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REPÉRAGES #65-2023 (accès libre)
Sept montres qui rivalisent d’originalité dans les formes comme dans les couleurs

Soixante-cinquième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Charriol, Franck Muller, Lang & Heyne, Louis Érard x Konstantin Chaykin, Nomos Glashütte, Piaget et Trilobe…


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LANG & HEYNE Friedrich III « Orient»

La nouvelle montre sur mesure, baptisée « Orient » par son client, est une pièce d'artisanat tout à fait remarquable réalisée par la célèbre Maison Lang & Heyne. Inspiré par une ancienne poterie asiatique exposée au Musée Guimet à Paris, le nom de la montre s'inscrit comme un fil rouge dans le langage de conception de cette montre. Elle est dotée d'un magnifique cadran en émail blanc avec une peinture inspirée de ce bol ancien. Le cadran est réalisé en or blanc avec la technique du champlevé - présentant le logo et la mention « Made in Saxony ». Il n'y a pas de petite seconde ni de chiffres, mais notre peintre sur porcelaine, qui a terminé sa formation dans la célèbre manufacture de porcelaine de Meissen, l'a peint avec des herbes et des fleurs dans des tons de bleu et de noir sur de l'émail blanc. Le dessin se confond avec le bord et la position de la peinture donne une indication de la position des chiffres actuels. Les aiguilles, spécialement conçues pour cette montre, sont fines et discrètes, en acier bleui, afin de développer au mieux leur effet. Le boîtier en or blanc 18 carats est serti d'une pierre saphir bleue dans la couronne. Le mouvement est un régal pour les yeux. Au lieu d'être plaqué or, il a été rhodié et porte les inscriptions « pièce unique » et « Orient ». La surface polie des trois roues en or et, défi particulier pour nos maîtres horlogers, les roues de remontoir à surface polie, sont des points forts qui ne cessent d'étonner. Pour flatter davantage l'apparence générale, les roulements en rubis, par ailleurs rouges, ont été remplacés par des roulements transparents. Nous sommes très reconnaissants d'avoir eu la chance de créer un chef-d'œuvre aussi unique pour l'un de nos clients et de la confiance qu'il nous a témoignée en réalisant la montre de ses rêves. Cette montre est véritablement une œuvre d'art unique et intemporelle.

PIAGET Altiplano Tourbillon Aventurine

Piaget dévoile une montre Altiplano Tourbillon en édition limitée à 38 exemplaires, une création horlogère d’une rare complexité arborant un diamètre de 38 mm et une lunette sertie de diamants. Ce nouveau garde-temps est souligné d’un somptueux cadran en verre aventuriné, évoquant l’infinité du ciel nocturne. Le verre aventuriné est un matériau magique qui doit son nom au terme italien ‘avventura’ signifiant « aventure ». L’aventurine apparaît dès le XVIIe siècle, notamment sur l’île vénitienne de Murano, célèbre pour sa verrerie. Le procédé consiste à ajouter de l’oxyde de cuivre au verre pour lui insuffler une lueur fascinante évoquant un ciel étoilé. Le cadran de la montre Piaget Altiplano Tourbillon Aventurine affiche une cage de tourbillon volant extra-plate décentrée à 2 heures. La position du tourbillon s’associe à celle du compteur heures-minutes à 8 heures pour former un 8, symbole de l’infini et de l’amour éternel. En 2017, Piaget célèbre le 60ème anniversaire de son mouvement extra-plat en lançant la montre Altiplano Flying Tourbillon qui place le mouvement au service du design. Sur cette pièce à remontage manuel, l’heure se trouve à huit heures et le tourbillon à deux heures. Avec ses 157 composants extra-plats et ultra-légers, tels que la cage mesurant à peine 2,88 mm, trois ponts en titane d’un poids de 0,2 g seulement et d’autres éléments dont l’épaisseur ne dépasse pas celle d’un cheveu humain, le modèle Altiplano Tourbillon est une véritable prouesse d’ingénierie. Il dispose également d’un mécanisme breveté de tige, intégrant une roue intermédiaire qui ressemble à un escalier et permet à l’utilisateur de régler l’heure du cadran décentré, une autre première dans l’univers de l’horlogerie. Cette montre d’une infinie créativité présente un boîtier de 38 mm en or blanc avec une lunette sertie de diamants taille baguette, une première pour un modèle Altiplano Tourbillon de cette taille. Les cornes et la couronne sont serties de 13 diamants taille brillant (environ 0,19 carat), tandis que la lunette est ornée de 48 diamants taille baguette (environ 2,06 carats). Animé par un calibre 670P Tourbillon de la Manufacture Piaget, ce modèle Altiplano arbore un fond saphir offrant une vue saisissante sur le mouvement extra-plat. Il est accompagné d’un bracelet en alligator bleu foncé avec un fermoir en or blanc 18 carats, orné de 24 diamants taille brillant (environ 0,06 carat).

TRILOBE Une folle journée Diamants

Un an après avoir lancé sa collection Une Folle Journée, Trilobe fait un premier pas sur la scène de la Haute Joaillerie avec une pièce lumineuse et innovante, inspirée du plafond de l’Opéra de Paris. Les trois anneaux en mouvement se parent de diamants d’exception, dont le secret de sertissage, invisible à l’œil nu, a été conçu avec l’expertise de talentueux artisans de la rue de la Paix. Cette nouvelle création met en scène des savoir-faire remarquables. Deux ans de recherche & développement furent nécessaires pour relever cette véritable prouesse, à la croisée de la Haute Horlogerie et de la Haute Joaillerie. Trilobe privilégie ainsi la complexité à la simplicité, l’innovation au déjà-vu, la libération à l’immobilisé, avec 150 diamants en mouvement. Avec cette nouvelle pièce joaillière, Trilobe réitère son choix de la différence. En conservant l’élégance et l’extravagance de la création Une Folle Journée, la Maison choisit de sertir ses anneaux symboliques. Un réel défi technique qui aurait été impossible à relever sans une refonte architecturale complète de la pièce. Ainsi, la construction des bagues a été entièrement repensée afin de pouvoir y accueillir 150 diamants baguette, chacun retaillé pour s’adapter aux anneaux. Une évolution de matériau a également été indispensable pour garantir la performance et la fiabilité du mouvement. Sur cette nouvelle édition, le titane laisse donc place à un alliage aluminium-silicium- magnésium, dont la légèreté permet de compenser le poids des diamants et de mettre les anneaux en mouvement. Chaque bague a été façonnée sur mesure et à la main, par un constructeur en mécanique d’art, garantissant ainsi la qualité des finitions. Le matériau ainsi que la finesse des anneaux, offrant une assise restreinte aux pierres précieuses, enjoignent ainsi la Maison à mettre au point un procédé de sertissage inédit, en collaboration avec des sertisseurs experts de la rue de la Paix, certifiés RJC. Les 150 diamants qui animent les heures, les minutes et les secondes s’enchâssent par une ouverture invisible puis glissent le long de la bague grâce à un système unique, développé exclusivement par Trilobe.

La complexité du sertissage exige par ailleurs une extrême minutielors de la pose des pierres, pour préserver l’intégrité des anneaux. La conception sur-mesure d’un système de posage fut nécessaire afin de sertir avec agilité chaque pièce, dans une position adéquate, en préservant la délicatesse des bagues. Au-delà d’une évolution architecturale et structurelle, la création de cette édition est également l’œuvre d’une dextérité quasi chirurgicale du sertisseur et de jours de travail pour permettre aux bagues serties de s’élancer librement, sous la bulle saphir, au rythme du temps. Le savoir-faire du sertisseur s’allie à l’expertise d’un diamantaire reconnu de la place Vendôme, certifié RJC, pour donner vie à la pièce Une Folle Journée Diamant. Soigneusement sélectionnées selon des standards de qualité et de traçabilité élevés, les 150 pierres sont méticuleusement taillées sur mesure. De taille baguette, elles épousent parfaitement le galbe des 3 bagues iconiques de la Maison. Si le plus grand anneau émet une des plus vives lumières, le génie de la ceinture de diamants se trouve dans les détails. Ainsi, par son petit calibre, la roue des secondes s’avère être la pièce la plus difficile à sertir. Pour permettre la lecture de l’heure, Trilobe choisit de faire appel à un peintre miniaturiste français. Les 12 indicateurs sont peints à la main, afin d’obtenir un niveau de détail inégalé. Un travail d’orfèvre qui demande rigueur et précision extrême, pour réaliser des chiffres à la proportion et la finesse identiques. Le résultat sans pareil laisse aisément imaginer la patience et le dévouement dont l’artiste a su faire preuve. Sa réalisation unique apporte singularité et valeur ajoutée à cet objet d’exception. Les anneaux vertigineux s’habillent de diamants pour s’élancer sous le dôme saphir telle une danse étoilée. Derrière la mise en scène se cache une organisation minutieuse, où tous les instruments s’harmonisent à la perfection. Un calibre X-Centric, entièrement revisité, prend forme autour de ponts et platines architecturés en volume. Leurs arêtes saillantes ont été patiemment polies et diamantées, afin de mettre en valeur le travail de grainage réalisé sur leurs surfaces planes. Chaque bague sertie est ensuite reliée au mécanisme de la montre. Celle-ci offre, à qui veut bien le voir, une harmonie déroutante de textures et de reflets, formant ainsi un véritable clair-obscur. Lieu emblématique des 7 formes d’art, l’Opéra Garnier est un symbole fort pour la Maison, qui ne cesse de refléter son affinité pour les arts au travers de ses créations. Levez les yeux au ciel pour admirer un lustre de 8 mètres de hauteur dont la splendeur est indéniable. 314 lumières, surnommées la ceinture de diamants, ornent l’œuvre de l’artiste contemporain Marc Chagall. La fresque est découpée en 12 triangles et forme un cercle dont la lecture doit se faire par une rotation à 360°. Ce plafond, hier controversé par son audace et son avant-gardisme, est aujourd’hui un élément indissociable de l’édifice, et reflète subtilement l’identité de la Maison.

CHARRIOL St-Tropez surf automatique (collection Navigator)

La St-Tropez Surf canalise l'énergie palpitante d'une vague de surf matinale. Cette montre est conçue comme une montre de plongée, en acier inoxydable revêtue de DLC. Dotée d'une lunette tournante unidirectionnelle (120 crans), étanche jusqu'à 10 ATM (100m) pour les sports nautiques à fort impact tels que le surf, elle est équipée d’un robuste calibre automatique suisse ETA 2892, de cadrans colorés avec éléments luminescents et d'une petite seconde qui se présente sous la forme d’un éclair stylisé de couleur prune - un motif inspiré de la planche de surf adorée de Coralie Charriol. La montre Surf unisexe de 36 mm est proposée sur des bracelets en acier (bicolore ou PVD or jaune), sur des bracelets en caoutchouc Diver de couleurs ou sur le bracelet cablé, signature Charriol, en acier inoxydable et fabriqué en Suisse - tous dotés d'une boucle déployante papillon.

FRANCK MULLER Vanguard Slim Vintage

La Vanguard Slim Vintage se caractérise par un esprit vintage, dans un boîtier visiblement raffiné, avec un mouvement fin, à remontage automatique et fabriqué en interne. La collection propose de nombreuses versions colorées, toutes inspirées des voitures anciennes. L'esthétique de la collection rappelle l'héritage vintage avec un thème de lumière ou de couleur. Parmi les couleurs pastel vintage, le saumon, le vert olive, le gris plomb, le bleu et le brun authentique ont été choisis. Quant à la collection de couleurs plus vives, elle propose des cadrans rouges, bleus, jaunes et verts profonds et intenses. Particulièrement appréciée, la décoration Côte de Genève, la plus célèbre du monde horloger, orne le garde-temps et s'affiche fièrement au centre du cadran. L'esprit vintage est complété par un compteur de secondes décentré à 6 heures, rappelant la « Belle Époque ». L'esthétique du garde-temps est complétée par un bracelet intégré au boîtier Vanguard visiblement réduit, créant une continuité parfaite et un port agréable au poignet. La collection Vanguard Slim Vintage est disponible avec un bracelet en cuir gros grain ou un superbe bracelet à maillons poli à la main.
La collection Slim bénéficie d'un boîtier de 41 mm et d'une épaisseur réduite à 4,3 millimètres, grâce à un étonnant mouvement slim entièrement fabriqué en interne. Ce mouvement à remontage automatique dispose d'une réserve de marche de 60 heures.
Avec cette nouvelle collection, Franck Muller entend clairement offrir le meilleur de l'esprit horloger, alliant l'essence vintage aux prouesses techniques contemporaines d'un mouvement fin, rappelant l'univers automobile classique.

LOUIS ÉRARD x KONSTANTIN CHAYKIN Régulateur

Louis Erard x Konstantin Chaykin. Deux ouvreurs de portes. Louis Erard, faiseur de belle horlogerie accessible Swiss Made, devenu mentor des collaborations transversales sous la direction de Manuel Emch, avec les métiers d’art (guillochage, marqueterie, émail), avec les créateurs (seconde/seconde, atelier oï, Label Noir, Massena Lab) et les grands noms de l’horlogerie indépendante (Alain Silberstein, Vianney Halter) — et d’autres à venir. Konstantin Chaykin est un membre de la AHCI (Académie Horlogère des Créateurs Indépendants) à la réputation mondiale et à l’inventivité affirmée (94 brevets). Le maitre-horloger s’est aussi taillé une réputation dans l’univers très singulier des montres à visages. Des visages de monstres. La collection s’appelle Wristmons (monstres de poignet), elle a été lancée en 2017 et s’étend depuis, chaque année, comme une grande famille de joyeux vilains. La rencontre entre Louis Erard et Konstantin Chaykin a ainsi donné naissance à une étrange créature. Un monstre borgne, auquel la mécanique donne vie. La différence, c’est que cette fois, on ne regarde même plus l’heure, c’est l’heure qui nous regarde: l’heure est un œil, unique, grand, rond. Ce regard cyclopéen reprend les éléments originels des Wristmons et plus particulièrement de la première montre Joker de Konstantin Chaykin — dont les yeux étaient constitués de disques blancs marqués d’un point, à la fois pupille et indicateur. Sauf que ce cyclope-ci ne vient pas de Grèce, il a traversé les Balkans. Mauvais œil des contes slaves, il se nomme Likho. Konstantin Chaykin en explique la genèse: « À chaque Halloween, j’ai créé un nouveau type de monstre, c’est-à-dire des montres- bracelets sur le thème de cette fête, comme la montre tête de citrouille et la montre Dracula, par exemple. À la recherche d’idées pour cette histoire, je me suis tourné vers le personnage du borgne Likho des contes de fées. »

Ce n’est donc pas le premier exercice de détournement de Konstantin Chaykin. Ni celui de Louis Erard, qui s’est même bâti une solide réputation dans ce domaine depuis plusieurs années, avec des éditions spéciales qui relient deux mondes qui ne dialoguent normalement pas: la belle horlogerie abordable de tradition suisse et la haute créativité. Selon le principe qui se vérifie d’édition en édition: « Ensemble on est toujours plus fort » — ces séries sont d’ailleurs toujours limitées à 178 exemplaires, numéro symbole du leitmotiv. Tout était prêt pour la rencontre avec Konstantin Chaykin. Une nouvelle carte blanche, mais toujours sur une figure imposée: respecter l’architecture du régulateur signature de Louis Erard, avec minute centrale, heure à midi et seconde à six heures. Il ne restait donc à Konstantin Chaykin qu’un œil pour construire le visage. Il en a fait l’œil du Likho, comme une sorte d'amulette protectrice contre les mauvais esprits. Pour la petite seconde à six heures, l’horloger l’a habillée d’un disque à dents pointues, tournant comme la gueule dévorante d’un ogre. Inspiration croisée, comme l’explique Konstantin Chaykin: « Je me suis souvenu de Francisco Goya et de son Saturne dévorant l’un de ses fils. J’ai pensé à une nouvelle de Stephen King, Les Langoliers, des mangeurs de temps. » Il ne manquait au monstre qu’un bras. L’aiguille centrale des minutes le lui donnera. Konstantin Chaykin lui fait traverser le cadran, et l’affuble de « deux mains tournant en cercle ». Et pour parachever le caractère cartoonesque du personnage, l’horloger a joué de « combinaisons de doigts spécifiques », qui donnent à l’ensemble l’allure d’une flèche: pointe à un bout, plumage à l’autre; un doigt tendu d’un côté, signe des cornes à l’autre bout. L’horloger précise toutefois: « Libre à chacun d’en interpréter le sens. » La créature est complétée par un bracelet en crapaud noir et existe en deux versions. Tour d’heures violet pour la pièce de 39 mm et vert pour la 42 mm, toutes deux au prix choc de 4000 francs. Les deux versions forment un diptyque, proposé dans un coffret spécial à 7900 francs et limité à seulement 28 exemplaires. Et si ça n’était que le début...

NOMOS GLASHÜTTE Tetra (nouvelles couleurs)

Quatre nouvelles montres mécaniques dans des déclinaisons de rose, tout en angles et en arêtes et portant chacune le nom d'un trait de caractère : « Die Unerreichbare », « Die Wildentschlossene », « Die Fuchsteufelswilde » et « Die Kapriziöse ». Pour le printemps, ces quatre montres Nomos forment une équipe bien coordonnée. Cette nouvelle série constitue la huitième édition de Tetra réalisée par Nomos Glashütte. Outre leurs noms et couleurs forts en personnalité ainsi que la finesse de leurs mouvements à remontage manuel, produits en interne, dans les ateliers de Nomos, elles ont en commun d'être parfaites assorties à des bijoux. Ces montres chatoyantes en versions argent, bouton de rose, aubergine et chair (chacune avec un cadran des secondes fraisé dans une couleur contrastée) s'accordent à la perfection avec un ensemble élégant, mais peuvent aussi donner du cachet à n'importe quelle tenue de tous les jours. Tous les modèles ont une longueur d'arête de 29,5 mm et chacun est fourni avec un bracelet en velours végan (une nouveauté Nomos Glashütte !) dans un superbe ton gris. Ces quatre montres comportent un fond en verre saphir ou en acier, avec possibilité de gravure pour ce dernier. À vous de choisir ce qui vous représente le mieux.

 

Coordination éditoriale : Eyquem Pons



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