cuits à haute température, les émaux translucides, tels les vitraux, laissent admirablement passer la lumière. L’émailleuse à laquelle Vever fait appel, Sandrine Tessier, est Meilleure Ouvrier de France (MOF). L’atelier où elle œuvre, fondé par ses grands-parents, est classé Entreprise du Patrimoine Vivant. Pour Vever, elle réalise une véritable prouesse technique en utilisant la technique d’émail à jour aussi appelée « plique-à-jour » sur des surfaces courbes et volumineuses là où les plus grands émailleurs ne l’ont appliquée que sur des surfaces planes. Une première collection sera lancée le 9 juin 2021. La jeune entreprise fait le pari de la digitalisation. Les créations de haute-joaillerie, et joaillerie, se déploient en ligne. Les amateurs sont accueillis, sur rendez-vous, dans les salons lumineux du 9, rue de la Paix. Pas de stock inutile. Les modèles sont fabriqués à la demande, sur mesure, et les pièces de joaillerie réalisées dans un délai de trois semaines. Les artisans joailliers qui travaillent avec Vever sont, tous, français.

VERAX 420 V01.01

[ˈvɛː.raks] Adjectif, du latin verax, veracis, veracium, « qualité de ce qui est vrai, véridique, authentique, qui dit la vérité, sincère, sûr, réel ». Première marque suisse de street-luxe, voici Verax. Authentique et sans concessions, Verax intègre les cultures urbaines afin de proposer des produits en séries ultra-limitées conceptualisés par un collectif anonyme et portés par une communication provocante et sans fard. Une collection inaugurée par la Verax 420-V01.01, une montre Swiss Made à l’allure unique. Mode, art et musique: en 2021, fille de la créativité de la rue, la street-culture a envahi la planète. Dans les années 1980, le streetwear est né de l’impérieuse volonté d’exister, se signaler et se singulariser malgré la précarité, mais aussi de signifier son appartenance au hip-hop, l’expression culturelle des laissés pour compte. Dans les quartiers désargentés, l’estime s’achetait à coups de sapes colorées et d’accessoires clinquants sur fond de rythmiques répétitives crachées par des ghetto blasters. Mamelles de la street-culture, rap et mode se sont émancipés des bas quartiers. Le hip-hop est devenu la musique la plus écoutée à travers la planète ; le streetwear s’est dédiabolisé et radicalement relifté ces dernières années pour renverser les frontières qui l’isolaient jusqu’ici de son meilleur ennemi, le luxe. Désormais, les fabricants de vêtements de sport s’en réclament, les marques les plus fashion s’y frottent. Improbable mélange des genres entre deux sphères qu’au départ tout opposait.

Authentique et sans concessions, Verax ingère et digère cette nouvelle réalité pour la régurgiter sous forme d’un street-luxe authentique et d’un discours sans concessions au bullshit marketing ambiant. L’ambition est claire : vendre ses produits en séries ultra-limitées - parfois en un seul exemplaire - pour créer de l’exclusivité et exciter la désirabilité. Un marketing de la rareté assumant son hypocrisie et sa provocation. Sous l’étiquette Verax s’exprime et travaille un collectif artistique et industriel basé en Suisse. Il est donc naturel que le premier produit issu de cet incubateur nouveau soit une montre, la Verax 420-V01.01. Proposée en une série inaugurale ne présentant que 500 exemplaires, la Verax 420-V01.01 sera disponible à la vente uniquement online. Son boîtier d’un diamètre de 43mm renferme un mouvement chronographe suisse à quartz. Elle se distingue par son design percutant, ses détails aboutis et son respect des codes du Swiss Made. Véritable signe de reconnaissance, son bracelet se pose en « statement » de la marque Verax.

CORUM Bubble X Ray

Corum célèbre les 21 ans de l'emblématique Bubble avec la Bubble X Ray. C'est au cours de la célèbre exposition horlogère de Bâle, en 2000, que Corum dévoile pour la première fois sa désormais légendaire montre Bubble. Dotée d'un boîtier surdimensionné et d'un verre bombé imposant, la Bubble est née de l’imagination du tout aussi mythique Severin Wunderman, alors propriétaire de la marque. Le premier garde-temps Bubble a séduit le monde entier et rapidement fait l'objet d'un véritable culte. Aujourd'hui, 21 ans après sa création, Corum lance la montre X Ray, une nouvelle Bubble inspirée des premiers modèles. Parmi les premières Bubble du début du millénaire figurait un garde-temps orné d'un crâne stylisé sur le cadran. Severin Wunderman, qui venait de racheter la marque, était fasciné par la vie, la mort et le concept de Día de Muertos, une célébration festive pendant laquelle amis et familles se réunissent pour honorer les morts. Autodidacte exemplaire, qui a été caché dans une école pour aveugles pendant l'occupation nazie de la Pologne, puis a immigré à l'âge de 10 ans à Los Angeles aux États-Unis, le nouveau propriétaire de la maison nourrissait une affection pour l'inhabituel et le non conventionnel. En créant la Bubble, il avait pour ambition de révolutionner le monde de l'horlogerie et de marquer un tournant dans son histoire. Corum constituait pour lui la marque idéale, en raison de sa réputation de pionnière dans la création de collections extraordinaires depuis sa fondation en 1955. Lors de la sortie de la Bubble 44 mm, Severin Wunderman a avoué s'être inspiré d'une montre de plongée expérimentale des années 60, dotée d'un verre incurvé de grande dimension. Il a conjugué cet aspect bombé, qui présentait également des effets de distorsion, avec des cadrans à thème originaux, et le reste, comme on dit, appartient à l'histoire. Conçue à dessein pour se démarquer et faire preuve de singularité, la Bubble est rapidement devenue une icône du nouveau millénaire, avec une variété de versions fascinantes imaginées au fil des années. De la Bubble Jolly Roger à la Bubble Lucifer, en passant par la Bats et la Nightflyer, la maison n’a pas hésité à aborder des thèmes ludiques, parfois même espiègles. Au cours des six dernières années, Corum a également collaboré de manière occasionnelle avec divers artistes de renom pour ses modèles Bubble.

Aujourd'hui, pour rendre hommage à la maturité de ce garde-temps emblématique et à l'homme dynamique instigateur de sa création, Corum dévoile une montre en édition limitée dotée des mêmes éléments qui ont fait la renommée de la Bubble, mais avec une touche contemporaine et créative. La Bubble X Ray fait écho aux origines de la gamme avec un crâne à la fois hautement stylisé et réaliste qui occupe le centre du cadran. Alors que l’imposant verre saphir bombé déforme légèrement l'image, celle-ci étant totalement luminescente reste parfaitement visible dans l'obscurité : aussi troublante le jour que la nuit. Le crâne s'illumine en vert lorsque les lumières s'éteignent, lui conférant un charme inquiétant et provocateur. Pour une parfaite luminescence, Corum a appliqué des surpiqûres vertes fluorescentes sur le bracelet en alligator synthétique doublé de caoutchouc. La montre est animée par un mouvement automatique (CO082) d’une fréquence de 4 Hz et offre une réserve de marche de 42 heures. Réalisée en acier inoxydable avec finition PVD noire, elle est dotée d'un fond saphir laissant apparaître le mouvement. Le verre frontal bombé et le verre arrière sont tous deux revêtus d'un traitement antireflet. Créé en édition limitée à 88 pièces seulement, le boîtier de 47 mm affiche les heures, les minutes et les secondes, avec une étanchéité à 100 mètres. Conçue avec le même souci du détail et selon un savoir-faire horloger de pointe, la Bubble X Ray incarne parfaitement la philosophie originale de son ancêtre : audacieuse, unique et destinée aux plus téméraires. La X Ray est la première d'une longue série de nouvelles montres Bubble qui verront bientôt le jour.

RICHARD MILLE Chronographe automatique RM 60-01

Richard Mille présente une nouvelle édition limitée de 80 pièces, la RM 60-01 Automatique Chronographe Flyback Les Voiles de St Barth, preuve de son engagement durable en faveur de l'une des régates internationales les plus connues dans les Caraïbes, contre vents et marées ! Un bref retour à St Barth en avril 2020 où l’organisation espérait initialement que l’édition 2021 des Voiles pourrait avoir lieu. Les nouvelles conditions d’entrée et de sortie de l’île, la mise en place d’une quarantaine et l’obligation d’un motif impérieux pour voyager ont rendu la tenue d'un tel événement international impossible en termes de logistique, y compris cette année. Le vainqueur de chaque édition des Voiles se voit remettre une montre Richard Mille. L’événement ayant été annulé cette année, nous avons estimé qu'il était de notre devoir de reverser la totalité des revenus de la vente d'une RM 60-01 à des causes locales de St Barth. La marque consulte actuellement les autorités afin de déterminer ensemble les projets qui pourraient en bénéficier : des établissements de santé ou des projets environnementaux locaux. Naviguant aussi bien sur les eaux calmes que dans des conditions extrêmes, Les Voiles de St Barth Richard Mille se sont toujours imposées comme un rendez-vous unique et incontournable alliant esprit de compétition et technologie révolutionnaire. Richard Mille accompagne l’évènement depuis ses débuts en 2010. Au cours de ses dix premières années d'existence, la course a accueilli des dizaines de milliers de navigateurs et près de 500 bateaux venant des quatre coins du monde (en moyenne, 80 équipages concourent dans 7 catégories lors de chaque édition), s'imposant rapidement comme l’un des temps forts de la saison dans les Caraïbes.

En 2019, Richard Mille a décidé de prendre un nouveau virage et de faire flotter haut ses couleurs en tant que partenaire en titre de cette régate, rebaptisée dès lors Les Voiles de St Barth Richard Mille. « Nous soutenons cet événement depuis sa création. Nous sommes ravis de voir la reconnaissance dont jouit à présent cette régate internationale. Chaque année, elle réaffirme son statut de course incontournable grâce à la qualité des voiliers et des équipages », a déclaré Tim Malachard, directeur marketing de Richard Mille. Créée à l’occasion de la première course en 2010, la RM 028 Les Voiles de St Barth, une édition limitée à 100 exemplaires, a marqué la naissance de l’événement. La RM 60-01 Régate a ensuite pris le relais, avec des éditions limitées à 50 pièces en 2015 et 2017. Impossible d’imaginer une montre qui soit mieux adaptée aux besoins spécifiques des skippers du monde entier. Animée par le calibre RMAC2 à remontage automatique, elle possède 55 heures d’autonomie. Avec son chronographe à fonction flyback, son affichage surdimensionné de la date situé à 12 heures et son guichet indiquant le mois, elle est le compagnon idéal des navigateurs en haute mer. Un compte à rebours 60 minutes à 9 heures et un totaliseur des 24 heures à 6 heures viennent enrichir son identité nautique. Son atout principal : elle permet de s’orienter dans les hémisphères Nord et Sud sans avoir besoin d’effectuer des calculs. L'aiguille UTC doit être placée face au soleil. Ensuite, il suffit de régler la lunette tournante, fabriquée pour la première fois en Carbone TPT®, de sorte que l'aiguille UTC indique l’heure locale affichée sur la lunette. Dès lors, le Nord, l’Est, le Sud et l’Ouest se révèlent au porteur. Cette adaptabilité partout en haute mer distingue la RM 60-01 des autres montres « régate ». Affichant haut les couleurs de la régate avec son rehaut turquoise et dotée d’un fond en verre saphir orné du logo Les Voiles de St Barth Richard Mille, la RM 60-01 Automatique Chronographe Flyback Les Voiles de St Barth se taille indéniablement une place de choix parmi les montres faites pour naviguer sur les sept mers. Quel meilleur emblème, quel meilleur symbole pourrait témoigner de l’engagement indéfectible de la marque tandis que nous mettons le cap (espérons-le !) vers une nouvelle régate inoubliable en 2022.

DEPANCEL nouvelle collection Pista GT

Née sur la piste, cette nouvelle Pista GT est une véritable sportive homologuée pour la route. Pensée par des ingénieurs, son design allie technicité et performance, pour traverser avec vous chaque épreuve du quotidien à vitesse grand V. Un squelette Swiss-made unique en son genre, accessible à tous. Repoussez vos limites avec cette pièce aux lignes contemporaines et aux finitions soignées. Cadran squelette à la façon d’une jante, réserve de marche qui rappelle un étrier de frein, couleurs racing, lunette travaillée à l’image d’un pneu, traitement Super-Luminova pour une meilleure lisibilité nocturne : chaque détail a son importance ! Avec leur allure super-sportive, les ponts du squelette, qui viennent souligner les éléments principaux du mouvement, se réapproprient les formes d’une jante de supercar. Les index sont disposés sur une surface travaillée pour suggérer le traitement d’un disque de frein. Conçue à l’image d’un étrier de frein, la réserve de marche est visible en un coup d'œil sur votre cadran : plus le ressort est tendu, plus votre mouvement emmagasine d’énergie. Cette Pista GT mise tout sur la sportivité avec ses courbes dynamiques et sa lunette crantée dont le graphisme fait écho au flanc d’un pneu de course.

Le Super-Luminova SLN C1 est appliqué sur les aiguilles et les indexes pour les détacher du cadran et vous assurer une lisibilité sans faille, même de nuit. Le cadran squelette laisse apparaître le cœur de la montre : un mouvement Swiss-Made STP 6-15. Ses principales caractéristiques ? Précision de 0/+15 secondes par jour, réserve de marche de 44h et une fréquence de 28 800 alternances par heure et fonction stop seconde. Un calibre fiable et précis. La collection Pista GT a été pensée pour vous accompagner en toutes circonstances : une montre de 42 mm de diamètre qui épouse la forme du poignet, un boîtier fin et léger et des bracelets interchangeables pour s’adapter à chaque situation, sans concessions. Cette collection Pista GT est conçue, assemblée et contrôlée en Suisse par des passionnés, pour vous offrir une qualité irréprochable. Chez Depancel, on s’est fixé une mission : mettre la belle horlogerie sur un maximum de poignets ! Pour y arriver, on se concentre sur la qualité de nos montres plutôt que sur la quantité, on fait peu de produits pour être sûrs de bien les faire. Concrètement, on commence par vous demander votre avis : comme ça, on est sûrs de créer des montres qui vous plaisent et répondent parfaitement à vos attentes. Du design aux spécifications techniques en passant par les déclinaisons de couleur, les membres de la communauté Depancel ont tout choisi afin de concevoir la meilleure montre-squelette : la Pista GT ! Ensuite, on vend nos produits sous forme de précommandes : pas de stock, pas d’invendus. C'est grâce à cela que l'on peut concentrer la majorité des coûts sur la qualité de nos montres et que nous pouvons vous proposer une garantie à vie !


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