REPÉRAGES #81-2023 (accès libre)
Sept montres qui pédalent, qui plongent, qui flamboient et qui font la fête
81e épisode de notre présentation des nouveautés du premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Blancpain, Gucci, March LA.B, Maurice de Mauriac, MeisterSinger, Omega et Sinn…
MARCH LA.B AM69 Électrique White
1969 année symbolique ! L’AM69 est une « essentielle intemporelle ». Un condensé de simplicité tout en rondeur pour une montre épurée mais racée, véritable allégorie de la vision esthétique des créateurs. Parce que « moins c’est plus. » Le modèle AM69 est une jolie montre de 36 mm ronde et carénée à la fois. Les cornes du boitier poli-brossé sont affutées et les légers plats autour de la lunette apportent une touche de modernité à cette montre plus classique. Les cadrans qui peuvent être soleillées ou brossés selon les couleurs sont volontairement épurés pour laisser respirer la simplicité sous le verre minéral réhaussé et bombé. La couronne positionnée à 4H signature de la marque est plus petite et raffinée mais toujours guillochée avec les lignes entrelacées du M de March LA.B. Les aiguilles ont été simplifiées à l’essentiel. Le guichet cerclé d’une fenêtre en acier ciselée arbore un dateur aux chiffres blancs très rétros imprimés sur un fond noir laissant apparaitre une fois par mois le chiffre 3 en vert. Au dos de la montre, le fond vissé en acier brossé est gravé du blason emblème de la quête horlogère de March LA.B. Le modèle White est équipé d'un cadran blanc, d'index en acier et d'un léger chemin de fer gris foncé. La AM69 est une montre unisexe en toute simplicité.
Se distinguant par sa précision et sa fiabilité, le calibre quartz Suisse Ronda 517 s’avère être le meilleur choix pour de nombreuses marques de montres de luxe en raison de ses performances de très haute qualité. Ce mouvement Suisse est équipé d'un oscillateur à quartz qui utilise des vibrations électriques pour maintenir une précision de temps remarquablement élevée. Il est également doté d'un système de régulation de la température, qui permet d'ajuster la fréquence du mouvement en fonction des fluctuations thermiques garantissant ainsi une précision constante quelles que soient les conditions ambiantes. En plus de sa précision, il est également conçu pour être extrêmement fiable et durable. Il est doté d'un système d'alimentation en énergie à longue durée de vie qui permet une autonomie de batterie allant jusqu'à 60 mois. Environ 2 semaines avant la fin de vie de la pile, un indicateur dénommé EOL engendre le sursaut de la trotteuse (Aiguille des secondes) toutes les 4 secondes afin de signaler la nécessité du changement de pile. Ce mouvement Quartz ultra précis peut perdre un maximum de 10 secondes par an.
OMEGA Speedmaster Aqua Terra (Fête des Mères)
Chaque maman cache une femme de caractère avec du style. Alors que son temps est précieux, elle mérite de vivre ses passions dans les moments qu’elle s’accorde. À l’occasion de cette fête des Mères, les enfants souhaitent se présenter comme une source d’inspiration. Concentrés sur certaines des pièces intemporelles Omega, ils ont fait appel à la couleur et à l’artisanat pour célébrer cette occasion. Nous avons apporté une touche de créativité à l’art classique de l’horlogerie pour toutes les mamans uniques qui adorent mener une vie trépidante. La Seamaster Aqua Terra est une pièce moderne et classique pour les passionnées de l’océan. Qu’il s’agisse de faire de la voile ou de se prélasser sur la plage, l’Aqua Terra entretient une relation intense avec la mer. Ce modèle de 38 mm réunit acier inoxydable et or Sedna 18K. Son cadran gris agate arbore un motif à vagues apaisantes et des index en forme de coque de voilier. Plage, bateau ou ville : cette montre donne le sentiment d’être toujours en mouvement.
MEISTERSINGER N°3
Spécialiste des montres à mono-aiguille, MeisterSinger n’a de cesse de parfaire ses modèles, changeant ici et là, quelques détails, au fil du temps. Aujourd’hui, la marque horlogère allemande a décidé de revisiter ses modèles №01, №03 et Perigraph avec une nouvelle couleur de cadran. Parés d’un fond blanc finement poli, ces garde-temps arborent un nouveau visage, interprétant, chacun à leur façon, les codes d’une l’élégance intemporelle. Présentes dans la collection MeisterSinger depuis la création de la marque en 2001, les lignes №01, №03 et Perigraph sont la preuve que le bon goût ne se démode jamais. Ces pièces horlogères partagent le boîtier mythique en acier inoxydable de 43 mm, un verre saphir bombé et le design épuré du cadran. Aux côtés des modèles déjà existants en ivoire et bleu soleillé, coloris signature de MeisterSinger, ces trois classiques arrivent en 2023 dans un esprit plus raffiné avec un cadran blanc immaculé ponctué de chiffres dorés et d’index bleus. Comme son nom l’indique, la collection MeisterSinger a commencé avec la montre mécanique à remontage manuel №01. Premier modèle de la marque, son design rassemble tous les détails esthétiques qui caractérisent aujourd'hui encore l'ensemble de la collection. Avec sa sœur №03 dotée d’un mouvement automatique, elle est en tête du classement des modèles les plus vendus chez MeisterSinger. Manfred Brassler, fondateur et Directeur Général précise : « Heureusement, je me suis vite rendu compte que les base du design de la №01 devaient être maintenues dans chaque modèle de la collection - quelle que soit la complication dont il est doté. En fin de compte, tous les passionnés de la marque veulent porter une véritable montre-bracelet MeisterSinger ».
GUCCI G-Timeless Planetarium
Exaltée par l’épopée de l’exploration spatiale et sa passion pour la découverte, Gucci High Watchmaking se propulse à présent dans l’univers et dévoile des pièces exceptionnelles qui cartographient et transcrivent le temps d’une manière unique. À travers cinq collections signatures qui mettent notamment en scène des tourbillons, des mouvements phases de lune et un nouveau calendrier perpétuel, ces nouveautés témoignent à la fois de l’héritage précieux et du savoir-faire contemporain de Gucci : son excellence et son expertise en haute horlogerie fusionnent avec les codes iconiques de la Maison, un sens artistique d’avant-garde et les gemmes les plus exceptionnelles. Quatre designs kaléidoscopiques enrichissent la collection G-Timeless Planetarium qui est littéralement centrée sur le Dancing Hours Flying Tourbillon, le GGC.1976.DS. Baptisé d’après la Nébuleuse d’Orion NGC 1976 – une nébuleuse visible à l’œil nu qui figure parmi les plus lumineuses de notre galaxie, le tourbillon occupe le cœur du cadran et est surmonté d’une étoile sertie de diamants. Une fonction marche/arrêt sur la couronne déclenche la rotation de 12 pierres précieuses, chacune tournant sur elle- même en 9 secondes et effectuant le tour du cadran dans le sens horaire en 90 secondes. En 2023, la collection accueille deux créations dédiées à la lune : l’une est sertie de 12 opales éthiopiennes dont l’opalescence est mise en valeur par un fond bleu translucide ; la seconde, un amalgame onirique aux teintes pastel, réunit topazes, péridots, améthystes et opales éthiopiennes. Un autre modèle dévoile un crépuscule mystique, composé de différentes nuances de rouge : rubis, opales de feu, tourmalines roses et grenats mandarins. L’ultime création, la plus scintillante, est dédiée aux étoiles : des astres de quatre types distincts, chacun serti de diamants, encerclent l’étoile centrale du tourbillon dans une explosion éblouissante de lumière.
MAURICE DE MAURIAC L2 GMT Blanc
Maurice de Mauriac est le chronométreur officiel de l’équipe Corratec pendant le Tour d’Italie 2023 (Giro d’Italia) et accompagne l'équipe avec la L2 GMT White. Le Giro d'Italia a débuté le 6 mai et Maurice de Mauriac est en course avec l'équipe Corratec. Le coureur suisse de Corratec Jan Stöckli, ambassadeur de Maurice de Mauriac, est un grand ami de la famille Dreifuss, dont le blason familial - le balancier - est visuellement très proche du cyclisme. La 106e édition du Giro d’Italia vient de commencer et nous sommes très heureux d’annoncer que nous soutenons cette année, l’équipe Corratec. En tant que petite entreprise familiale cela nous rend extrêmement fière de pouvoir de participer à l’un des plus grands événements sportifs Européens, sur un parcours de 3 448 kilomètres et 21 étapes. Tout le monde espère bien sûr que Jan Stöckli pourra tenter une échappée légendaire et revêtir le maillot de leader. Le légendaire Maglia Rosa. Après tout, le rose est une couleur très appréciée par Maurice de Mauriac. Les garde-temps L3 Cherry Blossom et Rallymaster en sont la preuve. Pour les tifosis et les amateurs de montres, les Watchbros Massimo et Leonard ont créé des « Bucket Hats » en rose. Petite curiosité : la sangle du chapeau a été fabriqué à partir du bracelet Nato Racing. Jan Stöckli, l'ambassadeur de la marque et la Direction de l'équipe Corratec portent le garde-temps de leur choix : la L2 GMT White. Une montre dotée d’un mouvement automatique suisse fiable et équipée d'un bracelet sportif en caoutchouc blanc. Elle dispose d'une aiguille des heures supplémentaire pour un deuxième fuseau horaire et d'une lunette tournante avec affichage 24 heures ainsi que d'une valve à hélium : en tant que véritable montre de sport, elle peut, grâce à son étanchéité, gravir les montagnes de catégorie 1 avec autant d'aisance que résister à la plus forte pression de l'eau. Ce sont des montres pour les montées et les descentes, envers le ciel ou l'enfer, la catastrophe ou le triomphe, vers lesquels les coureurs de l'équipe Corratec se dirigent avec un engagement maximal. Suivez le mouvement, grimpez avec nous, sprintez avec nous. Sur les routes d'Italie, sur notre site web, sur notre newsletter ou sur instagram. Dans tous les cas, la famille Dreifuss et les montres de Maurice de Mauriac sont partout !
SINN 936
Le chronographe de plongée avec compteur 60 minutes est un instrument tout en élégance : on se rend compte au premier regard des particularités réellement spécifiques à ce chronographe Bicompax. Le 936 constitue donc un instrument de mesure du temps fiable, traité Tegiment et protégé contre les champs magnétiques. Lors de la conception du cadran, nous avons fait en sorte d’en accroître la clarté et la lisibilité. En fabriquant la mécanisme du chronographe SZ05 dans nos locaux, nous veillons à bien aligner l’affichage du stop-minute avec graduation au 60ème, placé à 3 heures, et la seconde courante que nous positionnons à 9 heures. L’avantage est que la somme des stop-minutes qui a sinon lieu avec une graduation au 30ème n’existe plus. Une excellente lisibilité est garantie même dans l’obscurité, car indices, l’aiguille des minutes et celle des heures sont revêtues de peinture luminescente blanche. La 936 résiste en outre aux pressions jusqu'à 10 bars et aux basses pressions. Elle séduit également par un design clair qui s’exprime à travers d’élégants détails tels que les aiguilles squelettes pour les heures et les minutes. Toutes deux sont plaquées rhodium et matifiées par brossage. Le placage au rhodium, un métal noble similaire au platine, dote ces éléments d’un aspect argenté on ne peut plus raffiné, dont les réflecteurs de lumière sont parfaitement harmonisés à ceux de la glace polie du cadran en acier inoxydable satiné. Pour le contraste, nous avons choisi d'appliquer une longue et brillante trotteuse de couleur rouge. Les cercles des chiffres du stop-minute et du stop-seconde affichent des reflets changeants produits par une fine cannelure centrale.
BLANCPAIN Fifty Fathoms 70e anniversaire « Tech Gombessa »
Il y a 70 ans naissait une icône : la Fifty Fathoms. Celle qui révolutionnera l’horlogerie en devenant la première montre de plongée moderne est pensée par un passionné de plongée sous-marine, Jean-Jacques Fiechter, alors CEO de Blancpain. Pionnier d’une discipline qui en est à ses balbutiements, il saisit la nécessité impérative de traquer le temps en immer- sion. L’outil qu’il conçoit pour répondre à ses propres besoins fait immédiatement l’unanimité auprès de la communauté océanique, tant et si bien qu’il devient un allié infaillible des plongeurs d’élite et des explora- teurs sous-marins. En renforçant la sécurité en plon- gée, la Fifty Fathoms contribue à développer ce sport et favorise la découverte du monde des océans. L’année 2023, qui marque les 70 ans de la Fifty Fathoms, résonne également comme un reboot de sa naissance à travers l’arrivée d’une montre de plongée anniversaire innovante. Depuis les années 1950, la plongée a connu une évolution retentissante, caractérisée notamment par une extension manifeste des temps d’immersion. Si la Fifty Fathoms de 1953 satisfaisait les contraintes de Jean-Jacques Fiechter et des plongeurs les plus aguerris de l’époque, ceux d’aujourd’hui capables de passer plusieurs heures sous l’eau ont de nouvelles exigences en matière de mesure du temps. C’est précisément le cas du Président & CEO de Blancpain, lui aussi un fervent adepte de plongée sous-marine, habitué depuis un certain nombre d’années aux plongées éminemment techniques en circuit fermé. Fort de l’héritage inestimable puisé de la Fifty Fathoms de 1953, mais aussi et surtout de ses propres expériences, le dirigeant s’est lancé dans la conception, avec le plongeur, photo- graphe et biologiste sous-marin Laurent Ballesta, d’un nouvel instrument mécanique répondant aux besoins de tous les plongeurs de l’extrême. À commencer par les membres des Expéditions Gombessa, dont les travaux de recherche impliquent des plongées profondes de longue durée. Avec le soutien de Blancpain, ces aventuriers des abysses ont uni leurs forces dans le cadre de la mission pluriannuelle Tamataroa. Consacré à l’étude du comportement du grand requin marteau, Sphyrna mokarran, en Polynésie française, ce projet est porté par un comité de plongeurs passionnés, amoureux des grands fonds, constitué entre autres de Marc A. Hayek et Laurent Ballesta. C’est sur l’atoll de Rangiroa que se sont poursuivies, par le biais de plongées techniques, les observations et la collecte d’informations relatives au Sphyrna mokarran dans le but de contribuer à la mise en place de mesures de gestion adaptées à sa conservation.
C’est dans ce contexte qu’a été présentée pour la première fois la dernière-née de la collection Fifty Fathoms, la Tech Gombessa, destinée à mesurer la durée de longues immersions tech ou de sorties d’un ensemble de saturation pouvant aller jusqu’à 3 heures. Imaginée il y a cinq ans déjà par les deux plongeurs, cette montre a été testée en long et en large. En 2019, après une année de conceptualisation, Blancpain a entamé le développement du projet, en commençant par les deux éléments clés que sont le mouvement et la lunette tournante unidirectionnelle. Contrairement aux lunettes des montres de plongée usuelles, celle de la Fifty Fathoms Tech Gombessa pré- sente une graduation sur une échelle de 3 heures. Elle est liée à une aiguille spéciale qui effectue un tour complet en 3 heures et dont la matière et la teinte, un revêtement luminescent blanc à émission verte, sont assorties à celles de ses repères. Ce dispositif inventé conjointement par Marc A. Hayek et Laurent Ballesta représente une première mondiale ayant fait l’objet d’un dépôt de brevet. Il est le cœur du mouvement automatique 13P8, basé sur les mêmes critères de fiabilité et de robustesse qui font de la Fifty Fathoms la montre de plongée par excellence depuis 70 ans. La combinaison lunette et mouvement définie, il a fallu s’attaquer à l’habillage de cette nouvelle montre conçue pour tutoyer les profondeurs. Le cahier des charges était clair mais sa réalisation délicate: la Fifty Fathoms Tech Gombessa doit avoir l’allure d’une Fifty Fathoms tout en exhibant des attributs tech tranchés. Les designers de Blancpain ont donc opté pour un insert de lunette en céramique noire – en lieu et place du traditionnel saphir –, qu’ils ont décidé de bomber et d’incliner vers le cadran. La lisibilité de ce dernier est optimisée grâce à une glace sphérique permettant d’éliminer les éventuelles déformations visuelles. Pour assurer la meilleure lecture qui soit dans la pénombre, le cadran présente une finition inédite : un noir absolu dont la structure a pour particularité de capter près de 97 % de la lumière. Dans la même optique, les index sont formés d’appliques blocks bombées luminescentes, cette fois de couleur orange à émission bleue, des codes que l’on retrouve sur les aiguilles des heures et des minutes afin de différencier les informations horaires des temps de plongée.
Pour le matériau de la boîte, c’est le titane grade 23 qui a été privilégié. Récemment introduit dans ses collections par Blancpain, le titane grade 23 – également connu sous l’appellation grade 5 ELI (extra low interstitials ou « très faibles inclusions ») – est le type de titane le plus pur qui soit. Il se distingue par une résistance et des proprié- tés anti-allergéniques exceptionnelles, tout en étant d’une remarquable légèreté. Cette caractéristique assure le confort au porté de la montre, dont le diamètre de 47 mm ne se fait absolument pas ressentir au poignet. Ceci est d’autant plus vrai que la pièce est dotée, pour la première fois chez Blancpain, de cornes centrales rapportées, fixées depuis l’intérieur de la carrure et intégrant le bracelet. Étanche à 30 bar (environ 300 mètres), la boîte est équipée d’une valve hélium. Lors d’une saturation hyperbare en caisson, l’hélium parvient à s’infiltrer dans la montre. Pendant la phase de décompression, dévisser la valve permet de faciliter l’évacuation de l’hélium (une manipulation qui n’a aucune incidence sur l’étanchéité à l’eau de la pièce). Les encoches de la valve hélium sont iden- tiques à celles de la couronne de remontage et de mise à l’heure, à travers laquelle se règlent simulta- nément l’aiguille des heures, l’aiguille des minutes et celle des temps de plongée. Comme pour tout garde- temps Fifty Fathoms, la couronne est vissée et asso- ciée à un protège-couronne, dont l’esthétique a été redéfinie. Afin de garantir une cohérence visuelle avec les cornes, celui-ci est également rapporté et adopte leur forme trapézoïdale. Au dos de la montre, rien n’a été laissé au hasard non plus. La partie basse de la carrure de la boîte est biseautée et non bassinée, comme sur les autres modèles Fifty Fathoms. Les encoches qui servent à visser le fond de boîte ont aussi été retravaillées, dans un même esprit de robustesse. La masse oscil- lante, de couleur anthracite et estampillée du logo des Expéditions Gombessa, présente une forme inno- vante dominée par trois larges ouvertures favorisant la contemplation du mouvement. Le bracelet, un caoutchouc noir, est vissé sur les cornes côté fond. Il possède un renfort interne en titane, garant d’une géométrie idéale à long terme, et s’accompagne d’une extension pour le port de la montre sur une combinai- son de plongée tech. La boucle, qui se démarque par un ardillon très large et ergonomique, a été pensée de sorte à renforcer l’attache de la montre au poignet et à faciliter la fixation de l’extension.